• Pétition : Les Pompiers ont besoin de vous - Soutenez les !
    Auteur : Intersyndical Pompiers (CFDTSDIS, CGTSDIS, FOSIS, UNSASDIS, FASPP-PATS, Avenir-Secours, SPASDIS-CFTC)

    Destinataire(s) : Monsieur le Président de la République

     

    7 syndicats de sapeurs-pompiers professionnels représentant 85 % des effectifs en France en appellent à votre soutien.


    La situation est de plus en plus difficile dans les Services d’Incendie et de Secours. Les budgets sont contraints, certains services de l’état se désengagent, les interventions, les violences sur les Pompiers ne cessent d’augmenter, le SAMU engage les pompiers sur des missions de en plus éloignées de leurs prérogatives, LA COLERE ET LA GROGNE SE SONT INSTALLEES DANS NOS RANGS !


    Nous demandons :


    • la revalorisation de la prime de feu
    • le recrutement massif d’emplois statutaires pour répondre aux besoins des SDIS de la population
    • la mise au centre des préoccupations, les questions de protection de la santé et de la sécurité pour les sapeurs-pompiers
    • la garantie de la pérennité de la CNRACL (caisse des retraites) 
    • la révision de l’organisation de la sécurité civile
    44.995 signatures

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  • Refusons les ravages de l'huile de palme

    Auteur : Le CCFD Terre Solidaire

     

    « Sans la forêt, pas de Dayaks ; sans les Dayaks pas de forêt. » Ce dicton en dit long sur le lien fort qui unit la forêt aux Dayaks, ce peuple indigène de l’ile de Bornéo en Indonésie.


    Depuis que l’Indonésie s’est lancée dans la production d’huile de palme, notamment pour satisfaire la demande européenne d’agrocarburants, la forêt est littéralement ravagée, brûlée, les sols et les rivières contaminés par les désherbants et les engrais chimiques...


    À tel point qu’avec la forêt qui disparaît, c’est le peuple Dayak qui risque de mourir.


    Depuis 2016, cette exportation est en légère baisse grâce au nouveau président Jokowi qui a reconduit un moratoire sur l’agrandissement des plantations jusqu’à lors souvent détourné par les industriels. Mais l’Indonésie reste l’un des deux grands exportateurs mondiaux d’huile de Palme avec la Malaisie.


    Face à la monoculture intensive de la palme, le CCFD Terre solidaire et son partenaire local, l’Institut de Dayakologie,  relancent les Dahas, ces jardins potagers où l’on cultive fruits, légumes, plantes médicinales, où l’on élève des poules, des canards... Grâce à cette diversité, les Dayaks renforcent leur sécurité alimentaire, consolident leur lien avec la forêt et s’engagent à nouveau à la protéger.


    Pour donner les moyens aux villageois de rester, l’Institut les forme notamment à l’agroforesterie, cette méthode d’exploitation forestière basée sur des savoir-faire locaux associe plusieurs productions vivrières et l’élevage sur des surfaces réduites, sans utilisation d’engrais polluants et sans détruire la forêt.


    En signant notre pétition, vous vous opposez au système destructeur des vastes plantations de palmiers à huile. Soutenir l’agroforesterie c’est soutenir une agriculture basée sur la biodiversité, bien plus performante pour améliorer les conditions de vie des populations locales. 


    Merci pour votre soutien !

     

     
     

     

     
     

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  • Pétition : Arrêt du massacre des dauphins au Japon.
    Auteur : Gasser peggy

    Destinataire(s) : La baie de Taiji JAPON

     
    "À Taiji, au Japon, les pêcheurs conduisent chaque année les dauphins vers une crique pour les massa­crer. Ce rituel vive­ment contro­versé vient de commen­cer, rappor­tait BBC le 2 septembre. Le bain de sang devrait durer six mois."

    Le but de cette pétition est de faire cesser le massacre des dauphins dans d'horribles souffrances dans une marre de sang au Japon, dans la baie de Taiji.
    20.154 signatures

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  • La Poste: Des témoignages accablants sur les conditions de travail dans «Envoyé spécial»

    DOCUMENTAIRE Le reportage, diffusé jeudi soir, évoque les cadences, la souffrance au travail et les suicides au sein du groupe

    20 Minutes avec AFP

    Publié le 12/09/19 à 05h46 — Mis à jour le 12/09/19 à 05h46

     

    L'entrée d'un bureau de poste (illustration).

    L'entrée d'un bureau de poste (illustration). — GILE MICHEL/SIPA

     

    Cadences industrielles, souffrance au travail, suicides : le tableau que dresse de La Poste un documentaire du magazine Envoyé spécial diffusé jeudi soir (21h) est très noir, au point que le groupe a refusé de participer à l’enquête. « J’ai contacté La Poste plus de deux mois avant la diffusion et j’ai reçu une réponse négative », a expliqué le journaliste Pedro Brito Da Fonseca, auteur de ce sujet intitulé La Poste sous tension.

     

    Les premières images montrent un groupe de postiers des Hauts-de-Seine, alors en grève depuis 15 mois, pénétrant en force de nuit en juin dernier dans le siège du groupe. Une « action délictuelle » qui motive la réaction du groupe de ne pas participer à un reportage adoptant « un angle exclusivement polémique et partial qui ne laisse aucune perspective d’un traitement objectif et équilibré », a indiqué La Poste à l’AFP.

     

    « Travail minuté » par des algorithmes et prises d’anxiolytiques

     

    Au-delà de ces premières images choc, le documentaire de 37 minutes émeut surtout pour ses témoignages de postiers en souffrance et de proches de ceux qui se sont suicidés. Le reportage détaille deux suicides, celui de Charles Griffond, 53 ans, le 17 juillet 2016, qui laisse une lettre intitulée « lettre d’un facteur désespéré », et celui de Paula Da Silva, le 24 octobre 2018, après des mois de burn-out, d’appels à l’aide et d’arrêt de travail.

     

    Dans les deux cas, les proches évoquent une pression insupportable. Des salariés, postiers ou cadres, témoignent aussi du « travail minuté » par des algorithmes opaques, des « réorganisations tous les 18 ou 24 mois », des prises d’anxiolytiques pour « tenir ». Marc, ancien cadre, a tenu de 2008 à 2015 une liste et constate qu’on passe à partir du changement de statut d’une vingtaine de suicides par an à « 30, 35 cas par an, un presque doublement ». Un autre cadre « estomaqué » fait état d’une liste interne recensant une quarantaine de suicides ou tentatives en 2016.

     

    Un argumentaire bien rodé auprès des médias

     

    Les suicides à La Poste n’ont pas eu le même impact médiatique qu’à France Télécom, relève le reportage, qui avance une explication avec les confidences d’une ancienne attachée de presse : selon elle, la communication a développé un argumentaire bien rodé auprès des médias, mettant systématiquement en cause la vie personnelle du salarié ou son incapacité à « prendre le train de la transformation en marche ».

     

    Cette attachée de presse dit avoir quitté la Poste pour ne « pas passer (sa) vie à jouer les fossoyeurs ». La plupart des intervenants témoignent le visage flouté et la voix modifiée. « J’ai eu du mal à établir le contact, il règne un sentiment de peur », a indiqué Pedro Brito Da Fonseca. Le mal-être à La Poste est dénoncé depuis plusieurs années par les syndicats, des salariés et des médecins du travail de l’entreprise.

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  • Pie-grièche à poitrine rose : encore une espèce qui disparaît


    • La pie-grièche à poitrine rose subsiste en Europe de l’Est. La pie-grièche à poitrine rose subsiste en Europe de l’Est. Ch. R./LPO
      Publié le 04/08/2019 à 19:47 / Modifié le 04/08/2019 à 19:54

     

    C’est la fin redoutée d’un oiseau emblématique de la région.

     

    "C’est une disparition qui est devenue prévisible dès le début des années 2000", précise Denis Rey, responsable de programmes au pôle conservation de la LPO Hérault (Ligue de protection des oiseaux) à Villeveyrac.

    Est-ce véritablement le clap de fin pour cette espèce qui était commune dans la "majorité des départements français il n’y a pas si longtemps" ? Il semble bien, même si le membre de la LPO veut se montrer prudent : "Entériner une disparition d’espèce, c’est compliqué mais il faut se dire qu’il y a peu de chance de revoir un couple de pies-grièches en France l’an prochain."

     

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  • reconnaissance et remboursement de la rTMS par la SS

    Madame la ministre des Solidarités et de la Santé,

    Nous vous interpellons,  car il s’agit vraiment d’un cas d’école et d’une notion de droit.

    Il s’agit d’une technique novatrice mais testée ,homologuée qui se pratique tant en psychiatrie, qu’en traitement des troubles bi polaires,en traitement de la douleur, de la fibromyalgie et des neuropathologies comme la maladie de Parkinson ou celle d’Alzheimer….

    De plus en plus la science avance, expérimente de nouveaux procédés prenant le relais de médicaments onéreux et lourds d’effets secondaires. Les médecins n’hésitent plus à prescrire et utiliser ces nouveaux procédés, testés et homologués, mais l’administration, comme toujours, traîne en longueur met trop longtemps pour prendre en compte la réalité et met ainsi dans l’illégalité des praticiens intègres et compétents.

    La stimulation transcrânienne (TMS) est pratiquée en psychiatrie et en neurologie, utilisée  en tant qu’outil depuis 1980. L’expérimentation s’est révélée positive et de nombreux médecins la prescrivent en secteur public et sont obligés de jongler administrativement pour que leurs  patients voient l’intervention remboursée. Après enquête élémentaire (documents, témoignages publics) sur le sujet, on s’aperçoit que certains médecins des hôpitaux et cliniques publiques utilisent bien cette nouvelle technologie mais doivent « tricher » pour obtenir le remboursement du soin…Ce sont des documents publics, consultables par tous qui le montre( nous les tenons à disposition car il s’agit pas d’ une enquête souterraine à but mal définit…)

    Le vrai problème aujourd’hui  est que ce vide administratif empêche le remboursement au patient ; plaçant par là même les professionnels dans l’illégalité et les forçant à « interpréter les nomenclatures pour rentrer dans leurs frais et faire que le soin soit remboursé.

    Les conséquences peuvent être très dures pour ceux-ci (condamnation par le Conseil de l’ordre, suspension du droit d’exercer pour plusieurs mois …pour fraude)!…Le fonds du problème si le praticien est honnête, est qu’à ce jeu les clients du secteur privé sont encore plus lésés, ce qui devient  inquiétant ! Médecins et les patients sont traités différemment dans les hôpitaux publics et dans le secteur privé pour le même problème et en utilisant la même technique. Les uns se débrouillent, les autres subissent le droit dans toute sa rigueur. Et leurs patients restent  sans soins pendant leur interdiction d’exercer, ou à nouveau sous médication très lourde, ce qu’ils ne souhaitent plus et en grande souffrance…

    Le point d’achoppement est le décalage entre une technique reconnue et éprouvée et sa prise en charge par la sécurité sociale. A l’heure actuelle, la Tms ne rentre pas dans sa nomenclature .Doit-on attendre le bon vouloir de cette administration pour être soigné judicieusement ou faut-il susciter une mise à jour de la nomenclature pour coller à la réalité  vécue par les praticiens et les malades ?

    Aujourd’hui les nouvelles technologies sont de plus en plus employées car on s’intéresse enfin à l’humain… On est face à des patients de plus en plus avertis, acteurs de leur santé et demandeurs de techniques non médicamenteuses. Dans le corps médical, il y a aussi une prise de conscience. On est au cœur du soin ! Reste à faire en sorte que tout se déroule dans un cadre légal, identique pour tous. Aujourd’hui des psychiatres reconnus sont pénalisés par le conseil de l’Ordre pour avoir eu recours à cette technique ; sanction : des mois d’interdiction de pratiquer !

    A l’heure des restrictions budgétaires, de la réflexion sur le mieux être des patients, ne serait- il pas judicieux  de régulariser cette incohérence qui n’a que trop durée ?

    Lançons une alerte utile et un appel pour être entendus vers les pouvoirs publics, les députés et sénateurs, pour établir ce cadre légal  et une révision de la nomenclature de la Sécurité Sociale qui soit en rapport avec les avancées thérapeutiques actuelles…

    Demander une action rapide et conjointe des praticiens, des patients, des députés et des  sénateurs concernés, du directeur de la Sécurité Sociale et de Madame la Ministre de la Solidarité et de la Santé, pour obtenir une mise à jour rapide de la nomenclature !

    En espérant que le Public et le Privé resteront soudés dans cette action, car elle est de l’intérêt de tous…

    Il est clair qu’il faut demander un arbitrage au plus au niveau et faire évoluer la loi et les modes de remboursement pour coller à la réalité des praticiens, des  technologies, de la prise en charge du patient, de la vision de la CCAM et du codage. Il faut susciter faire évoluer les textes vers une prise en charge clairement notifiée  pour toutes les filières  aussi bien publiques que privées…

    Ne laissons pas les Lobbies pharmaceutiques garder leur pré carré, en refusant une technologie utile, performante et moins coûteuse sur la durée.

     

    22/08/2019

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  • Soupçons d'emplois fictifs au MoDem : Sylvie Goulard entendue par les policiers, le jour même où elle est nommée commissaire européenne Sylvie Goulard a été nommée mardi commissaire européenne au Marché intérieur.

    Sylvie Goulard a été nommée commissaire européenne au Marché intérieur le 10 septembre 2019.Sylvie Goulard a été nommée commissaire européenne au Marché intérieur le 10 septembre 2019. (PATRICK KOVARIK / AFP) avatarfranceinfoRadio France Mis à jour le 10/09/2019 | 16:52 publié le 10/09/2019 | 16:49

    Sylvie Goulard, ex-députée européenne et ex-ministre des Armées, a été entendue mardi 10 septembre par les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) à Nanterre, dans le cadre de l’enquête sur des soupçons d'emplois fictifs des assistants parlementaires d'eurodéputés MoDem,

    a appris Franceinfo de source judiciaire, confirmant une information du Point. Sylvie Goulard a été auditionnée au moment même où la Commission européenne a dévoilé les attributions des candidats aux postes de commissaires. Sylvie Goulard hérite d'un vaste portefeuille économique. Elle deviendra commissaire européenne au Marché intérieur, si le Parlement européen valide cette nomination.

    Une information judiciaire, confiée à des juges parisiens, avait été ouverte en juillet 2017 pour "abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries". Le MoDem est soupçonné d'avoir utilisé des crédits européens pour rémunérer des assistants parlementaires d'eurodéputés au service du parti. A lire aussi Soupçons d'emplois fictifs au MoDem : après Sylvie Goulard, François Bayrou et Marielle de Sarnez à leur tour entendus par les policiers Emplois fictifs présumés du MoDem : Sylvie Goulard a été "blanchie", insiste Amélie de Montchalin Sylvie Goulard, une commissaire européenne fragile... Affaires des emplois fictifs du MoDem : Sylvie Goulard a remboursé 45 000 euros au Parlement européen . Commission européenne : le choix de Sylvie Goulard est "cohérent avec un modèle ultralibéral", mais "très éloigné de la réalité des Européens"

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    Générations Futures dénonce les carences de l’UE

    dans l’évaluation des pesticides

    L’Allemagne et la France sont les pays qui ont le plus perde à cause des faux pesticides sur leur marché. [Teddy Llovet/ Flickr]

     

     

    Dans un rapport publié ce mardi 10 septembre, Générations Futures affirme que la dangerosité réelle des pesticides est sous-estimée en Europe. Les décideurs ne tiendraient pas compte de toutes les études scientifiques disponibles. Un article de notre partenaire Ouest-France

    Un jour après l’ouverture de la consultation publique sur les zones qu’il ne faudrait pas traiter aux pesticides, afin de protéger les riverains, l’organisation Générations futures a étudié la façon dont ces substances toxiques sont mises sur le marché, ou réautorisées dans l’Union européenne.

    Son rapport publié ce mardi pointe des carences : « L’évaluation des pesticides ne prend pas en compte toutes les données scientifiques disponibles, bien que le règlement européen l’exige. »

    Générations Futures @genefutures
     

    Nouveau rapport de Générations Futures sur les carences des évaluations des . Nous dénonçons une sous estimation de la dangerosité réelle des pesticides en Europe ! https://www.generations-futures.fr/actualites/rapport-carences-evaluation-pesticides/  @Veillerette @EuropePAN @HealthandEnv @Elisabeth_Borne @agnesbuzyn @dguillaume26

    Voir l'image sur Twitter

     

     

    Un résultat sans appel

    Pour le démontrer, Générations Futures a scruté les dossiers de cinq substances actives, en cours d’évaluation ou de réautorisation.

    Elle a comptabilisé le nombre d’études scientifiques citées par les industriels, ainsi que par l’État membre désigné pour signer un rapport d’évaluation (RAR) remis à l’Efsa, l’Agence européenne de sécurité des aliments. Et celles disponibles sur PubMed, la base de données de la Bibliothèque américaine de médecine qui répertorie tous les articles des chercheurs en biologie, validés par leurs pairs.

    Leur résultat est sans appel. Pour le chlorpyrifos, un insecticide organophosphoré, suivi par l’Espagne, la liste répertorie seulement quatre-vingt-cinq études publiées, alors que PubMed affiche plus de 2 000 études qui démontrent sa toxicité. Cet insecticide est toutefois dans le collimateur de l’Efsa qui souhaite l’interdire. Aux États-Unis, c’était le 14e pesticide le plus utilisé en 2012.

    Aucune étude sur les trente et une publiées

    C’est encore pire pour le metsulfuron-méthyle, un nouvel herbicide toxique pour les organismes aquatiques. « Sur les trente et un résultats de toxicité publiés sur PubMed, aucun ne figure dans le dossier de demande d’autorisation des industriels ! » Qu’y a-t-il donc dans ce dossier ? Uniquement des études fournies par les fabricants eux-mêmes, et non publiées.

     

    Or, rappelle Générations futures que le règlement européen stipule que « seule la présence de toutes les études… permet de lancer un débat scientifique pour savoir quelles sont les études les plus fiables ».

    L’organisation réclame aujourd’hui que « soit refusé tout dossier ou RAR ne contenant pas l’intégralité de la production scientifique des dix années précédentes concernant la toxicité des pesticides en réexamen ».

    Et ce n’est pas accessoire, à l’heure où des scientifiques relient de plus en plus l’augmentation des cas d’autisme ou de maladies comme Parkinson aux pesticides, « une revue rapide de toutes les substances actives autorisées dans l’UE ces dix dernières années ».

     

     

     

     
     

     

    lg

     

     
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