• Coronavirus : 28 morts supplémentaires en 24 heures

    en France, 268 personnes de moins hospitalisées

    • Le ministère de la Santé a communiqué ce mercredi soir les chiffres de l'épidémie de coronavirus en France. Le ministère de la Santé a communiqué ce mercredi soir les chiffres de l'épidémie de coronavirus en France.   Infographie L'Indépendant
      Publié le 17/06/2020 à 20:07 / Mis à jour le 17/06/2020 à 20:07 S'abonner

    Le nouveau coronavirus a fait 28 morts supplémentaires en 24 heures en France pour un total de 29.575 décès depuis le 1er mars, a annoncé ce mercredi la direction générale de la Santé qui a aussi fait état d'une poursuite de la baisse du nombre de personnes hospitalisées, notamment en réanimation.

    Sur l'ensemble des décès, 19.118 se sont produits dans des hôpitaux. Les chiffres des morts enregistrées dans les établissements sociaux et médico-sociaux, essentiellement des Ehpad, seront actualisés mardi prochain.

    Le nombre de personnes hospitalisées pour leur contamination au coronavirus a reculé à 10.267, soit 268 de moins que mardi. Les services de réanimation traitaient mercredi 772 patients atteints du COVID-19, soit 48 de moins.

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    Un État plus écologiste qu'il disait....Marialis4

    L’État autorise l’effarouchement des ours malgré 97% d’opposants !

    10/06/2020

    Malgré la mise en garde des scientifiques du CNPN, malgré une écrasante majorité d’opposants au projet, les « mesures expérimentales » d’effarouchement contre les ours reprennent cet été dans les estives pyrénéennes.  

    En avril, l’ASPAS vous avait invité à participer à la consultation public pour exprimer votre mécontentement. Le résultat est sans appel : 97 % des 2056 avis traités sont CONTRE ce projet ! Parmi ces citoyens, « plusieurs personnalités, vétérinaires, experts, anciens membres de comités ou conseils scientifiques » qui regrettent « l’absence d’une ‘analyse comparative des avantages et inconvénients du projet par rapport à ce qui se pratique dans les autres pays européens dotés de populations d’ours bruns' », peut-on lire dans la synthèse des avis, publiée par le ministère de la Transition écologique.

    Aucune donnée n’avait été fournie quant à l’efficacité ou non de ces mesures en 2019, et cette année encore, le Conseil national de protection de la nature (institution rattachée au ministère de l’Écologie) avait émis un nouvel avis défavorable à l’unanimité (0 pour, 27 contre, 0 abstention) !

    L’ASPAS, qui préconise depuis des années l’application du triptyque de protection (bergers / chiens / parcs de regroupement électrifiés), partage entièrement la conclusion des scientifiques, pour qui « La reconduction de cet arrêté dont l’efficacité est contestable, voire dangereuse à terme pour la conservation de l’ours brun et plus généralement de la faune sauvage, traduit une tendance inquiétante à vouloir chasser les ours des zones d’estive, y compris potentiellement dans un Parc National, alors qu’il est possible d’assurer la cohabitation de l’ours et du pastoralisme moyennant une bonne protection des troupeaux. Ceci est à l’opposé des objectifs initiaux du plan ours. »

    Suite au braconnage d’un ours en Ariège, le 9 juin 2020, l’ASPAS et d’autres associations appellent l’État à prendre ses responsabilités, et à mieux garantir la protection de ce grand prédateur dont la population demeure très fragile dans le massif pyrénéen (environ 50 individus).

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  • Sarah-Lou Cohen avec Jeanne Bulant

    Une image de l'interpellation musclée de l'infirmière, aux Invalides. - BFMTV

    Une image de l'interpellation musclée de l'infirmière, aux Invalides. - BFMTV - -

    Cette infirmière avait été interpellée la veille par des CRS lors de la manifestation des soignants aux Invalides à Paris.

    Farida, l'infirmière interpellée mardi en marge de la manifestation des personnels soignants qui avait lieu aux Invalides à Paris, est sortie de garde à vue ce mercredi après-midi, a-t-on appris de source proche du dossier. 

    Elle sera convoquée au tribunal le 25 septembre prochain pour "outrage" et "rébellion et violences sur personne dépositaire de l'autorité publique", a-t-on appris du parquet de Paris.

    Sarah-Lou Cohen avec Jeanne Bulant
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  • Tchétchènes : de qui parle-t-on ?

    Population

    DÉCRYPTAGE - Les Tchétchènes constituent une communauté peu nombreuse et peu connue en France. Qui sont-ils ? Quelle est leur histoire ?

    Nous sommes une "petite communauté", qui "après avoir passé 70 ans sous le régime soviétique, à être oppressée, déportée, considérée comme l'ennemi" a le sentiment d'entraide "dans son sang". Ces mots sont ceux d'Alkabov Chamil, membre de l'Assemblée des Tchétchènes d'Europe, interviewé par LCI. Quelques jours après de violents incidents qui ont secoué un quartier de la ville de Dijon, impliquant des dizaines de Tchétchènes venus, selon les premiers éléments, de plusieurs régions de France, les phares se braquent sur cette communauté. Qui sont-ils ? Quelle est leur histoire ? Éléments de réponse.

    Une opposition historique avec la Russie

    Petite république du Caucase du nord de 15700 km2, la Tchétchénie fait partie de la fédération de Russie. Elle est bordée par la Géorgie (Sud) et les républiques de Daghestan (est) et d'Ingouchie (ouest) et se divise en trois grandes régions géographiques entre montagnes, vallées et plaines de la steppe. Les Tchétchènes forment le groupe le plus important de la région, après les Russes avec qui ils entretiennent d'ailleurs des relations de lutte depuis plusieurs siècles . Leur origine est mal connue. Les Tchétchènes se sédentarisent véritablement à partir du XVIIIème siècle. Peu après, ils sont victimes des volontés d'expansionnisme de la Russie tsariste.

    Après la guerre du Caucase (1816-1859), menée par Alexandre Ier et Nicolas Ier, la Tchétchénie est annexée. Plusieurs années passent avant qu'elle ne soit fusionnée avec l'Ingouchie et devienne une région indépendante de l'URSS en 1934. Profitant de la seconde guerre mondiale, les Tchétchènes tentent de gagner leur indépendance. Au sortir du conflit, ils subissent une répression terrible marquée par des déportations très importantes. Elles sont justifiées par Staline par l'aide supposée que les Tchétchènes auraient fourni à l'Allemagne nazie. La république de Tchétchénie-Ingouchie est dissoute avec une volonté claire : rayer de la carte tout un peuple (un peu comme l'ont fait quelques années plus tôt les Turcs avec les Arméniens).

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    Deux conflits meurtriers

    Il faut attendre 1957 pour voir la république de Tchétchénie renaître sur initiative de Khrouchtchev. Elle reste à ce moment dans le giron de l'URSS. Une tutelle mal-vécue par les habitants profondément indépendantistes. Ils proclament leur indépendance en 1991 lors de la chute de l'URSS. Pendant trois ans, Moscou tolère l'autonomie de fait. Finalement, le président de la fédération de Russie, Boris Elstine décide de faire plier la région rebelle en 1994. La première guerre de Tchétchénie débute alors. Elle s'achève en 1996 par le retrait des Russes qui conduit à une indépendance de fait de la république. 

    Cette humiliation a été profondément mal vécue par les Russes et en particulier Vladimir Poutine. Cela conduit au nouvel envahissement, évoqué précédemment, en 1999. Si l'opération se termine officiellement en 2000, la guerilla menée par les locaux dure en fait jusqu'en 2009 avec la fin de "l'opération anti-terroristes". Ces deux conflits meurtriers ont fait plusieurs dizaines de milliers de victimes dont le bilan peine à être établi avec exactitude. Ils ont aussi favorisé l'émergence d'un Islam radical.  A noter que depuis 2007, Ramzan Kadyrov, nommé par Poutine, est à la tête de la Tchétchénie qui est aujourd’hui, officiellement, une république intégrée dans la fédération de Russie. 

    Quid de la communauté tchétchène en France ?

    Face à ces conflits multiples, nombreux sont les Tchétchènes à avoir fui leur pays si bien que l'on retrouve des communautés un peu partout dans le monde. La France, traditionnellement pays d'accueil, possède ainsi une communauté tchétchène de quelques milliers de personnes bien que difficilement estimable car officiellement comptabilisée parmi les ressortissants russes. Une grande partie de cette diaspora se concentre dans  trois régions :  en Île-de-France,  Strasbourg et Nice. A l'échelle de l'Union Européenne, plusieurs rapports estiment la communauté Tchétchène à environ 150.000 individus disséminés principalement entre la France, la Pologne et l'Allemagne.

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  • Violences à Dijon : Examen systématique

    de l’expulsion des étrangers impliqués

    VIOLENCES « Si des étrangers sont impliqués dans des troubles à l’ordre public, nous examinerons systématiquement, dans le respect des procédures administratives et le cas échéant judiciaires, la possibilité de les expulser », a déclaré le ministère de l’Intérieur

    20 Minutes avec AFP

    Publié le 16/06/20 à 21h08 — Mis à jour le 17/06/20 à 16h24

     
    Des gendarmes dans le quartier des Grésilles à Dijon, le 15 juin 2020.

    Des gendarmes dans le quartier des Grésilles à Dijon, le 15 juin 2020. — AFP

    Le ministère de l’Intérieur examinera « systématiquement la possibilité d’expulser des étrangers impliqués » dans les violences survenues à Dijon depuis quatre jours qui ont opposé des Tchétchènes et des membres de la communauté maghrébine, a annoncé mardi le ministère.

    « Si des étrangers sont impliqués dans des troubles à l’ordre public, nous examinerons systématiquement, dans le respect des procédures administratives et le cas échéant judiciaires, la possibilité de les expulser », a-t-il déclaré.

    « Je veux passer un message très clair aux voyous »

    Fallait-il intervenir plus tôt et plus fort après les inédites opérations de représailles de Tchétchènes à Dijon ? Mardi, les pouvoirs publics se sont défendus de tout laxisme et ont dépêché de nouveaux renforts dans la capitale bourguignonne. Venu sur place assurer les policiers de son soutien, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez, a déclaré : « Je veux passer un message très clair aux voyous que nous avons vu exhiber des armes (…) Notre réponse sera extrêmement ferme. »

    Le ministère a ainsi annoncé qu’il examinera « systématiquement la possibilité d’expulser des étrangers impliqués » dans ces incidents. Mardi soir, « il y aura à Dijon deux unités de forces mobiles », soit près de 150 policiers ou gendarmes en plus. Et « ils seront présents autant de fois qu’il le faudra », a ajouté Laurent Nunez. Ce lundi, 110 gendarmes mobiles avaient déjà été dépêchés en renfort. Il s’est par ailleurs dit « très fier » de l’action des forces de l’ordre, assurant qu’elles n’étaient « pas restées en retrait ; c’est complètement inexact ! »

    « Les populations n’ont en aucun cas été abandonnées »

    Dans la nuit, le préfet de Bourgogne-Franche-Comté Bernard Schmeltz s’était déjà défendu de tout laxisme. « Encadrer et encercler pour éviter les exactions : c’était la seule stratégie praticable », avait-il déclaré. « Les populations n’ont en aucun cas été abandonnées », a-t-il assuré, après des interrogations sur la passivité des forces de l’ordre lors des trois expéditions punitives menées vendredi, samedi et dimanche soir par des Tchétchènes venus de France et de Belgique voulant venger l’agression d’un des leurs.

    Lundi, de nouveaux incidents ont encore éclaté dans le quartier des Grésilles, mais cette fois-ci sans implication de Tchétchènes, selon les premières constatations. Des véhicules et poubelles ont été brûlés, une équipe de France 3 Bourgogne agressée (elle a porté plainte) ainsi qu’un autre conducteur. Quatre personnes ont été interpellées, les premières dans ce dossier.

    Désarmer la police, une « idée baroque »

    Le maire socialiste sortant de Dijon, François Rebsamen, a dénoncé le manque de moyens des policiers, face à des Tchétchènes munis de barres de fer, battes de baseball et parfois d’armes à feu. « Puisque la justice passe trop tard et que la police n’a pas les moyens de son action, la communauté tchétchène est venue faire respecter elle-même son droit », a analysé le maire, en campagne pour un quatrième mandat.

    Face à ces groupes, imposants et lourdement armés, les forces de l’ordre étaient en sous-nombre avant l’arrivée des renforts lundi, souligne une source policière. « Le choix de ne pas aller au contact s’explique aussi par la présence de bandes avec du vrai armement et le risque d’aller au clash et de surajouter de la tension. En face, il y a 200 ou 300 personnes qui ne se laisseront pas interpeller. Le rapport de forces n’était pas favorable avec les effectifs policiers présents initialement à Dijon », a indiqué cette source.

    « Certains vont vouloir faire porter la responsabilité de la situation à la police nationale », regrette David Le Bars, secrétaire général du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN-Unsa). Mais « en face, il y a des gars, nombreux, qui paradent avec des armes réelles ». « La semaine dernière, des politiques appelaient à désarmer la police [dans le contexte de dénonciation des violences policières]. Avec la situation de Dijon, on a la démonstration que les choses ne peuvent pas être si simples », a-t-il ajouté. Le Premier ministre Edouard Philippe est allé dans ce sens, estimant qu’un désarmement serait « une idée baroque ».

    Et la polémique s’est d’ailleurs vite placée sur le terrain politique, Marine Le Pen (RN) et Jean-Luc Mélenchon (LFI) pointant « le chaos » tandis qu’Eric Ciotti (LR) évoquait « presque un théâtre de guerre ». Venue en personne à Dijon, la présidente du Rassemblement national a dénoncé des « rixes communautaires surréalistes entre Tchétchènes et Maghrébins », regrettant qu’il n’y ait pas eu d’interpellation avant lundi soir.

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  • 16/06/2020 à 11h31
    Personnel soignant testant un homme habitant ou étant passé par le marché de Xinfadi ces derniers jours, à Pékin, le 16 juin 2020 - Noel Celis / AFP
     
    Personnel soignant testant un homme habitant ou étant passé par le marché de Xinfadi ces derniers jours, à Pékin, le 16 juin 2020 - Noel Celis / AFP
     

    Plusieurs nouveaux cas de Covid-19 ont été signalés ces derniers jours dans la capitale chinoise, Pékin, faisant craindre à la Chine une deuxième vague de l'épidémie, qui a déjà fait plus de 4500 morts dans le pays.

     
    • D'où vient cette nouvelle épidémie?

    La Chine a connu au cours du week-end dernier une résurgence du nombre de contaminations au Covid-19, centrée autour du marché de gros de Xinfadi, dans le sud de la capitale, où circulent beaucoup de Pékinois, des dizaines de milliers de tonnes de nourriture, mais aussi des personnes extérieures à la ville ou à la région. Il a été fermé samedi, après avoir été relié à la plupart des contaminations.

    "C'est un marché d'une taille énorme, représentant un tiers de [la taille de] Central Park. Le potentiel épidémique est énorme", explique sur Twitter Eric Feigl-Ding, scientifique américain expert en santé publique. Il précise que ce lieu est 22 fois plus grand que le marché de fruits de mer de Wuhan, d'où est partie la première épidémie de Covid-19 en décembre dernier.

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  • Industrie pharmaceutique : Macron veut défendre

    la souveraineté de la France et de l’Europe

     
    16 juin 2020

     Un peu tard!...Un visionnaire!Marialis4

     

    Le président Emmanuel Macron se rend ce mardi 16 juin 2020 sur le site du laboratoire Sanofi situé à Marcy-l'Etoile, près de Lyon, l’un des plus gros sites de production de vaccins au monde. Derrière cette visite, il y a l’enjeu de la souveraineté et de l’indépendance de la France en matière de production et de recherche pharmaceutique. Le décryptage éco de Christophe Dansette.
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  • «Plan Ségur» : les soignants descendent dans la rue

     

    16 juin 2020

    Trois mois après le début de la crise sanitaire, les soignants seront de retour dans la rue ce mardi 16 juin, pour réclamer plus de moyens dans l'hôpital.  Les soignants demandent de nouveaux recrutements et une revalorisation des salaires, alors que les discussions menées dans le cadre du «Ségur de la santé» semblent piétiner. Des manifestations sont organisées dans de nombreuses villes françaises, telles que Belfort, Caen et Nancy.

     

     

     

     


     
     
     

     

     
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