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    Accueil   On voit bien qu'il sait ce que c'est que la faim et la compassion pour les autres êtres vivants!Bien triste sire.... Marialis4

    Kim Jong-Un ordonne aux Nord-Coréens de donner

    leurs chiens pour qu’ils soient mangés

    Kim Jong-un a rendu illégale la possession d un animal de compagnie. Photo d illustration [STR / KCNA VIA KNS / AFP]

    Depuis le mois de juillet, posséder un animal de compagnie en Corée du Nord est illégal. Les animaux sont donc envoyés dans des zoos d’Etat ou vendus à des restaurants qui cuisinent la viande de chiens.

    Pour le dictateur nord-coréen, les chiens de compagnie représentent le symbole d'une «tendance corrompue de l’idéologie bourgeoise», a rapporté le Dailymail

    Selon le journal sud-coréen Chosun Ilbo, cité par le média britannique, les autorités coréennes ont donc identifié «les ménages avec des chiens et les obligent ensuite à les abandonner ou alors les animaux sont confisqués de force pour être abattus».

    Cette décision inquiète les propriétaires des animaux de compagnie. Ils redoutent que ces derniers ne soient utilisés par l'Etat afin de résoudre le problème des pénuries de nourriture en Corée du Nord.

    Selon un récent rapport de l'ONU, jusqu’à 60% de la population nord-coréenne fait face à des pénuries alimentaires généralisées. 

    En effet, l’Etat asiatique est mis à rude épreuve face aux sanctions internationales imposées contre le régime de Kim Jong-Un et ses programmes de missiles nucléaires. 

    Dernièrement, le Cambodge ou encore la ville chinoise de Shenzen ont légiféré contre la consommation de viande de chiens. Pyongyang ne semble pas emprunter le même chemin. La capitale nord-coréenne regorge toujours de restaurants où la viande est la spécialité.  

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  • Coronavirus - 493 cas supplémentaires en 24 heures

     
    • Seuls 493 cas ont été recensés en 24 heures. Seuls 493 cas ont été recensés en 24 heures. L'Indépendant
      Publié le 17/08/2020 à 19:16 / Mis à jour le 17/08/2020 à 19:57 S'abonner

    La France a enregistré 493 nouveaux cas confirmés de contamination par le nouveau coronavirus en 24 heures, un chiffre en forte baisse par rapport aux jours précédents, a annoncé lundi l'agence Santé Publique France (SPF).

    Le nombre quotidien de nouveaux cas d'infection par le coronavirus en France a rechuté sous le seuil de 500 après avoir dépassé 3.000 au cours des deux jours précédents, a annoncé lundi l'agence Santé Publique France (SPF).
    Elle fait état de 493 nouveaux cas confirmés en 24 heures, après 3.015 dimanche et 3.310 samedi. Ce dernier chiffre était le plus élevés depuis la levée du confinement à l'échelle nationale en mai.
    Si le nombre de nouveaux cas est donc divisé par six environ, celui des patients hospitalisés a en revanche augmenté de 65 en 24 heures pour atteindre 4.925, sa troisième hausse quotidienne consécutive.
    Sur ce nombre, 384 se trouvent dans un service de réanimation, soit huit de plus que dimanche.
    SPF a également enregistré 19 décès dus au COVID-19 en 24 heures, ce qui porte le bilan total de l'épidémie à 30.429.
    La hausse marquée du nombre de nouvelles contaminations au cours des dernières semaines a conduit de nombreuses villes, dont Paris et Marseille, à imposer le port du masque à l'extérieur dans les quartiers les plus animés pour tenter d'enrayer la propagation du virus.
    La ministre du Travail, Elisabeth Borne, s'est prononcée, dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, pour une obligation du port du masque en entreprise dans certaines conditions et tout en prônant autant que possible le recours au télétravail. Une réunion en visioconférence avec les partenaires sociaux sur le sujet devrait avoir lieu mardi matin.

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    Alors que le nombre de cas de coronavirus recensés en France continue d'augmenter, les consignes fluctuantes du gouvernement, notamment sur le port du masque, inquiètent les spécialistes qui appellent à davantage de clarté. DÉCRYPTAGE

    Si on continue sur la même stratégie, on va droit dans le mur. Tel est le constat de la plupart des grands spécialistes alors que l'épidémie de coronavirus semble confirmer son rebond en France : plus de 3.000 cas ont été recensés en 24 heures dimanche, pour la deuxième journée consécutive.  

     

    "C'est cafouillage sur cafouillage"

    Face à ce rebond, le discours des autorités n'est pas clair, selon les spécialistes. A l'image de l'obligation de porter un masque dans certaines rues de Paris, puis dans d'autres, selon différentes consignes publiées ces derniers jours. Résultat : un message difficile à comprendre, dans une situation pourtant tendue. "C'est cafouillage sur cafouillage", commente sur Europe 1 l'épidémiologiste Catherine Hill

     

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  • Ce groupe de seniors a acheté tout un village

    abandonné pour passer leur retraite ensemble

     

    Par Baptiste
      134.887

     

    Dans la communauté autonome de Galice, dans le nord-ouest de l'Espagne, un groupe de retraités a pensé à investir leur argent dans l'achat d'un village entier abandonné. Pourquoi ? Parce qu'ils voulaient passer le reste de leur retraite loin des grandes villes et, surtout, ils voulaient la passer ensemble. Bien qu'il semble coûteux d'acheter un village entier, en réalité, dans la péninsule ibérique, c'est plutôt bon marché et c'est pourquoi ce groupe de plus de 60 personnes n'a pas hésité une minute avant de procéder à l'affaire.

     

     

     

     

    En Espagne, il existe beaucoup de villages abandonnés à vendre et ce groupe de retraités a réussi à s'en adjuger un à un prix modeste de 140 000 euros. C'est un petit village inhabité depuis plus de 50 ans qui devient aujourd'hui un lieu de retraite pour ces messieurs-dames âgés. La prochaine étape sera maintenant de réhabiliter les corps de ferme et les maisons, afin de réévaluer les zones rurales qui ont été massivement abandonnées au fil des décennies. L'"exode" de nombreuses familles en Espagne, ces dernières années, est devenu un problème pour les petits villages qui risquent d'être abandonnés à jamais, au point que beaucoup d'entre eux ont commencé à offrir des maisons ou des salaires à ceux qui décident de rester.

     

     

     

    Une idée intéressante, qui donnera certainement la paix et la sérénité à ce groupe de retraités et qu'il serait bien de reproduire dans d'autres parties du monde.

    L'heure est-elle venue pour vous de changer votre mode de vie ?

     

    Parta

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    En Afrique du Sud, les manchots menacés

    par le soutage des bateaux en mer

    A deux reprises, des équipes ont dû intervenir pour sauver des dizaines d’oiseaux couverts de pétrole dans la baie d’Algoa, près de Port Elizabeth.

     

    Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 09h41, mis à jour à 09h43

     

      Temps de Lecture 3 min.

     

     

    Une bénévole du centre de réadaptation Sanccob Seabird, à Port Elizabeth, s’occupe d’un jeune manchot du Cap sauvé dans la baie d’Algoa, le 8 juillet 2020.Une bénévole du centre de réadaptation Sanccob Seabird, à Port Elizabeth, s’occupe d’un jeune manchot du Cap sauvé dans la baie d’Algoa, le 8 juillet 2020. MARCO LONGARI / AFP

     

    Dans le vacarme des moteurs, un bateau de tourisme s’approche d’un imposant navire chargé de carburant. Amarré dans la baie d’Algoa, en Afrique du Sud, à deux pas de la plus grande colonie mondiale de manchots du Cap, celui-ci assure le ravitaillement des bateaux en mer. A mi-chemin sur la route maritime entre l’Europe et l’Asie, cette baie qui baigne dans des eaux profondes près de Port Elizabeth était un choix évident pour la première opération de soutage en mer en Afrique du Sud. Depuis 2016, ce sont principalement des cargos qui y font halte pour un ravitaillement offshore. Cette manœuvre permet de transporter plus de marchandises et d’éviter les frais dans les ports, tout en gagnant du temps.

     

     

     

    Mais les défenseurs de l’environnement, les opérateurs d’écotourisme et les amoureux de la nature s’inquiètent de l’impact sur ce haut lieu de la biodiversité marine, qui attire aussi les touristes. Les opérations ont lieu trop près des zones d’alimentation et de reproduction des manchots, mettent-ils en garde. Elles perturbent l’écosystème et exposent les animaux marins aux déversements d’hydrocarbures. Le plus gros pétrolier de stockage de la baie peut contenir jusqu’à 100 000 tonnes de carburant. Deux fois déjà, en 2017 et 2019, des équipes ont dû intervenir pour sauver des dizaines de manchots couverts de pétrole, après des fuites mineures.

     

    Les baleines « se sont éloignées » à cause du bruit

     

    Dans la province du Cap-Oriental, la baie d’Algoa abrite près de la moitié de la population mondiale de manchots du Cap (Spheniscus demersus), une espèce en danger. Mais le site accueille aussi des dauphins, des baleines, et se trouve sur la route d’une migration annuelle de sardines, l’un des événements marins les plus spectaculaires. « Les gens étaient époustouflés par le nombre d’animaux que nous avions dans cette baie », raconte Lloyd Edwards, qui travaille dans le tourisme. Mais selon lui, aujourd’hui, certaines baleines « se sont éloignées » à cause du bruit.

     

    Scientifiques et défenseurs de l’environnement disent avoir observé des changements dans le comportement des animaux. « Le bruit des moteurs perturbe la capacité des manchots et des dauphins à trouver du poisson », explique Gary Koekemoer, qui dirige la Société sud-africaine pour la faune et l’environnement dans la baie d’Algoa. « Tout animal qui utilise un sonar ou un son pour localiser sa proie aura du mal à naviguer avec les vibrations des moteurs. »

     

    Lire aussi Des manchots profitent du confinement pour explorer le musée d’art de Kansas City

     

    Depuis 2016, trois compagnies maritimes ont acquis des licences de ravitaillement et le trafic maritime a sensiblement augmenté, dénoncent les défenseurs de l’environnement. A l’origine d’une fuite en juillet 2019, la compagnie South African Marine Fuels explique que l’accident « s’est produit en raison d’un débordement du réservoir du navire récepteur ». Entre 200 et 400 litres de pétrole s’étaient ainsi échappés dans la baie. Le ravitaillement en mer est une « opération sûre », assure pourtant Kosta Argyros, de Minerva Bunkering, une des trois compagnies qui utilisent le site. La dernière société agréée, Heron Marine, assure respecter toutes les réglementations en matière de santé, de sécurité et d’environnement.

     

    « La faune est un grand atout pour le tourisme »

     

    La dégradation de l’univers marin pourrait être dévastatrice pour le tourisme. Ces dernières années, les safaris en mer ont explosé. Dans la région, le tourisme génère environ 40 000 emplois. « Les plages et la faune sont les deux grands atouts pour le tourisme. Et le ravitaillement en mer risque d’avoir un impact sur les deux », craint Shaun Fitzhenry, chargé du tourisme dans la métropole voisine de Nelson Mandela Bay. Selon l’Autorité sud-africaine de la sécurité maritime (Samsa), qui a autorisé les opérateurs de soutage, il faut un « juste équilibre ». « Nous devons maintenir l’aire protégée, mais nous devons profiter de l’occasion pour développer l’économie », explique à l’AFP son directeur général par intérim, Sobantu Tilayi.

     

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    Depuis l’accident en 2019, la durée de soutage a été limitée, les barges sont équipées de plus de barrages flottants antipollution et des bateaux d’intervention sont en veille constante en cas de nouvelle fuite. Propriétaire d’une société d’intervention contre les fuites d’hydrocarbures, Kevin Kelly reconnaît que le soutage a créé des emplois. Mais en mer, le skipper Jake Keeton lui, s’inquiète à la vue d’un groupe inhabituellement petit de manchots nichés sur une île rocheuse. « Les manchots rassemblent les poissons qui permettent ensuite à tout le monde de se nourrir, explique-t-il. Si nous perdons les manchots ici, les dauphins, les phoques, les fous de Bassan, les cormorans et tous les autres oiseaux de mer vont souffrir. »

     

    Le Monde avec AFP

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      Loups, l’hécatombe continue !

       

       

      Depuis le début du mois de juillet 2020, ce ne sont pas moins de 19 loups qui ont été abattus officiellement. Le total des loups tués s’élève à 44 individus en 2020 et il est évident que les autorités auront à coeur d’atteindre le plafond de loups à abattre, quoi qu’il arrive. Aucun changement de politique n’est à prévoir sur ce dossier, la campagne pour les prochaines élections présidentielles est, sans surprise, en arrière-plan de cet immobilisme, car il est d’usage de continuer à flatter et contenter les mondes de la chasse et de l’élevage pour espérer être élu… Ce billet n’a pas vocation à interroger la légitimité des élections présidentielles mais bien de souligner l’incapacité de nos gouvernants à s’engager dans la protection de notre biodiversité malgré les belles paroles et opérations de communication.

       

      Aves France défend le principe d’une cohabitation entre le pastoralisme et les grands carnivores. Mais face à ce genre d’agissements, à la montée en puissance d’actes violents (lynx braconnés, ours abattu…) envers nos grands prédateurs, face à une profession qui, dans sa large majorité, ne souhaite pas s’adapter et remettre en cause ses pratiques pour pouvoir cohabiter avec la grande faune, nous ne sommes plus si certains de l’utilité de travailler avec des éleveurs qui n’ont pas d’autre objectif que de faire échouer la cohabitation avec les loups, ours, lynx. Pour les autres, nous restons disponibles, comme d’autres associations de CAP LOUP, pour aider à améliorer les moyens de protection des troupeaux ou anticiper l’installation d’une meute dans un département hors arc alpin. Il existe pourtant des exemples réussis de cohabitation entre éleveurs et l’un de nos trois grands prédateurs, mais ils ont rarement les honneurs de la presse, les médias n’en soufflent mot, à quelques rares exceptions près, et surtout, ces éleveurs sont en butte à l’hostilité non déguisée de leurs collègues anti-loups.

       

      Le comportement irrespectueux voire choquant de certains éleveurs doit être dénoncé. Dernier exemple en date :

       

      Jean-Pierre Bailly, producteur du second film de Jean-Michel Bertrand sur canis lupus, Marche avec les loups, a adressé un courrier au préfet des Alpes Maritimes pour demander des explications suite aux provocations d’une poignée d’éleveurs (et de chasseurs) à Tende qui ont empêché la projection du film le 2 août dernier, sous l’oeil passif hélas des gendarmes. Selon les témoignages des personnes venues voir le film, le maire de Tende, loin d’apporter de l’apaisement, a soutenu publiquement les éleveurs, cautionnant par la même occasion des discours haineux et des comportements agressifs. Louable attitude de la part d’un élu ! Nous apportons tout notre soutien à toute l’équipe du film, film qui devrait d’ailleurs être projeté dans quelques mois en Nièvre ou Allier…

       

      Pour terminer, un peu de lecture :

       

      https://www.liberation.fr/terre/2020/06/26/dans-les-pyrenees-la-presence-de-l-ours-et-celle-des-troupeaux-sont-compatibles_1792485

       

      https://reporterre.net/Les-bergers-qui-ne-criaient-pas-Au-loup

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    • Coronavirus. La France face à la peur de la deuxième vague

      Port du masque étendu aux Champs-Élysées, appel de médecins à l’imposer en entreprise, pèlerinage à Lourdes sous surveillance : les initiatives se multiplient pour éviter une deuxième vague du Covid-19 en France.

       
       

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        « En tant que médecin, je pense que la situation est très préoccupante, en tant que citoyen, j’ai peur, je ne suis pas certain qu’on retrouve le monde d’avant », a lâché, ce samedi 15 août, sur BFMTV, le professeur Xavier Lescure, spécialiste en maladies infectieuses à l’hôpital Bichat (Paris).

        Le médecin craint une deuxième vague beaucoup plus longue, avec plus d’impact sur le plan économique, culturel, global, alors que la Grande-Bretagne vient d’ordonner quatorze jours d’isolement aux voyageurs arrivant de France.

        Le nombre de cas repart à la hausse

        Un indicateur inquiète particulièrement. Le nombre de cas de coronavirus est reparti à la hausse : 2 846 en 24 heures comptabilisés vendredi, nouveau record depuis mai, mois du déconfinement. Un effet du dépistage massif en cours mais pas seulement, puisque le taux de positivité dans la population augmente régulièrement.

        Cette tendance conduit à une multiplication des mesures préventives prises par les autorités. Même si pour le moment le nombre des décès quotidiens est bien loin des heures sombres (18 dans les dernières 24 heures, 30 406 au total depuis le début de l’épidémie) et que la situation en réanimation reste stable (367 malades concernés, soit 7 de moins en 24 heures).

        ACTUALITÉ DES MARQUES

        Faites une bonne action, relevez le Défi-tri Citeo

        Relevez le Défi-tri ! Pour chaque participation, Citeo reverse des dons à l’association Les Petits Frères des Pauvres.

        Inspired by

        L’obligation du port du masque s’étend chaque jour

        L’obligation du port du masque en extérieur s’étend quotidiennement. Depuis samedi matin 8 h, à Paris, une partie des Champs-Élysées, le quartier du Louvre et celui des Batignolles, sont désormais concernés. Ces zones n’étaient pas comprises jusqu’ici, alors que certaines rues de la capitale sont soumises à cette pratique depuis lundi matin.

        Lire aussi : CARTE. Quelles villes imposent le masque en extérieur ?

        On a fait un premier pari, celui de s’en tenir aux zones denses, si ça ne marche pas, nous (étendrons cette obligation) sur tout Paris , a confié Anne Souyris, adjointe à la mairie de Paris en charge de la Santé publique, interrogée sur BFMTV .

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        • Météo : onze départements de la façade ouest

          placés en vigilance orange aux orages

          Des éclairs sont attendus à partir de samedi soir dans le ciel de la Dordogne, de la Vendée, en passant par l'Indre-et-Loire.

          Un orage s\'abat sur Châteaudun (Eure-et-Loir), le 11 août 2020.Un orage s'abat sur Châteaudun (Eure-et-Loir), le 11 août 2020. (JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP)

          avatar
          franceinfoFrance Télévisions

          Mis à jour le 15/08/2020 | 16:29
          publié le 15/08/2020 | 16:20

          Attention aux têtes. Météo France a placé onze départements de la façade ouest en vigilance orange aux orages, samedi 15 août. Il s'agit de la Charente, la Charente-Maritime, la Dordogne, la Gironde, l'Indre-et-Loire, la Loire-Atlantique, le Maine-et-Loire, les Deux-Sèvres, la Vendée, la Vienne et la Haute-Vienne.

          Les orages sont attendus à partir de 19 heures et dureront une bonne partie de la nuit. Ils s'annoncent ponctuellement actifs, en produisant parfois des pluies soutenues et de la grêle sur la Nouvelle-Aquitaine, les Pays-de-la-Loire jusqu'en Bretagne ainsi que sur l'ouest de la Normandie. L'accalmie est attendue à partir de dimanche matin.

          VigiMétéoFrance
          @VigiMeteoFrance
           
          11 dpts en #vigilanceOrange Restez informés sur http://vigilance.meteofrance.com

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          69 personnes tweetent à ce sujet.
          • Pluie-inondation

          Épisode orageux actif cette nuit balayant le centre-ouest du pays : fortes intensités pluvieuses, violentes rafales, forte activité électrique et risque de grêle.

          Météo France annonce par ailleurs la fin de la vigilance orange canicule qui concernait vingt et un départements de l'est de l'Hexagone.

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