• Comment les fake news influencent l'évolution de notre cerveau

     
    La vérité, une illusion ? L'impact des "fake news" sur les réseaux sociaux depuis quelques années le montre clairement : chaque groupe ou "tribu" adhère à la vérité qui lui convient. Loin d'être un simple fait culturel, ce comportement s'enracine dans l'évolution de nos cerveaux. Notre article est à découvrir ici : https://www.science-et-vie.com/cerveau-et-intelligence/verite-vs-fake-news-quand-le-cerveau-oscille-entre-deux-systemes-cognitifs-antag-59263 #fakenews #cerveau #neurosciences #information #evolution #homosapiens #pensée
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    En basant le siège de l'entreprise Allergan-Pfizer en Irlande, Pfizer espère alléger sa facture fiscale. (Illustration) En basant le siège de l'entreprise Allergan-Pfizer en Irlande, Pfizer espère alléger sa facture fiscale. (Illustration) Crédit : TIMOTHY A. CLARY / AFP
    signature paul turban Paul Turban et AFP

    C'est l'un des projets les plus avancés de vaccins occidentaux contre la Covid-19, l'un des projets en "phase 3" des tests, la dernière phase. Le géant pharmaceutique américain Pfizer prévoit de demander une autorisation d'urgence pour son vaccin contre la Covid-19 auprès des autorités américaines lors de la troisième semaine de novembre, a annoncé ce vendredi 16 octobre son PDG. 

    "Permettez-moi d'être clair, en supposant que les données soient positives, Pfizer demandera une autorisation d'utilisation d'urgence aux États-Unis peu après que l'étape de sécurité aura été franchie, au cours de la troisième semaine de novembre", a déclaré Albert Bourla dans une lettre ouverte publiée sur les réseaux sociaux. "Nous pourrons savoir si notre vaccin est efficace ou non d'ici la fin octobre", précise le document. Albert Bourla y a rappelé qu'un vaccin ne pourrait être mis sur le marché que s'il est réputé "efficace" et "sûr", expliquant que Pfizer prenait toutes les précautions requises pour garantir cela.
    AlbertBourla
    @AlbertBourla
    Transparency is important so I’d like to provide greater clarity around the timelines for @pfizer’s #COVID19 vaccine and the 3 key areas where we must demonstrate success in order to submit for Emergency Use Authorization (EUA) or Approval: https://on.pfizer.com/2ICBOUv
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  • Coronavirus : le préfet d'Occitanie, Etienne Guyot, réunit les maires ce dimanche soir

    • Le port du masque est obligatoire à Toulouse depuis fin août. Le port du masque est obligatoire à Toulouse depuis fin août. DDM - DDM MICHEL VIALA
    Publié le 11/10/2020 à 13:40, mis à jour à 17:41

      Le ministre de la Santé a annoncé ce jeudi un probable passage de la métropole de Toulouse en zone d'alerte maximale ce lundi 12 octobre. Selon nos informations, le préfet et le directeur de l'Agence régionale de santé ont prévu de s'adresser aux maires ce dimanche, à 17 heures.

    Toulouse et sa métropole vont-elles à leur tour basculer en ce début de semaine en zone d'alerte maximale qui implique notamment une fermeture totale des bars? Lors de son point hebdomadaire, ce jeudi 8 octobre, le ministre de la Santé, Olivier Véran, avait indiqué que Toulouse et Montpellier étaient en sursis jusqu'à lundi et qu'un état des lieux serait effectué à l'issue du week-end. 

    Selon nos informations, les maires de plusieurs communes ont reçu ce dimanche une invitation à participer à une audio-conférence aujourd'hui, à 17 heures, avec le préfet, Etienne Guyot, et le directeur de l'Agence régionale de santé Occitanie, Pierre Ricordeau, en raison, est-il indiqué, "de l'évolution sanitaire défavorable".

    Depuis les mesures prises le 25 septembre et renouvelées ce vendredi, notamment la fermeture des bars à 22 heures, Toulouse et seize communes sont logées à la même enseigne. Il s'agit de Colomiers, Tournefeuille, Blagnac, Plaisance-du-Touch, Cugnaux, Balma, Castanet, Saint-Orens, Labège, Aucamville, Launaguet, L'Union, Portet, Ramonville, Auzeville et Quint-Fonsegrives.

    Le scénario survenu le week-end dernier pour Paris et sa petite couronne semble se reproduire pour la Ville rose. Le passage en zone d'alerte maximale pour la capitale avait été annoncé le dimanche soir puis suivi le lundi matin du détail des mesures en vue de leur application à compter du mardi.

    Trois critères pris en compte

    Les principales décisions prises, qui pourraient donc s'appliquer à Toulouse, concernaient : la fermeture totale des bars, l'interdiction de soirées étudiants et rassemblements festifs et familiaux dans des établissements recevant du public, la fermeture des foires et salons, la possibilité pour les restaurants d'ouvrir dans le cadre d'un nouveau protocole sanitaire, l'interdiction de rassemblements de plus de dix personnes sur la voie publique...

    Dans un communiqué diffusé vendredi, le préfet faisait état d'un taux d'occupation des lits de réanimation par des patients Covid (à l'échelle de la région) de 30%. Ce qui correspond, pour ce critère qui est le principal des trois retenus, au seuil d'alerte. Le nombre de nouveaux cas dans la métropole, le taux d'incidence, était, lui, de 233 (pour un seuil d'alerte de 250). Et le taux d'incidence pour les personnes de plus de 65 ans de 117 (pour un seuil d'alerte fixé à 100).

    Vendredi, le CHU de Toulouse indiquait, lui, connaître un taux d'occupation en réanimation des patients Covid de 20% avec 17 personnes (sur 93 hospitalisées) pour 83 lits de réanimation. Mais c'est au niveau de la région que ce critère est évalué. 

    Jean-Noël GROS
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  • Covid-19 : les contaminations ont bondi en Europe cette semaine

    Par LEXPRESS.fr avec AFP ,

    Un membre du personnel de santé effectue un test de Covid-19 à Vienne le 23 septembre 2020

    Un membre du personnel de santé effectue un test de Covid-19 à Vienne le 23 septembre 2020

    afp.com/GEORG HOCHMUTH

    Le nombre de nouveaux cas quotidiens y a plus que quintuplé en trois mois (84 400 cette semaine, contre environ 15 000 début juillet).

    Les contaminations par le coronavirus ont bondi en Europe et accéléré dans presque toutes les régions du monde ces sept derniers jours. Voici les évolutions marquantes de la semaine écoulée. Indicateur important, le nombre de cas diagnostiqués ne reflète toutefois qu'une fraction du nombre réel de contaminations et les comparaisons entre pays sont à prendre avec des pincettes, les politiques de tests différant d'un pays à l'autre.  

    • Forte accélération en Europe

    La pandémie a nettement accéléré cette semaine, avec 315 000 nouveaux cas enregistrés par jour dans le monde, soit 6% de plus que la semaine précédente, selon un bilan établi vendredi à 11 heures. C'est de nouveau en Europe que le rythme des contaminations accélère le plus (+28%). Le nombre de nouveaux cas quotidiens y a plus que quintuplé en trois mois (84 400 cette semaine, contre environ 15 000 début juillet). 

    LIRE AUSSI >> Face à la reprise du Covid-19, les Allemands craignent de perdre le contrôle 

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    La tendance est également à l'accélération dans la quasi-totalité des autres régions du monde: +11% en Afrique, +6% aux Etats-Unis/Canada, +3% en Amérique latine/Caraïbes, +2% au Moyen-Orient et +1% en Océanie. Seule l'Asie voit sa situation s'améliorer (-7%). 

    • Principales accélérations

    Le Népal est le pays où l'épidémie progresse le plus (+81%, 2700 nouveaux cas par jour), parmi ceux ayant enregistré plus de 1000 cas quotidiens pendant la semaine écoulée. Suivent le Mexique (+71%, 8000), la République tchèque (+71%, 3800), la Pologne (+70%, 2600), la Belgique (+68%, 2800), la Tunisie (+66%, 1200) et l'Italie (+60%, 3000). 

    • Plus fortes décrues

    La plus forte décrue est observée, pour la deuxième semaine consécutive, au Pérou (-31%, 2900 nouveaux cas par jour), devant le Chili (-14%, 1600), l'Equateur (-13%, 900), l'Irak (-11%, 3900) et l'Inde (-10%, 74 700). 

    LIRE AUSSI >> Covid-19 : comment la pandémie a fait s'effondrer l'image de la Chine dans le monde 

    • Le plus de contaminations

    L'Inde est le pays ayant enregistré le plus grand nombre de nouvelles contaminations cette semaine, devant les Etats-Unis et le Brésil avec respectivement 45 700 et 25 900 nouveaux cas quotidiens. Si la tendance s'améliore en Inde et au Brésil (-4%), elle se détériore aux Etats-Unis (+5%). 

    Suivent la France (13 500, +17%), l'Argentine (13 100, +5%), le Royaume-Uni (12 100, +40%), la Russie (10 700, +33%) et l'Espagne (10 000, -6%). En proportion de la population, hors micro-Etats, c'est Israël qui a enregistré le plus de cas (423 pour 100 000 habitants) cette semaine, devant le Montenegro (324) et la République tchèque (246). 

    • Décès

    L'Inde a enregistré le plus de décès au cours de la semaine écoulée (978 par jour), devant le Etats-Unis (689), le Brésil (611), l'Argentine (346) et l'Iran (215). Le Mexique a comptabilisé 717 morts par jour, mais une grande partie n'est pas imputable à la semaine écoulée, en raison d'une révision des chiffres. 

    • Bilan global

    La pandémie a fait au moins 1,063 million de morts dans le monde depuis fin décembre, pour plus de 36,5 millions de contaminations confirmées. Les Etats-Unis restent le pays le plus endeuillé avec au moins 212 789 morts, devant le Brésil (148 957 morts) et l'Inde (106 490).

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  • À la Une: La peur d’une élection contestée gagne du terrain aux États-Unis

     

     

     

    Photo montage du président Donald Trump, à gauche, et l'ancien vice-président Joe Biden lors du premier débat présidentiel, mardi 29 septembre 2020, à la Case Western University et à la Cleveland Clinic, à Cleveland, Ohio.
    Photo montage du président Donald Trump, à gauche, et l'ancien vice-président Joe Biden lors du premier débat présidentiel, mardi 29 septembre 2020, à la Case Western University et à la Cleveland Clinic, à Cleveland, Ohio. AP/Patrick Semansky

     

    Texte par : Achim Lippold 
     

     

    D’après le Washington Post,démocrates et républicains se préparent à un scénario qui plongerait le pays dans une grande incertitude : à savoir un scrutin présidentiel contesté. La cheffe des démocrates à la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a évoqué à plusieurs reprises dans des réunions de son parti la possibilité qu’aucun des deux candidats n’obtienne 270 votes du collège électoral, la majorité requise pour entrer à la Maison Blanche. En fait, les équipes de Joe Biden et de Donald Trump se préparent à toutes les éventualités et ont déjà engagé une armée d’avocats et de juristes pour se lancer dans d’éventuels disputes.

    D’après un constitutionaliste cité par le Washington Post, le scénario d’une élection contestée serait un vrai cauchemar. Elle pourrait miner la confiance des Américains dans le système électoral et dans la démocratie tout court, poursuit l’expert. Beaucoup d’observateurs estiment en tout cas que les résultats de l’élection ne seront peut-être pas connus pendant la soirée électorale. Il suffit que le dépouillement des votes soit retardé dans un grand État clé pour que tout le processus se prolonge. Deux de ces États « pivot », le Wisconsin et la Pennsylvanie par exemple, ne permettent pas le dépouillement du vote par correspondance avant le jour de l’élection. Et, dans plus de 20 États, les courriers avec les bulletins de vote pourraient arriver seulement après le 3 novembre, ce qui retarderait également le dépouillement. C’est le cas du Michigan, de l’Ohio ou encore de la Caroline du Nord.

    À écouter aussi : Le vote par correspondance: un enjeu majeur de la présidentielle américaine

     

    Le FBI déjoue un complot visant à enlever la gouverneure

    Treize hommes liés à un groupe d'extrême droite ont été inculpés dans le Michigan. Six des conspirateurs voulaient enlever la gouverneure Gretchen Whitmer, une farouche opposante à Donald Trump, puis la « juger » pour « trahison », selon l'acte d'accusation de la justice du Michigan. Leur motivation ? D’après le journal Detroit News, ils n’étaient pas d’accord avec les mesures anti-coronavirus prises par la gouverneure. Sept autres hommes associés au groupuscule local Wolverine Watchmen ont également été arrêtés et inculpés. Ils sont accusés d’avoir planifié « une opération en vue d'attaquer le bâtiment du Capitole locale et kidnapper des responsables du gouvernement, dont la gouverneure ». Ils voulaient aussi déclencher une guerre civile, d’après les informations de la justice. Qui est cette milice locale, Wolverine Watchmen ? Jusqu’à présent, elle n’était pas connue des autorités, « elle est passé sous le radar de la police », écrit le Detroit News.

     

     

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    Le FBI déjoue un complot visant à enlever la gouverneure

    Treize hommes liés à un groupe d'extrême droite ont été inculpés dans le Michigan. Six des conspirateurs voulaient enlever la gouverneure Gretchen Whitmer, une farouche opposante à Donald Trump, puis la « juger » pour « trahison », selon l'acte d'accusation de la justice du Michigan. Leur motivation ? D’après le journal Detroit News, ils n’étaient pas d’accord avec les mesures anti-coronavirus prises par la gouverneure. Sept autres hommes associés au groupuscule local Wolverine Watchmen ont également été arrêtés et inculpés. Ils sont accusés d’avoir planifié « une opération en vue d'attaquer le bâtiment du Capitole locale et kidnapper des responsables du gouvernement, dont la gouverneure ». Ils voulaient aussi déclencher une guerre civile, d’après les informations de la justice. Qui est cette milice locale, Wolverine Watchmen ? Jusqu’à présent, elle n’était pas connue des autorités, « elle est passé sous le radar de la police », écrit le Detroit News.

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  • Policiers sauvagement agressés à Herblay : l’un des suspects s’est rendu à la police

     
    Illustration. (JPstock / Shutterstock)

    L’un des suspects accusés d’être impliqués dans l’agression sauvage des deux policiers qui ont été grièvement blessés par balle à Herblay (Val-d’Oise), s’est rendu à la police ce vendredi matin.

    Un homme s’est présenté avec un avocat au commissariat de Versailles (Yvelines) ce vendredi matin vers 10 heures, affirmant être l’un des mis en cause de l’agression sauvage des deux policiers de la police judiciaire, à Herblay ce mercredi soir. Il a été placé en garde à vue.

    Selon nos informations, il s’agit d’un homme âgé de 28 ans, bien connu des services de police notamment pour des faits liés aux stupéfiants, dont la photo avait été diffusée sur les réseaux sociaux. Il avait rapidement été identifié par les forces de l’ordre, ayant composé le « 17 » avec son téléphone juste avant les faits, pour signaler une rixe avec des personnes issues de la communauté des gens du voyage qui se faisaient passer pour des policiers selon ses explications.

    Quelques minutes plus tard vers 22h30, c’est l’un des deux policiers grièvement blessés qui a donné l’alerte par téléphone. Il venait d’être roué de coups et blessé par balles, tout comme son collègue âgé de 30 ans. Ce dernier est toujours dans un état grave ce vendredi, il a été blessé de quatre balles lors de l’agression et souffre d’une fracture au crâne. Son collègue a été blessé de deux coups de feu notamment, au niveau des jambes.

    Les deux policiers de l’antenne de Cergy de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles étaient « en planque », en mission de surveillance, ce mercredi soir, lorsqu’ils ont été attaqués « par surprise » par trois individus. Après les avoir lynchés et violemment frappés, les agresseurs leur ont dérobé leurs armes, avec lesquelles ils ont ouvert le feu à sept reprises au total.

     

    Deux suspects toujours recherchés

    La brigade criminelle de la police judiciaire de Versailles est en charge de l’enquête qualifiée en « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique en bande organisée ». Les deux autres suspects sont toujours recherchés.

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a évoqué ce jeudi « des actes de grande sauvagerie », ajoutant que les deux policiers ont été « massacrés ».

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    L’Occitanie, première région à mettre en place une convention citoyenne pour décider de son avenir

    Une centaine de citoyens occitans tirés au sort se sont réunis, du 10 septembre au 3 octobre, pour esquisser les actions prioritaires à mettre en œuvre pour l’avenir de la région.

     

    Par Publié hier à 17h13, mis à jour hier à 17h37

     

       

     Article réservé aux abonnés

     

    Première session de la convention citoyenne pour l’Occitanie qui s’est tenue à Toulouse les 10, 11 et 12 septembre.Première session de la convention citoyenne pour l’Occitanie qui s’est tenue à Toulouse les 10, 11 et 12 septembre. SOFIANE BENSIZERARA/Région Occitanie

     

    Dessiner un avenir plus durable et plus résilient, et le faire à l’aide des populations locales. Voilà le pari de la région Occitanie, qui a mené une convention citoyenne pour son avenir, sur le modèle de la convention citoyenne pour le climat, une première à l’échelle régionale. Elle a livré ses conclusions mercredi 7 octobre, en remettant près de 300 propositions, dont 52 considérées comme prioritaires, à la présidente de région Carole Delga (PS). Une majorité d’entre elles devraient être intégrées au « Green New Deal » régional, un plan de développement et de relance « verte » qui sera voté mi-novembre.

     

    Imaginée avant la pandémie de Covid-19, la convention citoyenne pour l’Occitanie a vu son calendrier chamboulé et resserré en raison du confinement. Elle a réuni 103 habitants de la région tirés au sort – 52 femmes et 51 hommes, âgés de 19 à 75 ans et appartenant à toutes les catégories socioprofessionnelles, urbains comme ruraux – au cours de sept journées de travail entre le 10 septembre et le 3 octobre à Toulouse, Montpellier et Carcassonne. Leur mandat : préconiser des mesures pour « améliorer la vie des habitants de l’Occitanie et pour préparer l’avenir », dans le cadre des compétences de la région.

     

    « Nous avons discuté de la mise en œuvre de nouvelles politiques publiques plus vertes, du développement plus équilibré entre grandes villes et ruralité, de la transition numérique, d’une alimentation saine ou encore des transports, résume Clarisse Pintat, l’une des participantes de la convention, qui habite en Haute-Garonne. Cela manifeste aussi notre désir de résilience dans la crise sanitaire que nous traversons. »

     

    Stopper l’extension des villes

    Parmi leurs propositions prioritaires, les citoyens proposent d’aider les agriculteurs à commercialiser leurs produits en circuit court, de réduire les traitements chimiques jusqu’à leur interdiction, de stopper l’extension des villes en revitalisant les centres-bourgs, d’inciter les entreprises à embaucher les jeunes diplômés,(...)Article réservé aux abonnés

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    • La découverte du point faible du SARS-CoV2

       
      À retrouver dans l'émission
       
      1 min
      LA_METHODE_SCIENTIFIQUE - JDS Bruno Canard

       

      The Lancet et sa nouvelle politique d’évaluation par les pairs 

       

      La revue britannique The Lancet va renforcer l’évaluation par les pairs. Cette décision fait suite au « Lancetgate » ; quand le 4 juin dernier, la revue avait dû rétracter un article douteux à propos de l’hydroxychloroquine. Avant d’être publiée, une étude est soumise à un comité de lecture - où des chercheurs vont juger les travaux de leurs pairs, c’est la fameuse évaluation par les pairs. Dorénavant, la revue exigera une plus grande transparence et un meilleur partage des données des études évaluées. Au moins un de ces examinateurs devra « être au courant des détails de l’ensemble de données rapportées ». Les éditeurs déclarent aussi porter plus d’attention aux éventuels soupçons sur l’intégrité d’une recherche. De plus, les pré-publications seront acceptées, pour que n’importe qui puisse les examiner.

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