• Pétition

    Interdire la vente d'animaux par petites annonces

    et stop aux importations !

    Pétition : Interdire la vente d'animaux par petites annonces et stop aux importations !
    Auteur
    Auteur(s) :
    ALEXANDRA
    Destinataire(s) :
    Julien Denormandie (Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation)
     
    La pétition
    Il Y A BEAUCOUP TROP DE TRAFIC D'ANIMAUX en FRANCE !

    STOP !

    Il faut interdire la vente d'animaux par petites annonces et stop aux importations !

    Beaucoup de gens acceptent d'acheter un petit chien au coin d'une rue, cash, contre 1 000 a 2 500€ !

    C'est inacceptable!
    BEAUCOUP DE GENS FONT FAIRE DES PORTÉES TOUTE L'ANNÉE A LEUR CHIEN OU CHAT DE RACE.

    Ils vendent cela comme une marchandise,
    Cela encourage aussi les vols d'animaux pour la revente par annonces,
    Battons nous contre cela ! C'est très grave !

    DITES STOP ÉGALEMENT AUX IMPORTATIONS EN PROVENANCE DES PAYS DE L'EST !
    Chiens exploités, maltraités, vivant en cage, et porteurs parfois de maladies consanguines, car oui, ils peuvent être issus de reproduction entre membres de la même famille !

    STOP ! IL FAUT QUE CELA CESSE !
    37.258 signatures
    Pétition soutenue par un Super contributeur
    Merci pour votre mobilisation
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    Aidez l'auteur à atteindre la victoire :
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    Marylise
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  • Landes : il capture et vend plus de 8 500 oiseaux, un braconnier écope de 90 000 € d'amende

    Un braconnier a été condamné par le tribunal judiciaire de Dax (Landes) jeudi 19 novembre. Il avait capturé et revendu plus de 8 500 oiseaux entre 2013 et 2019. Il a écopé de huit mois de prison avec sursis. Il devra aussi verser 89 550 €à cinq associations environnementales.

    17:30 | mis à jour à 17:33 - 
    Le braconnier revendait les oiseaux qu'il avait capturé dans son piège. - WilliamCho / Pixabay
     
     
     

    Plus de 8 500 oiseaux étaient tombés dans le piège de ce chasseur entre 2013 et 2019. Un homme a été condamné pour braconnage et vente de volatiles par le tribunal de Dax (Landes), rapporte Sud Ouest. Le délibéré a été rendu jeudi 19 novembre. Le mis en cause a été reconnu coupable tout comme les trois acheteurs.

    Près de 100 000 € d'amende

    Le chasseur à la matole** a écopé de huit mois de prison avec sursis. Il devra verser 89 550 €pour préjudices écologique et moral et frais de justice à cinq associations environnementales. Sa voiture a été saisie. Ses trois clients ont été condamnés à une amende totale de moins de 10 000 €. L'avocat du principal suspect s'est insurgé en apprenant le montant dû aux protecteurs de la faune et de la flore.

    Sepanso 40 percevra 50 000 €. « La morale, c’est qu’on met beaucoup de temps à réprimer des actes de braconnage. Mais un jour ou l’autre, il faut payer l’addition » , a commenté le président de l'association. L'avocat d'un des clients a rappelé que la partie civile avait réclamé 1 million d'euros. Le défenseur du braconnier « invite [son] client à faire appel de cette décision » , rapportent nos confrères.

    Matole

    **La matole est un piège à petit oiseau (notamment l’alouette des champs et l'ortolan) qui est utilisé traditionnellement dans les Landes1, le Lot-et-Garonne, le Tarn-et-Garonne et la Gironde.

    La préparation des pièges réclame de préparer une surface cultivée pour faciliter l'installation des pièges, leur pose et la progression des oiseaux vers les matoles. Certaines cages sont posées directement au sol, d'autres accrochées à des tuteurs2. Une matole est un piège qui prend l'ortolan vivant. L'oiseau est d'abord attiré par un appelant, puis il se dirige vers les grains de millet répandus sous chaque matole. En picorant, l'oiseau déséquilibre parfois la tige de fer qui retient la petite cage et il se retrouve prisonnier.

    Cette technique de chasse est aujourd'hui interdite pour l'ortolan, espèce protégée. Elle reste autorisée pour l'alouette des champs1.

    Cette technique a fait l'objet d'un reportage du magazine Spécial Investigation de Canal Plus, le 15 juillet 2012.précisions,Marialis.

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  • France 24 est une chaîne du service public français.

     

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    Le démocrate Joe Biden a remporté la victoire dans l'État de l'Arizona, selon les principaux médias américains qui l'ont annoncé, jeudi 12 novembre, sur leurs antennes. Le président élu creuse ainsi l'écart au collège électoral entre lui et son concurrent républicain, Donald Trump, qui ne reconnaît toujours pas sa défaite à la présidentielle américaine. Abonnez-vous à notre chaîne sur YouTube : http://f24.my/youtube En DIRECT - Suivez FRANCE 24 ici : http://f24.my/YTliveFR Notre site : http://www.france24.com/fr/ Rejoignez nous sur Facebook : https://www.facebook.com/FRANCE24.videos Suivez nous sur Twitter : https://twitter.com/F24videos
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    "Hold-Up" : le piège redoutable des théories du complot

    ÉDITO - Le documentaire polémique "Hold-Up" dénonce un complot mondial sur la crise du coronavirus : un film qui surexploite les doutes et les critiques sur la gestion sanitaire.

    OlivierBost_245x300 L'Edito Politique Olivier Bost iTunes RSS  
     
    Hold Up : le piège redoutable des théories du complot Crédit Image : Pierre Barnérias | Crédit Média : RTL | Date : 13/11/2020
    La page de l'émission
    L'Edito Politique - Olivier Bost Olivier Bost  

    Revenons sur le documentaire polémique qui dénonce un complot mondial sur la crise du Covid-19 "Hold-Up". Le complotisme, ça commence comme ça : vous posez une question ou une affirmation complètement décalée ou sans réponse et vous installez le doute. Concernant la gestion de la crise du coronavirus, il existe des doutes et des critiques, fort heureusement, mais ce reportage les surexploite et va beaucoup plus loin.

    Ils relient tous ces doutes avec quelques contrevérités pour construire une théorie et sa conclusion, au bout de presque trois heures, est la suivante : un grand complot mondial, Bill Gates et d’autres ont diffusé le coronavirus pour restreindre nos libertés puis nous inoculer un vaccin, qui avec des nanoparticules, va permettre de contrôler toutes nos vies avec la 5G. 

    Ce documentaire est un combo de toutes les théories complotistes du moment, de quoi occuper Jean-Mathieu Pernin, qui décrypte les fake news pour nous tous les matins sur RTL, pendant au moins deux semaines. 

    Une mécanique "redoutable"

    Réalisé avec des moyens, ce film a été relayé par plusieurs personnalités, comme Sophie Marceau, Juliette Binoche, Carla Bruni, le gilet jaune Maxime Nicolle et quelques parlementaires. Au total, 6 millions de personnes en France ont vu sa bande-annonce apparaître sur Facebook, Instagram ou encore Twitter, ces derniers jours. 

    À lire aussi Capture d'écran de la bande annonce du documentaire "Hold-Up" (Youtube) Coronavirus France
    Comment le documentaire "Hold-Up" est devenu une affaire politique

    Et ce n’est qu’un début : la puissance virale du documentaire est énorme et vous ne passerez peut-être pas le week-end sans qu’un ami vous en parle ou vous le suggère, si ce n’est pas déjà fait. Est-ce facile de démonter les fausses informations que contient ce documentaire ? Non, car c’est une mécanique redoutable. En vous disant que c’est un documentaire complotiste, je valide le grand complot, puisque forcément, moi, vous, nous appartenons au grand complot. 

    Les politiques aussi auront beaucoup de mal à en parler, sauf ceux que ce relativisme intéresse d’un point de vue électoral. Ils se situent dans les extrêmes : extrême gauche et extrême droite. Ils ne vont pas forcément soutenir le documentaire mais ils ne vont pas non plus le dénoncer ou dire qu’ils ne savent pas et que tout n’est pas forcément faux. 

    Un film qui déconstruit "comme une secte"

    Ce type de documentaire permet de tout relativiser : ce qui est dit n’est ni vrai ni faux, c’est une opinion qui permet de dire tout et n’importe quoi, en toute impunité. N’oublions pas que ce relativisme a permis à Donald Trump d’être élu il y a quatre ans, et d’obtenir encore plus de voix aux dernières élections. 

    Dans sa mécanique, ce complotisme déconstruit, comme le fait une secte, ce qui nous permet d’échanger. Par exemple, être d’accord sur le fait que la terre n’est pas plate devient difficile. Le dialogue entre un amateur de complot et une autre personne, même proche, devient même impossible : ce sont deux mondes parallèles

    Pour reprendre une citation de l’écrivain américain Mark Twaïn, une citation que j’ai lue dans l’hebdomadaire Le 1 de cette semaine qui comme par hasard porte sur le complotisme : "Un mensonge peut faire le tour de la terre, le temps que la vérité mette ses chaussures". Il l’a écrite il y a bien plus d’un siècle, bien avant les réseaux sociaux.

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  • Mort de Cyril Colbeau-Justin : qui était le producteur à qui les stars rendent un hommage unanime ?

     

     

    Mort de Cyril Colbeau-Justin : qui était le producteur à qui les stars rendent un hommage unanime ? © Abaca Mort de Cyril Colbeau-Justin : qui était le producteur à qui les stars rendent un hommage unanime ?

    Il y a quelques heures Dominique Farrugia annonçait sur Instagram le décès de son ami de longue date, Cyril Colbeau-Justin, ce 7 novembre. Le producteur était très apprécié dans la profession et les stars lui rendent de très nombreux et doux hommages.

    C'est un Dominique Farrugia accablé qui a annoncé sur son compte Instagram le décès de son copain Cyril Colbeau-Justin. Celui qui vient de disparaître à l'âge de 50 ans était un producteur très apprécié du cinéma français. Selon Cyril Colbeau-Justin lui-même, sa carrière il la devait au très Nul Farrugia. Interrogé il y a quelques mois sur RTL à propos du film culte de Kad et Olivier, Mais qui a tué Pamela Rose ? il avait reconnu en toute franchise : "C'est mon premier succès, on me l'a donné. C'est le monsieur à qui je dois tout dans ce métier, c'est Dominique Farrugia (...) On se met d'accord, on fait les papiers, il voulait que le projet ne meurt pas".

     
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    Pluie d'hommages pour le "prince" Colbeau-Justin

    Depuis l'annonce de son décès, de très nombreuses voix se sont ajoutées à celles du comédien et réalisateur. Xavier de Moulins, Hugo Gélin Catherine Marchal, Ary Abittan, Michel Denisot et Jean-Paul Rouve ont évoqué sa mémoire avec tristesse. A ceux-là se sont rajoutées de nombreuses personnalités du spectacle parmi lesquelles Frank Dubosc qui fête aujourd'hui son anniversaire de la plus triste des manières : " Je suis né le 7 novembre mon ami nous a quittés aujourd'hui. Comme un dernier pied de nez pour me montrer qu'il était le plus important à mes yeux. Il a fait ce que je suis en tant qu'acteur, réalisateur et surtout en tant qu'homme. Il m'a appris à écouter ceux qui savent et à aimer ceux qui le méritent...lui. A très vite Cyril ". Florence Foresti a elle aussi laissé parler son chagrin sur Instagram sur un cliché où elle figure avec le producteur. "Amour éternel", écrit-elle en anglais. Valérie Damidot est également sous le choc : "Pour moi tu étais l’incarnation même de la passion. Le dernier nabab, j’ai tellement de chagrin de ne plus jamais entendre ton rire et d’écouter tes histoires folles... je pense tellement fort a toi (...) je suis effondrée de tristesse...bon voyage mon colback", indique-t-elle sous un cliché du producteur riant aux éclats. Jean-Luc Reichmann ne cache pas non plus être atterré : " J’apprends avec une immense tristesse que Cyril nous a quittés à l’âge de 50ans. C’était le 1er producteur de Léo Matteï Brigade des Mineurs. Mes pensées vont à toute sa famille et à ses enfants". A n'en pas douter les hommages vont continuer d'affluer pour celui qui aura tant marqué le paysage audiovisuel français...

    https://www.instagram.com/p/CHSvw7igzZw/

    https://www.instagram.com/p/CHSxiSTgCIQ/?utm_source=ig_embed&utm_campaign=loading

    https://www.instagram.com/p/CHSzJEmjVFc/?utm_source=ig_embed&utm_campaign=loading

    https://www.instagram.com/p/CHS3vfdjrCV/?utm_source=ig_embed&utm_campaign=loading

     

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  • Elections américaines : la Chambre des représentants reste démocrate, le contrôle du Sénat se jouera peut-être en 2021

    Avec 48 sièges pour chaque parti, les résultats au Sénat sont serrés. Deux des sièges restants seront sûrement gagnés par les républicains, tandis que les deux derniers se joueront en janvier 2021 en Géorgie.

    Publié aujourd’hui à 10h17, mis à jour à 17h40

       

    Le capitole américain, siège des deux chambres du Congrès des Etats-Unis, à Washington D.C, le 4 novembre 2020 au petit matin.Le capitole américain, siège des deux chambres du Congrès des Etats-Unis, à Washington D.C, le 4 novembre 2020 au petit matin. Al Drago / AFP

    Les électeurs américains n’avaient pas qu’un seul choix à faire entre Joe Biden et Donald Trump, mardi 3 novembre. Comme tous les deux ans, l’appel des urnes concernait aussi les deux chambres du Congrès, le Sénat (100 élus, deux sièges par Etat) et la Chambre des représentants (435 représentants, nombre d’élus proportionnel à la population des Etats).

    Lire aussi Elections américaines, le jour d’après en direct : un président élu pour une Amérique divisée

    • Au Sénat, les républicains peuvent conserver leur majorité
       

    Elections américaines 2020 : les résultats au Sénat
    Démocrates  48
    48  Républicains
     
     
     
    majorité absolue

    Côté Sénat, 35 sièges (le tiers) étaient en jeu, dont 23 étaient tenus par des républicains et 12 par des démocrates. L’enjeu, pour ces derniers, était donc de prendre le contrôle de cette assemblée en y gagnant une majorité (plus de 50 sièges). Avec 47 sièges démocrates avant l’élection, contre 53 sièges républicains, il faudrait un gain net de trois sièges aux démocrates pour espérer contrôler le Sénat. Mais cet espoir semble désormais compromis.

    A l’heure actuelle, les deux partis disposent de 48 sièges chacun. Quatre sièges restent à attribuer : deux en Géorgie, un en Caroline du Nord et un en Alaska. Dans ce dernier Etat, la victoire du conservateur Dan Sullivan contre le démocrate Al Gross ne fait aucun doute tant le décompte est net (61,9 % contre 31,8 %). En Caroline du Nord, les résultats provisoires sont plus serrés mais donnent un net avantage au républicain Tom Tillis (48,7 %) face au démocrate Cal Cunningham (47 %) et au libertarien Shannon Bray (3,1 %). Il est donc probable que le Grand Old Party (GOP) conserve ces deux sièges.

    La bataille pour le Sénat se jouera en Géorgie en 2021

    En Géorgie, où, exceptionnellement, les deux sièges de l’Etat étaient à pourvoir, les résultats sont relativement serrés. David Perdue (républicain, 49,8 %), le sénateur sortant élu en 2014, a devancé ses opposants Jon Osoff (démocrate, 47,9 %) et Shane Hazel (libertarien, 2,3 %). En revanche, l’élection spéciale pour le second siège de la Géorgie a vu le démocrate Raphael Warnock (32,9 %) devancer la sénatrice sortante Kelly Leffler (25,9 %) et un autre républicain, Doug Collins (20 %), qui avait maintenu sa candidature avec le soutien d’une partie du GOP (et du président Trump).

    Si aucun des candidats de ces deux élections ne parvient à atteindre les 50 %, la loi électorale de la Géorgie prévoit qu’un second tour se tienne le 5 janvier suivant l’élection, soit le 5 janvier 2021. Il est donc probable, chose exceptionnellement rare, que les deux sièges de cet Etat fassent l’objet d’un second tour, qui décidera de qui contrôlera le Sénat jusqu’en janvier 2023, date de début de mandat suivant les élections de mi-mandat.

    La Géorgie va donc probablement devenir le centre de l’attention politique et médiatique en cette fin d’année 2020, tant les enjeux qui se concentreront sur ces deux sièges sont importants. Le contrôle du Sénat permettrait aux républicains de gêner considérablement l’action du président Biden pour au moins les deux années à venir. Pour obtenir cette majorité, les démocrates n’ont, eux, pas le choix : ils doivent remporter ces deux sièges dans un Etat historiquement conservateur.

    Sénatoriales américaines : qu’est-ce qu’une élection spéciale ?

    Dans le cadre des élections pour le renouvellement du Sénat des Etats-Unis, une élection spéciale (special election) se tient lorsqu’un sénateur ou une sénatrice démissionne ou décède avant la fin de son mandat de six ans. L’élection spéciale est alors organisée généralement en même temps que les élections générales suivantes (en fin d’année paire) afin de désigner la personne qui occupera le siège jusqu’à la fin du même mandat. En effet, le sénateur ou la sénatrice élue ne le sont que jusqu’au terme du mandat débuté par leur prédécesseur.

    En attendant l’élection spéciale, c’est généralement le gouverneur de l’Etat qui nomme la personne chargée d’occuper ledit siège.

    En Géorgie, suite à la démission de Johnny Isakson (pour raisons de santé), le gouverneur de l’Etat a désigné Kelly Loeffner, qui a pris ses fonctions le 6 janvier 2020, et se représente actuellement sur le même siège. Le ou la nouvelle élue siègera ainsi jusqu’en janvier 2023, date de fin prévue du mandat de M. Isakson.

    • La Chambre des représentants restera à majorité démocrate
       

    Elections américaines 2020 : les résultats à la Chambre des représentants
    Démocrates  215
    196  Républicains
     
     
     
    majorité absolue

    Du côté de la Chambre des représentants, l’autre assemblée du Congrès des Etats-Unis renouvelée intégralement tous les deux ans, les démocrates ont pour le moment obtenu 215 sièges, contre 196 pour les républicains. Il reste, au moment où ces lignes sont écrites, 24 sièges de représentants à pourvoir, mais l’on peut déjà dire que les démocrates, qui sont à trois sièges de la majorité absolue (218), maintiendront leur contrôle sur la Chambre basse du Congrès, acquis depuis les élections de mi-mandat en 2018. Il est en revanche probable que la majorité actuelle (232 sièges démocrates, contre 197 républicains) recule, les républicains ayant déjà obtenu quasiment le nombre de sièges qu’ils contrôlaient depuis deux ans. Sept jeunes élus démocrates ont ainsi perdu leurs sièges dans des districts électoraux repris avec succès à Donald Trump en 2018.

    Une déception pour le camp démocrate, qui espérait consolider sa forte majorité après le gain historique de 36 sièges repris aux républicains en 2018 en capitalisant sur l’impopularité du président Donald Trump.

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  • Joe Biden est élu 46e président des Etats-Unis

    Le candidat démocrate a obtenu les 270 grands électeurs nécessaires pour accéder à la présidence, selon les décomptes de l'Associated Press, du "New York Times" et de CNN. 

    Article rédigé par
    France Télévisions
    Publié le 07/11/2020 17:34 Mis à jour il y a 5 minutes
    Temps de lecture : 1 min.
    Joe Biden et sa colistière Kamala Harris, lors d'un meeting à Wilmington, dans le Delaware, le 20 août 2020.  (OLIVIER DOULIERY / AFP)
    Joe Biden et sa colistière Kamala Harris, lors d'un meeting à Wilmington, dans le Delaware, le 20 août 2020.  (OLIVIER DOULIERY / AFP)

    La Pennsylvanie a donc fait basculer la Maison Blanche dans le camp démocrate. Après quatre jours d'un dépouillement haletant dans plusieurs Etats clés, Joe Biden a battu son adversaire républicain, le président sortant Donald Trump, en arrachant la majorité absolue des grands électeurs, annoncent samedi 7 novembre l'Associated Press, le New York Times et CNN. Il devient ainsi le 46e président des Etats-Unis.

    Sa colistière, la sénatrice de Californie Kamala Harris, devient à cette occasion la première femme et la première personne de couleur à occuper la fonction de vice-présidente du pays. 

    >> Election américaine : suivez les réactions à l'élection de Joe Biden dans notre direct

    Le 14 décembre, les représentants de chacun des 50 Etats américains éliront formellement le ticket démocrate qui entrera en fonction le 20 janvier 2021. Le 46e président des Etats-Unis sera aussi le plus âgé, puisqu'il s'installera dans le Bureau ovale à l'âge de 78 ans (il les fêtera le 20 novembre). 

    Restaurer "l'âme de la nation" 

    Ancien vice-président de Barack Obama pendant 8 ans, sénateur du Delaware pendant 36 ans, Joe Biden est classé parmi les Centristes de son camp. Son ambition pour les quatre ans à venir : "reconstruire" les Etats-Unis, mais "en mieux". En campagne, le candidat Biden a promis d'œuvrer à restaurer "l'âme de la nation", après quatre années d'une présidence Trump marquée par une forte polarisation de la société, des troubles sociaux et une gestion critiquée de l'épidémie de coronavirus. "J'ai fait campagne comme démocrate, mais je gouvernerai comme le président de tous les Américains," a-t-il déclaré dès mercredi soir.   

    Jeudi, alors que le président sortant multipliait les recours pour arrêter le décompte des voix dans les Etats clés, Joe Biden s'était dit certain, dans une intervention à la tonalité présidentielle, de sa victoire imminente. "Je demande à tout le monde de rester calme. Le processus fonctionne, le décompte s'achève et nous saurons très bientôt. Nous n'avons aucun doute sur le fait que lorsque le dépouillement sera terminé (...) nous serons déclarés vainqueurs".

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