• J'en ai déjà marre des tous ces vêtements,qui ne sont portés sur le sol français que pour se différencier... Les femmes qui se soumettent à ce "rite" ne sont pas libres: elles sont une insulte à notre République "une et indivisible" et à ses bases : la république est d'abord LAÏQUE "Les républicains mettent peu à peu en place leur projet politique : l’école est rendue gratuite, laïque et obligatoire en 1881-1882, les libertés de presse et de réunion sont accordées en 1881, le divorce et les syndicats sont autorisés en 1884, et les Églises sont séparées de l’État en 1905e". La religion c'est personnel, c'est chez soi, c'est intime. Ce n'est pas une pratique féodale qui stigmatise des individus au dépend des autres...

    Sur le sol français, une femme doit se conformer à l'usage français, on s'habille librement! Et à la piscine on met un maillot comme tout le monde...Celà demande sûrement des efforts, mais c'est aussi ça être français ou respecter la France.

    Que des féministes se compromettent dans ce faux problème,qui n'est en fait qu'une provocation,me laisse perplexe...Que cherchent-elles?

    En France nous avons certes des droits mais surtout des devoirs! devoir de ne pas troubler l'ordre public,devoir de pas afficher sa religion à l'extèrieur de chez soi,devoir surtout d'apprendre à être français, puisque tel est notre choix! Si cela ne convient pas : la porte est ouverte, ils peuvent aller explorer d'autres pays, peut-être plus accueillants... Est-ce raciste que de vouloir que son pays et ses lois soient respectés?

    Des baigneuses en burkini provoquent la fermeture d'une piscine à Paris

     

    Une quinzaine de militantes féministes et musulmanes se sont baignées dans un établissement du 11e arrondissement afin de protester contre l'interdiction de ce maillot de bain couvrant.

    Une quinzaine de militantes féministes et musulmanes ont provoqué la fermeture d'une piscine à Paris dimanche après s'être baignées en maillot deux pièces et en burkini, pour protester contre l'interdiction de ce maillot de bain couvrant controversé.

    » LIRE AUSSI - Faut-il une loi pour interdire le burkini dans les piscines municipales ?

    Le petit groupe a pénétré dans une piscine du 11e arrondissement et cinq femmes musulmanes se sont baignées en burkini, soutenues par d'autres militantes féministes en maillots une ou deux pièces, mais aussi des personnes transgenres et des hommes membres du collectif créé pour l'occasion, a constaté un journaliste de l'AFP.

    «On se baignera, on se baignera ! Même si les racistes veulent pas, nous on se baignera !»: leurs chants militants ont été accueillis avec des regards tantôt amusés, tantôt indignés des autres nageurs.

    L'opération coup de poing a provoqué l'intervention des maître-nageurs, puis celle de la police, sans aucun heurt. Lors d'une brève altercation, un homme irrité par l'initiative a montré son sexe aux militantes. Après une trentaine de minutes, la direction a fait fermer la piscine et les militantes sont reparties en déployant une banderole avec le slogan, «piscine pour toutes, stop islamophobie».

    «Le but, c'est d'accéder à la piscine en tant que femmes musulmanes qui portons le voile», a déclaré à l'AFP Nargesse (sans donner son nom de famille), 27 ans, avant de se baigner en burkini. «On veut revendiquer notre choix de le porter et de pouvoir continuer à avoir nos loisirs sans qu'on puisse être importunées par des règlements discriminants», a ajouté la jeune femme, en dénonçant «la montée des idées islamophobes». «C'est important que toutes les femmes et toutes les personnes puissent se baigner et profiter de loisirs», a estimé de son côté Camille, militante féministe de 18 ans. «C'est pas parce qu'elles ont un maillot couvrant que c'est grave ou qu'il faut invoquer des raisons comme on l'a dit +d'hygiène et de sécurité+ (pour l'interdire), ce qui est totalement faux.»

    Dans un communiqué, le collectif a réclamé «le changement des règlements intérieurs des piscines, et l'accessibilité aux loisirs pour tous-tes». «Nos corps nous appartiennent, nous les couvrons ou les découvrons pour des raisons qui nous regardent», ont fait valoir les militantes. Une action du même type à Grenoble mi-juin avait suscité une polémique nationale. Le Premier ministre Édouard Philippe avait estimé que les règles des piscines publiques doivent être respectées, et qu'«aucune conviction religieuse» ne pouvait être prise en compte pour y déroger.

    La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait elle condamné «les associations à caractère communautariste» qui tentent d'«imposer» un débat sur le burkini «qui n'a pas lieu d'être».

     
     
    Le Figaro avec AFP
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Manifestations au Royaume-Uni contre la suspension du Parlement

    MANIFESTATIONS AU ROYAUME-UNI CONTRE LA SUSPENSION DU PARLEMENT LONDRES (Reuters) - De Londres à Belfast, quelques milliers de Britanniques ont manifesté samedi pour dénoncer le "coup de force" de Boris Johnson, sa décision de suspendre le Parlement à quelques semaines du retrait britannique de l'Union européenne.Arrivé au pouvoir en juillet, l'ancien maire de Londres promet que le Brexit se fera coûte que coûte le 31 octobre, avec ou sans accord.Sa décision d'interrompre pendant plus d'un mois les travaux des parlementaires, de la mi-septembre au 14 octobre, prive les adversaires du Brexit de moyens de s'y opposer.Quelque 2.000 personnes se sont réunies devant les bureaux du Premier ministre au 10, Downing Street, aux cris de "Johnson, menteur, honte à toi!""#StopTheCoup (arrêtez le coup d'Etat). Défendons notre démocratie. Sauvons notre avenir", pouvait-on lire sur une pancarte.A Belfast, une centaine de personnes ont manifesté devant la mairie.Le gouvernement Johnson fait valoir qu'il est habituel de suspendre le Parlement avant qu'un nouvel exécutif ne présente son programme de gouvernement lors du traditionnel discours de la Reine, que Boris Johnson a fixé au 14 octobre.Mais ses adversaires dénoncent une prorogation des travaux du Parlement particulièrement longue, inacceptable en temps de crise, et une manoeuvre grossière pour réduire les débats sur le Brexit.A l'occasion de la reprise de leurs travaux mardi, à l'issue de la trêve estivale, les députés de l'opposition tenteront d'empêcher la suspension du Parlement et de légiférer pour éviter un Brexit sans accord. Un recours en justice contre la prorogation des travaux parlementaires sera également examiné la semaine prochaine à Belfast. Un remier recours déposé en ce sens a été rejeté vendredi par un juge d'Edimbourg.
    MANIFESTATIONS AU ROYAUME-UNI CONTRE LA SUSPENSION DU PARLEMENT
     
     
     
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Vu de l'espace, l'ouragan Dorian est terrifiant

     

    L'ouragan Dorian change de trajectoire et pourrait épargner partiellement la Floride

     
     
     

    Selon les dernières prévisions du Centre national des ouragans américain (NHC), Dorian devrait continuer à progresser vers l'ouest au cours du week-end avant de piquer vers le nord en longeant les côtes du "Sunshine State".

    Dans un tweet matinal, le NHC évoque "un changement notable au cours de la nuit", et met en garde contre des "vents violents" et des tempêtes menaçantes sur les côtes de Géorgie et Caroline du Sud en milieu de semaine prochaine.

    Aux Bahamas, qui devraient être frappées dimanche, le Premier ministre Hubert Minnis a lancé un appel à la mobilisation. "Ceux qui ne veulent pas évacuer se mettent en grand danger", a-t-il prévenu. "Je vous en conjure: ne soyez pas insensé et n'essayez pas de braver l'ouragan".

    Tenez-vous prêts

    Les services météorologiques régionaux ont dit aux habitants de se préparer à des "dégâts catastrophiques".

    "On nous a dit que ce ne serait qu'une tempête, mais on réalise maintenant que c'est peut-être un peu plus grave" a indiqué à l'AFP Lucy Worboys qui habite à Nassau, la capitale de l'archipel.

    La rentrée de ses enfants, explique-t-elle, a été repoussée de lundi à mercredi, possiblement jeudi. "La marée est incroyablement haute maintenant donc les gens ont peur de la montée du niveau de la mer, comme les îles des Bahamas sont très plates", a-t-elle ajouté.

    Le président américain Donald Trump, qui a estimé que l'ouragan menaçait de devenir un "monstre absolu", a annulé le voyage qu'il devait effectuer en Pologne ce week-end, pour s'assurer en personne que "l'ensemble des moyens de l'Etat fédéral soit focalisé sur la tempête qui arrive".

    "Tenez-vous prêts. Soyez prêts à faire face à un événement qui pourrait s'étaler sur plusieurs jours", a de son côté averti le gouverneur républicain de la Floride, Ron DeSantis.

    "Si vous vous trouvez dans une zone d'évacuation et que vous recevez l'ordre d'évacuer, je vous prie de le faire. Placez votre sécurité avant le reste: mieux vaut évacuer et ne pas finir victime, plutôt que rester et mettre votre vie en danger", a-t-il ajouté.

    La Floride, principalement constituée d'une péninsule dans le sud-est des Etats-Unis, se trouve chaque année en première ligne lors de la saison des ouragans.

    Avec un relief très plat, le littoral est particulièrement menacé par une montée des eaux. Le centre des terres se caractérise également par de faibles altitudes. Pour les habitants, la principale menace est donc les inondations.

    Miami Beach se prépare à la montée des eaux   Miami Beach se prépare à la montée des eaux - © ADAM DELGIUDICE - AFP

    Etat d'urgence

    Certains ont commencé à évacuer vers des zones jugées plus sûres, mais la majorité d'entre eux était dans l'expectative.

    Les dernières projections éloignent la perspective de dégâts majeurs au niveau de la station balnéaire de West Palm Beach où Donald Trump possède son célèbre club de golf de Mar-a-Lago, qu'il surnomme sa "Maison Blanche d'hiver".

    Cette proximité géographique a fourni à l'ancienne Première ministre du Canada l'occasion d'une pique adressée au milliardaire républicain. "Je rêve d'une frappe frontale (de l'ouragan) contre Mar-a-Lago", a tweeté Kim Campbell, en rappelant que Donald Trump niait les dérèglements climatiques.

    "Mar-a-lago peut se gérer tout seul. C'est un endroit très puissant. Ce qui m'inquiète c'est l'Etat de Floride" a affirmé le président américain vendredi soir, avant de partir pour Camp David.

    Sur place, les habitants ont reçu la consigne de stocker de l'eau, des vivres et d'éventuels traitements de santé permettant de tenir au moins une semaine.

    L'état d'urgence a été déclaré en Floride et dans une douzaine de comtés de l'Etat de Géorgie. Cette mesure permet de mieux mobiliser les services publics de l'Etat et de recourir si besoin à l'aide fédérale.

    Selon un officier coordonnant les secours, 12.000 soldats se trouvent actuellement en Floride en attendant l'arrivée de Dorian.

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • INTERNATIONAL

    31/08/2019 11:49 CEST | Actualisé il y a 4 heures

    L'Inde vient de perdre d'un coup près de 2 millions de citoyens

    Dans l'État d'Assam, dans le nord-est de l'Inde, des centaines de milliers de personnes ont du jour au lendemain été exclues de la citoyenneté indienne.

    Barcroft Media via Getty ImagesCraignant des troubles en marge de la publication du registre de citoyenneté indien, les autorités de l'État d'Assam avaient déployés des patrouilles militaires. 

    INDE - Près de 2 millions de personnes n’ont pas été incluses dans le registre de citoyenneté indien finalisé par l’État d’Assam, dans le nord-est du pays, ont annoncé ce samedi 31 août les autorités de l’État. Ces habitants risquent ainsi de se retrouver sans nationalité et d’être éventuellement déportés.

    Au total 31,1 millions d’habitants de l’Assam ont été inscrits au Registre national des citoyens (NRC), créé à l’initiative du gouvernement nationaliste hindou, et 1,9 million d’autres n’y ont pas été inclus, selon un communiqué officiel. La sécurité avait été fortement renforcée en Assam de crainte de débordements lors de la publication de cette liste, mais aucun débordement n’a été signalé à l’heure où sont écrites ces lignes. 

    Un brouillon du NRC diffusé en 2018 prévoyait d’aller bien plus loin et d’exclure plus de quatre millions d’habitants. Or la procédure était particulièrement complexe pour la majorité des habitants de cet État où le taux d’analphabétisme est élevé. Amnesty International a même affirmé ce samedi que de nombreuses personnes avaient été déclarées étrangères en raison notamment de différences dans l’orthographe des noms.

    Un moyen de discriminer les musulmans? 

    Comme le détaille la BBC, ont été inclus sur cette liste les habitants capables de prouver qu’ils vivaient en Assam avant le 24 mars 1971, date à laquelle l’État voisin du Bangladesh a déclaré son indépendance (il faisait auparavant partie du Pakistan). En effet, à partir de ce moment-là et du fait d’une guerre civile de l’autre côté de la frontière, des millions de réfugiés avaient afflué en Inde. 

    Pour les près de deux millions de personnes exclues, elles disposent désormais de 120 jours pour faire appel de la décision des autorités. Pour l’État indien en revanche, l’objectif officiel était d’identifier et de se débarrasser des ”étrangers exfiltrés”. Cela concerne en l’occurrence les bangladais présents illégalement sur son sol, mais de nombreuses critiques se sont élevées pour dénoncer une chasse aux sorcières et une discrimination contre les minorités ethniques de la région. 

    En effet, l’État d’Assam est l’un des endroits d’Inde où la population musulmane est la plus importante avec le Cachemire. Or le gouvernement, qui estime à 20 millions le nombre d’immigrés en situation illégale présents sur son sol, considère que c’est au sein de ces populations qu’il y a le plus d’étrangers. Ainsi, de nombreuses personnes exclues du NRC sont des musulmans qui ne parlent pas hindi, mais bangladais

    En 1983, les troubles religieux, ethniques et raciaux avaient fait plus de 2.000 morts dans la région, ce qui laisse un souvenir particulièrement difficile. En outre, ces dernières années, les musulmans ont été directement ciblés par le gouvernement indien. Il a effectivement accordé la nationalité à des réfugiés bangladais, pakistanais et afghans, mais uniquement s’ils n’étaient pas musulmans. 

    À voir également sur le HuffPost:

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

     

    Madame la Ministre De la Solidarité et de la Santé,

    Je me permets de vous interpeler, tout comme certains députés, sénateurs et praticiens  sensibles à ce problème, car il s’agit vraiment d’un cas d’école et d’une notion de droit.

    De plus en plus la science avance, expérimente de nouveaux procédés prenant le relais de médicaments onéreux et lourds d’effets secondaires. Les médecins n’hésitent plus à prescrire et utiliser ces nouveaux procédés, testés et homologués, mais l’administration, comme toujours, traîne en longueur et met dans l’illégalité des praticiens intègres et compétents.

    J’ai découvert ce problème au travers de mon expérience personnelle : en effet, ayant été diagnostiquée porteuse d’une sclérose en plaques en 2007, on m’a fortement conseillé de me faire accompagner par un psychiatre dans ce parcours difficile pour le malade et l’accompagnant… J’ai donc était prise en charge ainsi que mon mari par le Dr Ferroul, psychiatre à Narbonne en 2010. Il s’agit d’un professionnel honorablement connu, psychiatre, docteur et médecin légiste .Depuis je n’ai eu qu’à me féliciter de ses interventions toujours très professionnelles et efficaces, tant auprès de moi que de mon mari.

    Quelle n’a pas été ma surprise d’apprendre par la presse locale, sa condamnation par le Conseil de l’Ordre et sa suspension pour plusieurs mois… En cherchant à comprendre (je suis diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Toulouse, 1981) j’ai soulevé le fonds du problème qui me parait  inquiétant car les médecins et les patients sont traités différemment dans les hôpitaux publics et dans le secteur privé pour les mêmes problèmes et en utilisant la même technique.

    Il s’agit ici de la stimulation transcrânienne (rTMS) pratiquée en psychiatrie et en neurologie, utilisée  en tant qu’outil depuis 1980. L’expérimentation s’est révélée positive et des médecins la prescrivent en secteur public sans problème et les patients voient l’intervention remboursée. Après enquête élémentaire (documents, témoignages publics) sur le sujet, je me suis aperçue que certains médecins des hôpitaux et cliniques publiques utilisaient bien cette nouvelle technologie mais devaient « tricher » pour obtenir le remboursement du soin…Ce sont des documents publics que je joins à ma lettre et non pas une enquête souterraine à but mal définit.

    Le point d’achoppement est le décalage entre la technique reconnue et éprouvée et sa prise en charge par la sécurité sociale. A l’heure actuelle, la Tms ne rentre pas dans sa nomenclature .Doit-on attendre le bon vouloir de cette administration pour être soigné judicieusement ou faut-il susciter  rapidement une mise à jour de la nomenclature pour coller à la réalité des praticiens et des malades ?

    Je me permets donc de vous interpeller pour que la Sécurité Sociale régularise rapidement ce problème de nomenclature de remboursements et que par ce fait il soit ensuite reconnu la bonne foi du Dr Ferroul et l’erreur de sa condamnation plus proche du lynchage par jalousie que d’une sanction avérée. Les plus punis sont ses patients déjà fragiles qui n’ont plus eu de prise en charge….

    Aujourd’hui les nouvelles technologies sont de plus en plus employées car on s’intéresse enfin à l’humain… On est face à des patients de pus en plus avertis, acteurs de leur santé et demandeurs de techniques non médicamenteuses. Dans le corps médical, il ya aussi une prise de conscience. On est au cœur du soin ! Reste à faire en sorte quelles se développent dans un cadre légal, identique pour tous. Respectueusement,

    Marylise Aliès Borowy

     

    PETITION en ligne :

    pétition1

    pétition 2

    APERÇU du Dossier :

    Télécharger « feroul-2018-Chambre disciplinaire Conseil régional de Languedoc-Roussillon de l'Ordre des médecins.html »

    Télécharger « ferroul-2018-Narbonne Des patients au chevet de Denis Ferroul, leur psychiatre sanctionné.html »

    Télécharger « Ferroul-2018-Meunier- notes-Stimulation transcrânienne ou Transcranial Magnetic Stimulation Centre de la depression.zip »

    Télécharger « ferroul 2018- Réglementation sur la stimulation magnétique transcrânienne répétée - Sénat.html »

    Télécharger « ferroul-2018-Dépression des ondes magétiques améliorent les formes majeures. docteurjd.com »

    Télécharger « feroul-2018-SMT-utilisation-Trouble bipolaire, le forum des bipotes.html »

    Télécharger « ferroul-2018-Dépression résistante  la stimulation magnétique transcranienne efficace à long terme.html »

    Télécharger « ferroul- 2018- remboursement-Neuromodulation transcrânienne un traitement alternatif E-bipo38.html »

    Télécharger « ferroul-2018-Sclérose en plaques la stimulation magnétique transcrânienne, pour lutter contre la fatigue.html »

    Télécharger « ferroul 2018- article dépêche.docx »

    Télécharger « Ferroul-2018- autorisations- USA-CE-cliniques-Dépression sévère l’israélienne Brainsway propose un traitement révolutionnaire ” ” siliconwadi.fr.html »

    Télécharger « ferroul-2018-CHU de Nantes - la stimulation magnétique transcrânienne, une autre façon de soulager la douleur.html »

    Télécharger « ferroul-2018-Neuromodulation transcrânienne une alternative en psychiatrie.html »

    Télécharger « ferou-2018-Nantes Un traitement unique en Europe pour les patients atteints d'Alzheimer.html »

    Télécharger « ferroul-2018-Apport de la stimulation magnétique transcrânienne dans la fibromyalgie - Entraide Fibromyalgie Ouest (E.F.O.35).html »

    Télécharger « ferroul-2018-Cabinet de Psychiatrie - 51100 REIMS - stimulation magnétique transcranienne (rTMS) - Les options thérapeutiques - Offre de soins du cabinet.html »

    Télécharger « ferroul- 2018-Rachel Mazuir-questionaugouvernement-2017.docx »

    Télécharger « ferroul-2018-Prise en charge 100% (remboursement maladie, soins..) Sécurité sociale, CPAM, CMU-C, ALD, AME.html »

    Télécharger « ferroul 2018 - TMS- liste hopitaux -Questions-santé 2016 - .html »

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Le Grand conseil coutumier des peuples amérindiens dénonce la duplicité de Macron sur l’Amazonie

     
    Incendie près de Boca do Acre, dans l’Etat d’Amazonas, le 24 août 2019. (LULA SAMPAIO / AFP)

    Le président français « dénonce la destruction de l’Amazonie brésilienne ou bolivienne mais parallèlement attribue 360 000 hectares de forêt aux multinationales minières, en Guyane, en Amazonie française », déplore l’organisme, qui défend les intérêts des peuples amérindien et bushinengé de Guyane.

    Par L'Obs

    Publié le 26 août 2019 à 09h31
     

    En première ligne dans les pressions exercées sur Jair Bolsonaro pour la lutte contre les incendies en Amazonie, la France est pourtant loin d’être exemplaire en ce qui concerne la protection de cette zone, dénonce le Grand conseil coutumier des peuples amérindiens, dans une tribune publiée sur Franceinfo.

    Dans ce texte, cet organisme, qui a la responsabilité de représenter et de défendre les intérêts des peuples amérindien et bushinengé de Guyane, rappelle en premier lieu que le problème de la déforestation ne peut pas être imputé qu’à un seul homme ou un seul pays, bien que la responsabilité du gouvernement brésilien soit énorme. « Le véritable problème est politique et économique et est soutenu par la majorité des dirigeants au niveau mondial », peut-on lire dans cette tribune.

    « Ce ne sont pas de simples feux, c’est l’œuvre du capitalisme […]. L’extractivisme [l’exploitation massive des ressources de la nature ou de la biosphère, NDLR] a sa grande part de responsabilité. »

    « Un savoir-faire précieux »

    Le Grand conseil coutumier des peuples amérindiens s’étonne tout particulièrement du positionnement d’Emmanuel Macron sur ce sujet :

    « Nous sommes dans l’étonnement face au positionnement du président Emmanuel Macron qui consiste à dénoncer la destruction de l’Amazonie brésilienne ou bolivienne mais qui parallèlement attribue 360 000 hectares de forêt aux multinationales minières, en Guyane, en Amazonie française. »

    Soit une surface énorme. « C’est la moitié de la surface de forêt qui a brûlé en Bolivie », explique Christophe Pierre, vice-président du Grand conseil coutumier des peuples amérindien et bushinengé.

    Le Grand conseil coutumier appelle donc le gouvernement français à mettre ses actes en conformité avec ses discours, à prendre des engagements, notamment au niveau de la reconnaissance des droits des peuples autochtones et de leur rôle dans la préservation de la biodiversité. « Il n’est jamais indiqué, à aucun moment, que les peuples autochtones ont toujours su préserver leur milieu, à travers leur mode de vie. C’est un savoir-faire précieux aujourd’hui », souligne le vice-président du Grand conseil coutumier, qui ajoute :

    « La priorité, c’est aussi de reconnaître les droits des peuples autochtones et leur rapport à la terre. C’est un élément fondamental du combat contre la crise climatique. » L'Obs

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Je ne me mouille pas....

    Macron "soutient" dans "ses intentions" le maire qui a pris un arrêté anti-pesticides

    Par LEXPRESS.fr avec AFP ,
     

    Le président Emmanuel Macron, le 10 mai 2019 à Paris

    Le président Emmanuel Macron, le 10 mai 2019 à Paris

    afp.com/PHILIPPE WOJAZER

    "Mais je ne peux pas être d'accord quand on ne respecte pas la loi, c'est normal, et ça on va le changer vite", a poursuivi le chef de l'État, dans un entretien à Konbini.

    Emmanuel Macron a assuré ce vendredi soutenir "dans ses intentions" le maire de Langouët (Ille-et-Vilaine) poursuivi par la justice pour avoir pris un arrêté anti-pesticides... tout en rappelant la nécessité de respecter la loi. 

    LIRE AUSSI >>> Arrêté anti-pesticides : le maire de Langouët revendique près de 150 000 soutiens 

    "J'avais des convictions, j'ai changé d'ailleurs ces derniers mois, très profondément", a assuré le chef de l'État, interrogé à l'Élysée par le site Konbini, juste avant le début samedi du G7 à Biarritz

     

    "J'ai aussi beaucoup lu, beaucoup appris. Les scientifiques se sont également beaucoup mobilisés et je pense qu'on a tous à apporter une part de réponse", a-t-il insisté, assurant que les manifestations de jeunes pour le climat l'avaient "fait réfléchir". 

    "Mobiliser pour changer la loi"

    Durant l'interview, le chef de l'État a été interpellé, via une vidéo enregistrée par le maire de Langouët (Ille-et-Vilaine) qui a pris, le 18 mai, un arrêté interdisant l'utilisation de produits phytopharmaceutiques à moins de 150 mètres des habitations. "Madame la préfète de la République vient de saisir le tribunal administratif pour suspendre cet arrêté, trouvez-vous cela normal ?", lui a ainsi demandé Daniel Cueff, qui a comparu jeudi pour défendre sa décision.  

    "Il y a des lois, elle [la préfète] doit les faire respecter, donc je serai toujours derrière les préfets qui font respecter les lois", a d'abord plaidé Emmanuel Macron, en estimant que "la solution n'est pas de prendre un arrêté qui n'est pas conforme à la loi" mais plutôt "de mobiliser pour changer la loi".  

    "Il a raison sur ses motivations"

    En ce sens, le chef de l'État a souhaité "aller vers un encadrement des zones d'épandage de pesticides", en pointant "les conséquences sur la santé publique". "Donc Monsieur le maire, il a raison sur ses motivations", a déclaré Emmanuel Macron, alors que la décision du tribunal administratif de Rennes est attendue la semaine prochaine et que la justice est saisie à Rouen pour un cas similaire d'arrêté municipal dans l'Eure. 

    "Je le soutiens dans ses intentions", a-t-il insisté. "Mais je ne peux pas être d'accord quand on ne respecte pas la loi, c'est normal, et ça on va le changer vite", a-t-il poursuivi, en évoquant la nécessité "d'avoir aussi des discussions avec les agriculteurs, les producteurs pour que ça leur permette de fonctionner, parce que tout ça a un coût pour eux".

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Réforme des retraites : l’opération déminage d’Emmanuel Macron

    Après la clôture du G7, Macron est revenu sur de nombreuses thématiques et a lâché quelques pistes sur la réforme des retraites, qui sera l’un des dossiers chauds de la rentrée.

     Emmanuel Macron lors de la conférence de presse de clôture du G7 à Biarritz, le 26 août.

     Emmanuel Macron lors de la conférence de presse de clôture du G7 à Biarritz, le 26 août. REUTERS/Philippe Wojazer
     

    Le 26 août 2019 à 22h04

    La petite phrase lâchée ce lundi soir sur France 2 est tout sauf innocente. Sur l'âge pivot de 64 ans proposé par le rapport Delevoye pour inciter les Français à partir plus tard à la retraite « rien n'est décidé », a affirmé Emmanuel Macron.

    « Je préfère qu'on trouve un accord sur la durée de cotisation plutôt que sur l'âge », a-t-il affirmé car avec « un accord sur la durée, si vous commencez plus tard, vous finissez plus tard, et quand vous commencez plus tôt vous partez plus tôt ».

    Grand débat et vaste consultation des Français

    Alors qu' Edouard Philippe recevra les partenaires sociaux à partir du 5 septembre sur ce sujet socialement inflammable, le Président de la République a cherché à déminer le terrain. « Ce n'est pas juste, a-t-il insisté, de décaler l'âge de départ ». De plus, certaines professions seraient « lésées », a argumenté le chef de l'Etat citant les infirmières, les aides-soignants et les enseignants qui sont en ce moment très mobilisés.

    S'il veut « un régime en 2025 qui soit équilibré financièrement », le président de la République ne veut rien imposer d'en haut - crise des Gilets jaunes oblige - mais bien « construire ensemble » cette réforme des retraites qui fera l'objet, a-t-il dit, d'une « grande négociation, d'un grand débat » et d'une vaste consultation des Français.

    LIRE AUSSI > Réforme des retraites : Buzyn-Delevoye, vers un mariage de raison

    Partager via Gmail

    votre commentaire