• Victoire de la pétition : Demande d'ouverture d'une classe ULIS au collège des Pieux pour les enfants reconnus handicapés

    Demande d'ouverture d'une classe ULIS au collège des Pieux pour les enfants reconnus handicapés

    Victoire : Demande d'ouverture d'une classe ULIS au collège des Pieux pour les enfants reconnus handicapés

     

    Auteur : Représentants des parents d'élèves

     

    896 Signatures

    Il y aura une ULIS au collège des Pieux.

    Tout c'est finalement décanté très vite. Un combat gagné pour une belle cause.

    Merci donc aux parents et aux enseignants qui se sont mobilisés ces dernières semaines.

    Merci aux élus, et plus particulièrement au maire de Siouville, Monsieur BOTTIN, qui s'est beaucoup impliqué.

    Nous remercions aussi le député, S. TRAVERT, et le sénateur, P. BAS, dont les interventions ont probablement pesé fortement.

    Les services académiques, en ouvrant une ULIS, concrétisent le message ministériel d'accueil des élèves, quelles que soient leurs difficultés, dans les établissements classiques. C'est ce que nous voulions.

    Enfin, bien évidemment, nous remercions tous ceux qui ont soutenu, de près ou de loin, notre action, notamment les 2000 signataires de la pétition.

    Nous avons reçu de nombreux commentaires d'encouragement, de solidarité et de soutien en ligne de toute la France. Nous vous en remercions.

    Un reportage de France 3 Normandie Caen, consacré aux incertitudes concernant l'accueil des élèves ULIS au collège des Pieux, avait été tourné lundi 24/06. Il a été diffusé avec une happy end. A vos replay!

    Les représentants des parents d’élèves, les parents et enseignants  de l’école élémentaire et du collège des Pieux.

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  • Victoire de la pétition : Terreur au Brésil et dans l'Amazonie : la forêt se meurt ! Appel au boycott de tous les produits brésiliens

    Terreur au Brésil et dans l'Amazonie : la forêt se meurt ! Appel au boycott de tous les produits brésiliens
    Victoire : Terreur au Brésil et dans l'Amazonie : la forêt se meurt ! Appel au boycott de tous les produits brésiliens

    Auteur : Jérôme Garnier

    31.691 Signatures


    La Cour suprême du Brésil casse la décision de Bolsonaro sur les terres indigènes!

    Le président brésilien avait transféré les pouvoirs fonciers d’une fondation protectrice des indigènes au ministère de l’agriculture.
    La Cour suprême du Brésil a bloqué, jeudi 1er août, un décret du président Jair Bolsonaro qui transférait au ministère de l’agriculture, défenseur des intérêts de l’industrie agroalimentaire, des compétences foncières jusqu’alors dévolues à une fondation protectrice des indigènes.

    Les dix juges du Tribunal fédéral suprême (STF) ont soutenu cette décision, considérant que les parlementaires brésiliens avaient déjà rejeté ce décret. « Pour ce qui fait loi, le dernier mot revient au Congrès », a déclaré le juge Luis Roberto Barroso, qui avait déjà ordonné en juin la suspension provisoire du décret portant sur un transfert des compétences dans la délimitation des terres indigènes.

    Le président d’extrême droite Jair Bolsonaro s’est plusieurs fois exprimé en faveur d’un nouveau découpage des terres indigènes plus favorable à l’agrobusiness.
    Les indigènes dénoncent une multiplication des conflits

    Cette décision du STF survient une semaine après la mort d’un leader indigène dans le nord-est du pays. Les membres de la tribu waiapi dénoncent un assassinat, qui n’a pas encore été confirmé par l’enquête judiciaire.

    Nous avançons, nous allons y arriver! Merci à toutes celles et ceux qui ont signé et diffusé la pétition, merci à tous les amoureux de la Nature, merci à tous ceux qui au quotidien par leurs petits actes arrivent à faire avancer la cause écologique. Bolsonaro a perdu une grande bataille, nous finirons, nous les humains doués de raison et de sensibilité à le faire plier.

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  • Pétition : Réglementer l'achat des chiens, déclaration obligatoire. 100.000 chiens abandonnés par an c'est la honte de la France
    Par Liliane

    Pétition adressée à E.Macron, Président de la République

    Masquer la mise à jour

    Le 22/08/2019


    Bonjour à tous,


    Je vous fait part de la lettre en copier/coller (elle est mieux présenter qu'ici) que je viens d'envoyer à Monsieur MACRON  par courrier postal (4 pages) pour lui résumer nos attentes. Elle est un peu longue mais je n'ai pas pu faire mieux. Lisez-là tout de même jusqu'au bout cela ne prend pas plus de quelques secondes. Merci. A bientôt...


    Cordialement, liliane


     *******************************************************


    Monsieur le Président de la République,


               Je vous remercie de votre réponse apportée par Monsieur François-Xavier LAUCH.


              Le bien-être de l’animal semble attirer votre attention néanmoins Monsieur Didier Guillaume, Ministre de l’agriculture nous a enlevé tous nos espoirs. Sa présence à la corrida de Bayonne est une grave erreur pour un Ministre chargé de la protection animale. Assister à une mise à mort d’un animal choisit pour être tué en guise de divertissement de l’humain est indigne et contraire à sa fonction. Cette tradition ancestrale appartient à une génération du passé et ne correspond plus à notre temps mais elle pourrait se perpétuer sans tuer. Les avides du sang qui coule ne sont pas dans l’évolution pour un avenir meilleur.


              J’ai réalisé une pétition sur les réseaux sociaux pour évoquer les changements qui s’imposent à l’heure actuelle concernant l’abandon des chiens en France (100 000 par an, plus de 8000 chiens et chats en début d’été à la SPA sans compter les autres refuges) avec une tendance à l’augmentation de 20 % selon la SPA. Nous détenons les records d’abandons en Europe !


              Dans ma pétition j’ai publié, pour information, la lettre que je vous avais adressée récemment. À ce jour, moins de 2 mois de parution, 22 200 signataires ont approuvé ma demande et ma démarche. Des signatures et des commentaires encourageants en provenance des pays étrangers également : Belgique, Russie, Nouvelle-Zélande, Espagne, Italie, Canada, Brésil... preuve qu’ils ne sont pas indifférents à notre problème à travers le monde.


              J’ai réalisé un sondage également proposant une police animale. En quelques semaines sur 16 150 votants 98 % ont répondu favorablement à la création de cette police. Une grande majorité estime que c’est indispensable et qu’elle aurait dû être mise en place depuis fort longtemps. Je vous ferais part des prochains résultats ultérieurement.


              Il en ressort un mal être face à cette cruauté quotidienne et un désir profond que cela cesse. De nombreuses pétitions qui vous ont été adressées par diverses associations de protection animale ou par de simples particuliers engagés pour cette cause n’ont pas eu un véritable impact malgré votre volonté d’agir pour la protection animale. Un sondage en ligne depuis février 2019 vous concernant, indique que sur 54 240 votants 96 % ont le sentiment que vous n’en faites pas assez pour la maltraitance animale. En commentaire, vous donnez l’image d’une personne n’aimant pas les animaux. Sondage que je n’ai pas réalisé moi-même, je vous le précise.


              Nous, citoyens nous sommes sur le terrain, dans la vie quotidienne et nous sommes impactés par cette misère humaine qui entraîne la maltraitance animale. Le lien est existant.


              Nous sommes au cœur de toutes ces horreurs, nous voyons cette évolution et le triste reflet de cette société qui va mal. Nous aussi, citoyens français nous aimerions vivre dans un climat plus serein et nous sommes obligés de subir cette violence qui nous affecte tous. C’est nous qui sommes chargés d’agir auprès des chiens et des chats et bien d’autres animaux, de les sauver, de leur venir en aide, de les délivrer de leur milieu glauque et de les soigner ou de les euthanasier tellement leur souffrance est atroce alors qu’ils étaient jeunes et plein de vie.


             Monsieur MACRON, vous n’imaginez pas ce qu’est capable de faire un "humain" sur un animal. Vous ne pouvez pas approfondir la cruauté infligée à ces victimes innocentes sans la voir de vos propres yeux. La cruauté n’a pas de limite ! 


             Monsieur MACRON, vous ne ressentez pas notre douleur aussi face à ces atrocités lorsque nous sauvons un animal martyrisé, agonisant, brûlé à vif ou les yeux crevés, par sadisme et j’en passe... Vous ne pouvez pas vous rendre compte ce qu’est un corps décharné d’un chien ou d’un chat attaché sans nourriture, vous ne voyez pas des scènes d’horreur tel un chien trainé vivant à l’arrière d’une voiture ou d’une moto jusqu’à ce que mort s’en suive pour le plaisir de faire le buzz sur la toile. Vous ne voyez pas ces images insoutenables, nous oui !


             C’est cela notre quotidien dans notre beau pays, la France. Nous ne sommes pas obligés d’intervenir, me direz-vous mais jusqu’où irions- nous si nous n’étions pas mobilisés pour palier à ces horreurs sur des êtres vivants sans défense ?


    Peut-on vivre sereinement dans l’indifférence, dans notre confort ?... Les auteurs de tous ces actes sont des criminels et doivent être jugés en conséquence et non leur infliger des peines minimales et des amendes dérisoires. Sévir durement afin de ne pas cautionner leurs gestes et dénigrer l’animal parce que ce n’est pas un humain. Les lois ne sont pas appliquées à la hauteur des actes !


            Par ailleurs, aider les plus vulnérables que soi en difficulté est un acte citoyen, c’est un devoir avant tout. L’animal ne parle pas, mais l’humain n’a aucun droit sur lui, il n’en est pas propriétaire, il n’a que des devoirs envers lui et ce serait une erreur d’évoquer le contraire.


     Qu’est-ce que nous attendons concrètement ?... Changer le regard sur le monde animal !



      • Que l’animal soit respecté au même titre qu’une personne et que l’on prenne en considération la souffrance animale.

      • Concernant le chien compte tenu qu’il fait partie de ma préoccupation, nous demandons la reconnaissance de la personnalité juridique comme pour tous les animaux avec la création d’un ministère dédié à la condition animale, indépendant de celui de l’Agriculture.

      • Nous voulons la création d’un service de police animale avec la possibilité de sanctionner certains délits, assistée de juristes ou pas et formation des candidats aux conditions de vie du chien et des autres animaux en ville et à la campagne.

      • Nous voulons la mise en place d’un numéro d’appel gratuit, facile d’accès pour dénoncer les cas de maltraitances avérés pouvant être affecté au service de police animale (une demande à déjà été déposée auprès de vous et de votre Ministre par une personne auteur d’une pétition).

      • Nous voulons que les lois en vigueur s’appliquent à tous les animaux, sans exception telles que pour les traditions locales, religieuse et autre... Les animaux sont égaux, ressentent la même douleur, la protection doit être égale à tous.

      • Nous voulons que les pénalités financières soient appliquées lourdement, 30 000 euros, que l’interdiction de posséder un animal soit prononcée à vie après un acte de maltraitance grave afin d’éviter la récidive et qu’aucun sursis de prison ne soit accordé, prison ferme pour les criminels.

      • Nous voulons un durcissement de la règlementation de l’achat des chiots. L’enregistrement en mairie ou en Préfecture dès l’obtention du certificat d’aptitude afin d’apprendre à éduquer et gérer son animal, présentation du certificat avant achat pour l’obtention tel que je vous l’ai évoqué dans mon précédent courrier.

      • Nous voulons le vote d’une loi pour la reconnaissance de la personnalité juridique de l’animal afin que tout soit possible. Nombreux spécialistes, psychiatre, chercheurs, le moine bouddhiste Mathieu Ricard, selon mes recherches, ont signé un manifeste dans le Monde pour la création d’un secrétariat à la cause animale dans lequel ils appelaient les hommes au respect de l’animal et à lutter contre la maltraitance.


              Le chien est lui, doué de sensibilité, doté d’intelligence et  d’émotion. Il est doté d’une conscience également, c’est un être vivant semblable à un être humain tout en étant un animal. La différence entre les deux hormis l’aspect physique, se trouve dans la forme d’expression et le regard. Son absence de parole donne du pouvoir absolu à l’humain pour le manipuler, le considérer inférieur, l’avilir et de maltraiter. Or, l’intelligence de l’un pourrait être compatible avec l’intelligence de l’autre, utile, complémentaire et non comparable.


            Les animaux sont indispensables à notre survie, ils génèrent des milliers d’emplois à travers le monde hors l’agro-alimentaire, le chien aussi ! Cela peut paraître naïf, porter à sourire mais c’est la réalité. Ils ont une vie également et peuvent vivre sans nous, le contraire serait plus difficile. La planète n’appartient pas à l’humain, il n’est pas le seul à vivre et à respirer dans la nature, il occupe l’espace qui lui convient tels que le font les animaux également pour notre équilibre. L’harmonie du vivre ensemble ne peut s’effectuer que dans le respect de chacun quelle que soit la différence, humaine ou animale.


            Monsieur MACRON, je vous ai exposé mes préoccupations et celles de nombreux citoyens qui me soutiennent. D’autres pays ont compris la nécessité d’agir pour la protection des animaux de compagnie, ils ont progressés plus vite que la France. Je fais allusion aux Pays-Bas, à la Suède, à la Belgique, aux États-Unis qui ont tous créé une police animale. À noter que les Pays-Bas reconnaissent le lien entre la violence exercée sur les animaux et la violence sur les humains. Ils reconnaissent les problèmes familiaux des maîtres violents envers les animaux (source RTL). Prenons exemple !


            Le problème de l’animal est sérieux, le régler est urgent ! La violence est un reflet du mal-être de notre société. Protéger un animal dans son foyer peut sauver un enfant de la maltraitance ou éviter qu’une femme soit battue.  Nous sommes dans un cercle infernal de violence, vous en êtes protégé mais nous, citoyens français nous ne pouvons plus poursuivre dans l’inaction du gouvernement en 2020.


     


            Monsieur MACRON il vous appartient d’agir vite en acte. Ne mettez pas la cause animale de côté comme l’on fait vos prédécesseurs sans cela force sera de constater que le problème des animaux est secondaire pour vous aussi, que vous êtes indifférent envers leur souffrance et que vous vous moquez des états d’âmes de vos électeurs actuels et futurs.


    Je termine par une citation d’Emmanuel KANT


    "La cruauté envers les animaux est la violation d’un devoir de l’homme envers lui-même"


     


     Je vous remercie, par avance, d’avoir consacré du temps à lire cette lettre.


          Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de mes sentiments très respectueux.


     




    Le 19/08/2019


    Bonjour,


    Dans le cadre du suivi de mon action je tiens à vous informer que le Chef de Cabinet de Monsieur Emmanuel MACRON à répondu assez rapidement à la lettre que je publie dans ma pétition.


    Avec beaucoup de sympathie et d'attention pour les préoccupations que je lui exprime, il m'assure que le Chef d'Etat en a pris connaissance et qu'il est déterminé à faire appliquer les lois existantes et à les renforcer. On n'en attend pas moins...


    La réponse est faite, néanmoins je poursuis mon action afin de lui prouver que  ma demande, grâce à votre contribution, est urgente et qu'elle doit être mise en place avant les vacances de 2020. Il ne faut jamais désespérer...


    Merci pour votre soutien, pour vos messages que je prends soin de lire régulièrement, soyez-en sûr (e).


    Je vous souhaite une très bonne journée.


    Cordialement,


    Liliane


    Le 12/07/2019


    Bonjour à tous,


    Ma pétition n'en est qu'à ces débuts, j'ai reçu beaucoup de commentaires qui me font énormément plaisir, vous vous en doutez certainement .


    Je vous remercie infiniment pour vos appréciations, pour votre soutien par vos signatures à tous. C'est un début mais nous allons y arriver car je vais faire appel à des professionnels également, journalistes, associations mais il faut attendre un peu.


    Vous avez exprimé le souhait d'interdire la vente des chiots et des chats en animalerie, sur les réseaux sociaux et en ligne via les annonces gratuites, et la vente des chiens entre particuliers afin de limiter au maximum le trafic, l'argent facile et l'abandon par la suite.


    C'est une très bonne chose, l'animal est un être vivant et tout être vivant ne se vend pas sur internet ou dans un rayon en animalerie. La loi existe mais, comme toujours personne ne la fait appliquer avec sérieux, le dérapage continue...


    JE N'OUBLIE PAS LES CHATS au passage tel qu'on me l'a demandé mais trop en mettre dans une seule pétition risque d'aboutir à rien.


    J'ai déjà vu des pétitions pour eux, la stérilisation... il faut les protéger eux-aussi bien entendu.


    Je suis consciente que Mr. Macron sera insensible à ma demande mais je ne lâcherai rien, c'est en persévérant qu'on y arrive, il y a un début à tout. Il faut faire !!!


    Je suis consciente également qu'aucune loi bien ficelée soit-elle, éradique l'abandon des chiens, il y aura toujours des gens pervers, sans éducation et sans foi ni loi.


    Mais la règlementation à l'achat et les tests d'aptitude à détenir un animal tel que je l'ai expliqué dans la pétition permettra de limiter tout de même l'abandon et cela se répercutera dans les SPA.


    Des refuges moins surchargés à l'avenir pour mieux s'occuper des pensionnaires encore présents.


    Ceci dit, je retiens l'idée d'interdire la vente en animalerie et cela fera l'objet d'une prochaine pétition. Laissez moi un peu de temps pour la peaufiner...


    J'ai essayé de répondre un peu à la majorité des demandes et des commentaires jusqu'ici, je reviendrai vers vous pour vous informer de mes actions.


    Merci encore, à tous pour votre gentillesse et votre partage ...


    Cordialement,


    Liliane

    Cela fait des années que l'abandon des chiens ne diminue pas, 100 000 par an ! Les refuges et SPA sont débordés, ils n'ont plus de place pour les accueillir et les chiens sont doublement victimes d'abandons dans certains refuges. CE N'EST PLUS POSSIBLE DE CONTINUER AINSI !

    L'abandon est un véritable fléau.
    Derrière 100 000 chiens abandonnés, il y a 100 000 personnes capables de faire cet acte .


    Je suis particulièrement touchée par la cause animale, le chien fait partie de ma vie, c'est un être humain sans parole et j'espère que vous aussi vous pensez que c'est cruel d'abandonner cet animal qui n'a jamais rien demandé et qui est victime de son dévouement auprès de l'humain.
    Il ne s'est jamais imposé dans un foyer, il aime l'humain plus que lui-même alors pourquoi l'arracher à sa mère pour l'abandonner plus tard ?

    Cette pétition est destinée à informer E. Macron pour qu'il sache que tous les chiens en France n'ont pas la chance qu'a eu Némo, son chien adopté au refuge.
    Il faut qu'il comprenne que tous les amis de Némo doivent être respectés, que les lois sont insuffisantes à l'heure actuelle
    (chose qu'il a tout de même reconnu) et qu'il doit agir rapidement et sévèrement.

    Je lui déjà envoyé ma proposition de loi...

    Je vous laisse le soin de lire cette lettre en espérant votre soutien car, comme vous le savez, c'est ensemble que l'on peut se faire entendre, c'est ensemble que l'on peut améliorer nos conditions de vie, les nôtres et celles de nos animaux. Les chiens ont besoins de nous !

    +++La maltraitance sur les animaux se répercute sur les personnes les plus vulnérables au niveau familial+++

                                    LUTTONS POUR LA PROTECTION DU CHIEN DOMESTIQUE,
                         CONTRE SON ABANDON LEQUEL EST RECONNU ACTE DE MALTRAITANCE


    Monsieur Le Président de la République,

    Je me permets de vous écrire pour vous faire part de l'urgence d'intervenir afin de faire cesser la maltraitance infligée aux animaux sur notre territoire et notamment l'abandon excessif des chiens de compagnie.
    Ces actes sont indignes de tout être humain censé les protéger et montrer l'exemple aux enfants.
    La France détient le record d'abandons au niveau européen, la situation est inadmissible.

    Lorsque la loi de 2010 concernant la régularisation des chiens dangereux de 1ère et 2ème catégorie a été mise en vigueur nous avons pu constater rapidement une baisse considérable de l'achat de ces races-là. Elles sont de plus en plus rares dans les rues notamment la 1ère catégorie.

    Les appels aux dons que font les associations et SPA ne sont pas la solution pour éradiquer l'abandon, au contraire, cela conforte l'idée que l'on peut se décharger de ses devoirs, abandonner librement sans pénalités compte tenu que des ressources financières sont allouées pour cela.

    Le travail doit se faire en amont, avant l'achat du chiot ou du chien. L'éducation est un problème majeur des adultes irresponsables. Les enfants doivent être sensibilisés également aux conditions de vie du chien afin de sensibiliser, à leur tour les parents.

    Ma proposition est la suivante : pourquoi ne pas envisager de faire une extension de ladite loi des chiens dangereux sur les chiens de toutes races sans évoquer la clause relevant de l'étude comportementale de l'animal ?

    En imposant un stage à l'issu duquel un certificat d'aptitude serait délivré aux futurs propriétaires de chiens cela limiterai les achats compulsifs, irréfléchis amenant à abandonner son animal sans aucun scrupule.
    Un stage payant, pratiqué chez un éducateur agrée tel que cela se réalise pour les chiens dangereux mais orienté sur l'éducation, le bien-être de l'animal ainsi que sur la race convoitée.

    Ce certificat d'aptitude devra être présenté avant l'achat de l'animal chez l'éleveur ou le particulier ou lors de son adoption y compris en cas de changement de propriétaire. Chaque éleveur et chaque acheteur ayant l'obligation de retourner chacun un exemplaire du certificat dûment complété et signé à la Mairie ou à la Préfecture. Ainsi, les chiens seraient identifiés doublement avec la puce électronique.

    L'aspect financier est bien souvent dissuasif, le stage pouvant être contraignant également pour ceux qui n'ont pas de bonnes intentions. Ces critères réunis auront un impact important sur la réglementation des chiots vendus sans scrupules et cela freinera la possibilité d'abandonner à tout va. Je suis fermement convaincue que c'est une mesure drastique pour stopper les abandons abusifs.

    Par ailleurs, les amendes infligées lors des procès ne sont pas à la hauteur des atrocités commises, les juges ne prennent pas trop en considération la souffrance animale. La loi devrait se durcir à ce niveau-là afin de ne pas banaliser les actes et la loi reconnaissant le chien comme être vivant doté de sensibilité, au même titre qu'un humain.

    Monsieur Le Président de la République, vous avez un chien, un joli Némo à vos côtés qui doit vous donner beaucoup de bonheur, je n'en doute pas. Je vous demande d'agir rapidement pour la cause animale dans notre pays, pour sauver nos chiens de l'abandon. Imaginez les congénères de Némo qui souffrent tous les jours sous les coups de leurs bourreaux, qui sont jetés sur la voie publique, au fond d'un puit, enfermés dans des cages, dans le noir au fond des caves d'immeubles et j'en passe... L' urgence est là, les vacances d'été sont là avec leurs lots d'abandons supplémentaires comme chaque année.

    Il faut règlementer l'achat du chien et je rajouterai également créer une police animale.

    Dans certains refuges et SPA, les chiens et les chats abandonnés ne sont pas toujours considérés malgré les appels aux dons pour assumer leurs besoins. La souffrance est là également, le chien a du mal a s'en sortir et certains ne sortent jamais de ces structures.

    Cette ambiance sur le terrain est difficile à supporter, les chiens sont doublement pénalisés, aucun réconfort. Ils sont privés de liberté, ils sont détenus dans des endroits insalubres parfois, froids, humides ou trop chaud l'été. Certains n'ont pas de couverture ou dorment à même le sol, cela est interdit mais on ne respecte pas la loi.

    Les dons récoltés ne sont pas affectés aux animaux en premier. Je vous le signale en connaissance de cause car le refuge de Toulouse que je visite régulièrement ne reflète pas un lieu hospitalier pour les pensionnaires, le Président n'accorde que très peu de considérations pour les animaux, ils ne sont pas sa priorité. Ils ne reçoivent que le minimum afin de montrer qu'ils sont nourris, sans plus.

    Vous remerciant de l'intérêt que vous porterez à ma demande,
    Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de mes sentiments très respectueux.

    Par avance, merci à tous pour votre participation...
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  • Victoire de la pétition : Prison ferme pour le bourreau d'Attila, martyrisée et jetée par la fenêtre à Neuilly-sur-Marne

    Prison ferme pour le bourreau d'Attila, martyrisée et jetée par la fenêtre à  Neuilly-sur-Marne

    Victoire : Prison ferme pour le bourreau d'Attila, martyrisée et jetée par la fenêtre à Neuilly-sur-Marne

     

    Auteur : Gabrielle Paillot

     

    89.067 Signatures

     

     

     

    Plus de 80.000 signatures pour Attila, cette petite femelle de 6 mois qui n'a connu que l'enfer depuis sa naissance : battue et jetée du troisième étage : elle est morte dans des souffrances abominables (éclatement de la rate).

    Le tribunal correctionnel de Bobigny a condamné son bourreau à 2 ans de prison ferme et lui a interdit à vie de détenir un animal.  Il a été jugé pour acte de cruauté, mauvais traitements, détention de chien de première catégorie non stérilisé, défaut de permis de détention, d’assurance et de vaccination antirabique.
    2 ans de prison, c’est en effet la peine maximale à laquelle peut être condamnée une personne reconnue coupable d’acte de cruauté sur un animal.

    La Fondation Assistance aux Animaux « se félicite de l’implication de la juridiction compétente ayant abouti à cette sanction exemplaire et dissuasive ».

    En savoir plus...

    Relire la pétition Voir les commentaires

     

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  • Au sommet du G7, le nucléaire iranien, l’Amazonie et la Russie au cœur des discussions

    Le ministre des affaires étrangères iranien, Mohammed Javad Zarif, est arrivé à Biarritz pour rencontrer le chef de la diplomatie française.

     

    Le Monde avec AFP et Reuters Publié aujourd’hui à 12h51, mis à jour à 16h40

     

     

    Pendant les discussions des chefs d'Etat au sommet du G7, à Biarritz, le 25 août.Pendant les discussions des chefs d'Etat au sommet du G7, à Biarritz, le 25 août. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE POUR "LE MONDE"

    Un invité surprise est arrivé à Biarritz : le ministre des affaires étrangères iranien, Mohammed Javad Zarif, rencontrait le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, dimanche 25 août en début d’après-midi.

    De leur côté, au lendemain d’un premier dîner informel, les dirigeants du G7 réunis à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) ont de nouveau abordé les grands sujets à l’ordre du jour de la diplomatie internationale. Ils se sont cette fois réunis autour d’une table de travail et, à en croire Donald Trump, sous le signe d’une bonne entente mutuelle, en dépit de désaccords manifestes. Les dirigeants du G7 (Etats-Unis, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Italie, Japon et Canada) « s’entendent très bien », a assuré le président américain sur Twitter, contrairement à ce que pourraient selon lui laisser penser les « répugnantes fake news ».

    Nucléaire iranien, réintégration de la Russie, incendies en Amazonie… Les questions à l’ordre du jour des discussions sont nombreuses.

    Lire aussi Au sommet du G7 à Biarritz, Donald Trump adoube Boris Johnson

    • Sur l’Iran, les pays du G7 vont continuer « à agir chacun dans son rôle »

    C’est une visite qui n’était pas annoncée. Le ministre des affaires étrangères iranien est arrivé au Pays basque dimanche en début d’après-midi, a fait savoir Téhéran. L’avion officiel transportant Mohammed Javad Zarif s’est posé à 14 h 13 à l’aéroport de Biarritz, selon le site de suivi du trafic aérien Flightradar24.

    Le chef de la diplomatie iranienne s’entretient actuellement avec son homologue français, Jean-Yves Le Drian, mais aucune rencontre n’était prévue avec la délégation américaine du G7. « Il s’agit de faire le point sur les conditions auxquelles nous pouvons avoir une désescalade et une pause », a précisé l’Elysée.

    Au sujet du nucléaire iranien, de premières incompréhensions entre les dirigeants présents à Biarritz sont apparues dimanche en milieu de journée. Au micro de LCI, le président français, Emmanuel Macron, a, dans un premier temps, affirmé avoir été chargé par ses partenaires d’une « communication commune » sur le dossier, confirmant des informations données de sources diplomatiques.

    Selon ces sources, les Sept ont chargé Emmanuel Macron de « discuter et d’adresser un message à l’Iran » pour éviter l’escalade dans la région. Les Iraniens ont arrêté en juillet de respecter certains engagements de l’accord de Vienne encadrant leur programme nucléaire, en réaction à la sortie en mai 2018 des Etats-Unis du texte et à la réintroduction de lourdes sanctions américaines.

    Article réservé à nos abonnés Lire aussi La difficile médiation de Paris sur le nucléaire iranien

    Pau après, le président américain, Donald Trump, a toutefois démenti que les pays du G7 se soient mis d’accord sur un message commun à transmettre à l’Iran. « Je n’ai pas discuté de cela », a-t-il dit en réponse à des journalistes. Il a ainsi contraint M. Macron à revenir sur ses propos :

    « Le G7 est un club informel, il n’y a pas de mandat formel qui est donné dans le cadre du G7 à l’un ou à l’autre et donc il y a des initiatives qui continueront d’être prises par les uns et les autres. »

    « On a eu une discussion hier sur l’Iran qui a dégagé deux lignes de force communes », a-t-il poursuivi devant la presse en marge du sommet :

    « Aucun membre du G7 ne veut que l’Iran puisse jamais avoir l’arme nucléaire (…) et tous les membres du G7 sont profondément attachés à la stabilité et la paix de la région et donc ne veulent pas engager des actions qui puissent nuire à celles-ci ».

    Début août, Emmanuel Macron, très impliqué dans les efforts européens pour tenter de sauver l’accord, s’était attiré les foudres de Donald Trump qui lui avait reproché de trop parler « pour les Etats-Unis ».

    • Le G7 d’accord pour « aider au plus vite les pays frappés » par les incendies en Amazonie

    Pendant les discussions des chefs d'Etat au sommet du G7, à Biarritz, le 25 août.Pendant les discussions des chefs d'Etat au sommet du G7, à Biarritz, le 25 août. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE POUR "LE MONDE"

    Les Sept ont également abordé dimanche la question de l’Amazonie en proie à des milliers d’incendies depuis plusieurs semaines provoquant un tollé mondial face à la politique du président brésilien, Jair Bolsonaro. Le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, a annoncé en début d’après-midi que les pays du G7 s’étaient mis d’accord pour « aider le plus vite possible les pays frappés ».

    « Il y a une vraie convergence pour dire “on se met tous d’accord pour aider au plus vite possible les pays qui sont frappés par ces feux” », a rapporté le président français, faisant état de contacts en cours « avec tous les pays de l’Amazonie (…) pour qu’on puisse finaliser des engagements très concrets de moyens techniques et financiers ». « Nous sommes en train de travailler à un mécanisme de mobilisation internationale pour pouvoir aider de manière plus efficace ces pays », a précisé M. Macron.

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    Quant à la question de plus long terme de la reforestation de l’Amazonie, « plusieurs sensibilités se sont exprimées autour de la table », a ajouté M. Macron, en soulignant l’attachement des pays concernés à leur souveraineté nationale. « Mais l’enjeu de l’Amazonie pour ces pays comme pour la communauté internationale est tel en termes de biodiversité, d’oxygène, de lutte contre le réchauffement climatique qu’il nous faut procéder à cette reforestation », a plaidé le président français.

    Article réservé à nos abonnés Lire aussi A Biarritz, Macron mène l’offensive sur l’écologie

    • « Trop tôt » pour réintégrer la Russie

    Au cours de leur dîner de samedi soir, au pied du phare de Biarritz, les sept dirigeants se sont aussi entendus pour « renforcer le dialogue et la coordination » sur les crises actuelles avec la Russie, tout en estimant qu’il était « trop tôt » pour la réintégrer dans un G8, selon une source diplomatique. La Russie a été exclue du G8 en 2014 après l’invasion de la Crimée. Mais Donald Trump est plutôt favorable à son retour, contrairement à ses pairs.

    Article réservé à nos abonnés Lire aussi A Brégançon, Emmanuel Macron tend la main à la Russie, « profondément européenne »

    • La guerre commerciale entre Pékin et Washington ne « provoque pas de tensions », selon Trump

    La session de travail de dimanche matin était consacrée à « l’économie internationale », au « commerce » et à la « sécurité internationale », un programme suffisamment vaste pour permettre théoriquement de traiter de toutes les questions qui fâchent, dont les relations commerciales délétères entre les Etats-Unis et la Chine. Donald Trump a toutefois affirmé dimanche que cette guerre commerciale ne provoquait pas de tension au sommet.

    « Je pense qu’ils respectent la guerre commerciale. Elle devait avoir lieu », a déclaré le président américain à des journalistes. Il a d’ailleurs précisé qu’il regrettait de ne pas avoir encore plus relevé les droits de douanes pour les produits chinois.

    Très favorable aux accords bilatéraux, Donald Trump a également affirmé que les Etats-Unis étaient « très proches » d’un accord commercial « majeur » avec le Japon sur lequel les deux pays travaillent depuis cinq mois.

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    25/08/2019 à 13h16

     

     
     

    Quelque 1.663 nouveaux feux se sont déclarés entre jeudi et vendredi, selon l'Institut national brésilien de recherche spatiale. Le sort de la forêt tropicale est au coeur du sommet du G7 qui se tient ce week-end à Biarritz.

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    Cac 40 : Le CAC 40 se retourne à la baisse après la réplique chinoise sur les tarifs douaniers

    vendredi 23 août 2019 à 14h21
    De nouvelles taxes douanières chinoises préoccupent les marchés

    (BFM Bourse) - La Chine s'apprête à appliquer des droits de douane accrus sur des produits d'importation américains, représentant un montant de marchandises de 75 milliards de dollars, rapporte l'agence Bloomberg. En hausse en matinée, le CAC 40 est repassé dans le rouge à cette annonce, avec les autres principaux indices.

    Alors que le marché parisien évoluait jusqu'en début d'après-midi en fragile progression, rebondissant ainsi après son recul de 0,87% jeudi, le CAC 40 s'est brutalement retourné en baisse vers 14h00 à la parution d'un article de l'agence Bloomberg rapportant que la Chine allait mettre en place de nouvelles taxes douanières sur des produits américains. Vers 14h30, l'indice tricolore refluait de 0,59% à 5356,39 points.

    Ailleurs en Europe, le Dax allemand perdait 0,87%, le FTSE MIB italien 0,67%, tandis que l'Ibex madrilène parvenait à demeurer quasi stable et que le FTSE 100 britannique avançait de 0,15%.

    Selon Bloomberg, rapportant un communiqué du ministère chinois des Finances, la Chine a décidé d'augmenter dès septembre les droits de douane sur 5000 produits américains représentant l'équivalent de 75 milliards de dollars, et de réinstaurer une taxe de 25% sur les voitures importées des Etats-Unis à compter du 15 décembre.

    Cette reprise apparente des hostilités entre la Chine et les Etats-Unis (dont Donald Trump n'est cette fois pas à l'origine) a pris de court les rares investisseurs présents en cette fin de semaine estivale, qui avaient jusqu'ici les yeux rivés sur le symposium de Jackson Hole. Le président de la Réserve fédérale Jerome Powell doit s'exprimer dans ce cadre vers 16h00, donnant l'occasion aux opérateurs d'affiner leurs anticipations sur la politique monétaire à venir de l'insitution.

    Pressé par une partie des acteurs de la finance et notamment par le président des Etats-Unis lui-même d'ouvrir encore plus grand le robinet du crédit, le patron de la Réserve fédérale devrait se lancer dans un numéro d'équilibriste, en confirmant une prochaine deuxième réduction des taux directeurs sans pour autant engager forcément la banque centrale dans un cycle durable de baisses... Au final "Ce rendez vous n’engendrera que du bruit mais pas de signal majeur à mon sens", tranche Nicolas Chéron, responsable de la recherche marchés pour Binck.fr.

    Du côté des valeurs, la publication de résultats supérieurs aux attentes de l'américain Salesforce jeudi soir à Wall Street permettait à Dassault Systèmes de surnager (+0,75%, contre +2% à la mi-journée). Capgemini dans le même compartiment technologique s'affichait également en hausse (+0,65%).

    Le titre Société Générale restait bien orienté, quoi que là aussi sur une avance réduit par rapport à la matinée (+0,3% au lieu de +1,4%) après les informations de la veille selon lesquelles la banque cherche à réduire les coûts de ses services centraux et informatiques, et étudierait l'opportunité d'une cession de sa filiale de gestion d'actifs Lyxor.

    Inversement, comme à chaque fois qu'apparaissent des frictions entre les deux premières puissances économiques mondiales, toujours en quête depuis 2018 d'un éventuel accord commercial, les secteurs de l'automobile et du luxe sont sanctionnés. Valeo abandonne 2,85%, Faurecia 2,77%, Michelin 1,4% et Renault 1,2%. LVMH cède de son côté 0,8% et Kering 0,56%,

    La plus forte baisse du jour est une nouvelle fois à chercher du côté des biotechs avec le plongeon de 7% d'Adocia. La biotech lyonnaise peut dire adieu à ses prétentions face à Lilly, un tribunal arbitral américain ayant rejeté ses demandes (mais aussi la contre-demande du groupe pharmaceutique US). Adocia demandait 1,3 milliard de dollars à la suite de l'abandon d'un partenariat de développement entre les deux sociétés...

    Les cours du baril plongent également dans la perspective de nouveaux freins au commerce mondial, ce qui risque de peser sur la demande d'or noir. Le baril de WTI flanche de 3,11% à 55,63 dollars, tandis que le Brent recule de 2,12% à 58,65 dollars. Un recul qui se répercute directement sur les valeurs du secteur à l'image de Vallourec (-4,88%), TechnipFMC (-4%) et CGG (-3,6%), les trois plus fortes baisses du SBF 120 à l'heure actuelle.

    Sur le marché des changes, l'euro qui était resté relativement stable depuis le début de la semaine se replie de 0,14% à 1,1065 dollar.

    Guillaume Bayre - ©2019 BFM Bourse
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