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1er avril 2020 – C’est bon de rire… Parfois !
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Les soignants bientôt approvisionnés en masques et respirateurs…
Soignants : « Poisson d’avril ! »
Bon, les plus courtes sont les meilleures !
(caricature de soignants)
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Coronavirus : "Nous sommes au bout de nos capacités d’hospitalisation", annonce le directeur de l'ARS d'Île-de-France
Aurélien Rousseau, directeur de l'Agence régionale de santé d'Île-de-France, affirme que le nombre de lits de réanimation a été multiplié par 2,5 en région parisienne. Il mise désormais sur le transfert de malades vers des régions moins touchées par le Covid-19, et la venue de soignants d'autres régions en Île-de-France.
La réception des patients Covid-19 à l'entrée des urgences de l'hôpital Henri Mondor de Créteil (Val-de-Marne), le 30 mars 2020. (BERTRAND GUAY / AFP)
Mis à jour le 01/04/2020 | 08:31
publié le 01/04/2020 | 08:31il y a 7 secondesDIRECT. Coronavirus : la barre des 4000 morts à l'hôpital franchie en France, 6000 malades actuellement en réanimation
La France a connu mardi 31 mars son pire bilan quotidien depuis le début de l'épidémie de coronavirus, avec 499 morts à l'hôpital. "Nous avons passé une nuit extrêmement difficile, nous sommes au bout de nos capacités d’hospitalisation", a déclaré Aurélien Rousseau, directeur général de l'Agence régionale de santé d’Île-de-France, mercredi 1er avril, sur franceinfo. "En Île-de-France, il y a 1 200 lits de réanimation. À l’heure où je vous parle, on a 2 700 malades en réanimation", a-t-il indiqué.
franceinfo. Les neufs plus grands hôpitaux européens, dont l'AP-HP, disent n'avoir plus qu'une semaine de stock de morphines et d'antibiotiques. Le risque est-il bien réel ?
Aurélien Rousseau. Le risque est réel, il grandit depuis plusieurs jours et il mobilise au plus haut niveau de l'État pour organiser la réponse collective. Une réponse nationale, vis-à-vis des laboratoires, dans une tension qui est partout dans le monde, partout en Europe. À court terme, d'ores et déjà, c'est la solidarité qui joue. Il y a des hôpitaux et cliniques qui ont plus de réserves que d'autres. Depuis une semaine, nous organisons des transferts pour qu'il n'y ait pas de rupture et pour que tous les malades qui nécessitent de la réanimation soient hospitalisés et, évidemment, bénéficient des médicaments qui leur sont nécessaires.
Le problème, c'est la tension globale sur ces molécules ciblées, notamment le curare. Et donc, nous devons identifier et trouver tous les stocks, et puis après assurer cette répartition en fonction de l'activité des hôpitaux, en fonction du nombre de malades en réanimation qu'ils s'accueillent.
Aujourd'hui, une quarantaine de patients d'Île-de-France vont être transportés vers la Bretagne en TGV médicalisé. Est-ce parce que les capacités d'accueil des hôpitaux franciliens sont désormais atteintes ?
Nous avons passé une nuit extrêmement difficile puisque nous sommes effectivement au bout de nos capacités d'hospitalisation. Je redonne un chiffre : en Île-de-France, il y a 1 200 lits de réanimation. À l'heure où je vous parle, on a 2 700 malades en réanimation. On a donc multiplié par presque deux et demi, depuis quelques semaines, le nombre de lits. Quand je dis ce "on", c'est un "on" qui signifie d'abord et avant tout les soignants qui sont au chevet des malades, qui font un boulot totalement extraordinaire, mais aussi les directeurs d'hôpitaux, les chefs de service qui se mobilisent pour cela. Et donc aujourd'hui, en effet, nous arrivons à la limite de nos capacités. On va encore ouvrir quelques dizaines de lits aujourd'hui. On espère pouvoir ouvrir encore dans les jours qui viennent, mais on active maintenant encore plus fortement le soutien et la solidarité des autres régions.
Déjà, une dizaine de patients sont partis ce weekend en Centre-Val de Loire. 36 partiront tout à l'heure en Bretagne et sans doute une centaine de plus à partir de ce soir ou demain matin vers les autres hôpitaux. Mais dans l'autre sens, notre objectif, c'est aussi d'ouvrir des lits. Et pour ça, on va faire venir des soignants d'autres régions. Parce que l'augmentation que nous avons mise en oeuvre en Île-de-France mobilise, sur-mobilise les soignants, donc on a fait appel à ce volontariat. Et aujourd'hui, on va aller chercher ces soignants partout en France pour les rapatrier en Île-de-France et pour qu'ils soient au chevet des malades.
Les hôpitaux privées se plaignent parfois d'être laissés de côté. Sont-ils aussi utilisés ?
Très clairement, l'hospitalisation privée est mobilisée à son maximum. Il y a une semaine, j'ai fixé un objectif à tous les acteurs publics, privés et privés-solidaires, je leur ai dit "il faut que nous parvenions à ouvrir 1 000 lits, on était à 1 200 malades du Covid-19 en réanimation, mercredi dernier, on sera ce soir à 2 200". Et cette ouverture de lits est permise par le public, par le privé et par le privé non lucratif. Ce sont eux tous qui se sont mobilisés.
Évidemment que s'il y avait encore des ressources, on les utiliserait. Cette nuit, la clinique de Parly 2 a encore ouvert deux lits. Chacun jette toutes ses forces dans cette bataille, on arrache les lits les uns après les autres. Et encore une fois, ce "on", c'est d'abord et avant tout les soignants qui font un boulot extraordinaire depuis plusieurs semaines.
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No, not Sean Hannity. Trump could mail out smallpox blankets in Swiss Colony cheese boxes and Hannity would scold us for not being grateful.
It’s New York sportscaster Mike Francesa, who is seeing this American carnage up close and went on a righteous tirade on Monday:
“We’re watching one thing happen in our city on the 11 o’clock news every night. We’re watching people die, and now we know people who died. And we’re not seeing one or two people die now in our neighborhood. We’re seeing them die by the tens and twenties by the day.”
...
“So don’t give me the MyPillow guy doing a song-and-dance up here on a Monday afternoon when people are dying in Queens. Get the stuff made, get the stuff where it needs to go, and get the boots on the ground! Treat this like the crisis it is!”
In response to Trump’s suggestion that the media should look into the baseless and preposterous theory that health care workers are stealing vital medical supplies, Francesca lit into IMPOTUS:
“You go investigate that! You have your military, your FEMA investigate that! That’s your job! You’re in charge of this! If this is a war, they’re stealing your supplies, what do you do? You tell the media to go investigate it? What, and get back to you in six weeks or two months, as more people die on a daily basis? That’s what’s wrong here. There’s a disconnect.”
As for Trump’s suggestion that his administration will have done a good job if the final death toll is between 100,000 and 200,000, Francesca wasn’t having it:
“How can you have a scoreboard that says 2,000 people have died and tell us, ‘It’s OK if another 198,000 die, that’s a good job’? How is that a good job in our country? It’s a good job if nobody else dies! Not if another 198,000 people die! So now 200,000 people are disposable?”
Francesca was an early supporter of Trump’s, going back to spring 2016.
Sure sounds like he’s not a supporter anymore.
It’s probably significant that Francesca is in New York, the state that’s been the hardest hit so far. If other states follow suit, we may see Trump’s base of support begin to go away in April, with the heat.
Is Trump still chafing your arse-cheeks? Then Dear F*cking Lunatic: 101 Obscenely Rude Letters to Donald Trump and its boffo sequels Dear Pr*sident A**clown: 101 More Rude Letters to Donald Trump and Dear F*cking Moron: 101 More Letters to Donald Trump by Aldous J. Pennyfarthing are the pick-me-up you need! Reviewers have called these books “hysterically funny,” “cathartic,” and “laugh-out-loud” comic relief. And they’re way, way cheaper than therapy.
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Covid-19, le tableau de bord de la crise
Sylvain Arnulf International , Economie , Covid-19
Publié le 16/03/2020 À 18H28, mis à jour le 30/03/2020 À 19H37
Dossier L’Usine Nouvelle vous informe depuis janvier 2020 sur la crise du coronavirus Covid-19. Retrouvez dans cet article l’ensemble de nos contenus sur le sujet, réactualisé chaque jour.
Le tableau de bord mis à jour quotidiennement par l'université Johns Hopkins © Johns Hopkins
La situation sanitaire
Après deux semaines de confinement, le pic de l'épidémie en France n'est pas encore atteint. Ce 30 mars, 418 décès ont été constatés en 24 heures dans les hôpitaux de France, un nombre jamais atteint pour un bilan quotidien dans notre pays depuis le début de la crise. Le bilan total en France est désormais de 3024 décès en milieu hospitalier.
20 946 personnes sont hospitalisées, dont 5 056 dans les services de réanimation du pays (475 entrées dans les dernières 24 heures).
Le nombre de cas officiellement diagnostiqués en France par tests PCR est désormais de 44 450.
Consultez le tableau de bord mis à jour quotidiennement par le gouvernement français (avec carte et données) et par l'université Johns Hopkins
Les restrictions de déplacements
Le virus circule désormais partout en France, qui en est au stade 3 de l'épidémie. Depuis le 16 mars à midi, les déplacements et regroupements seront fortement restreints. Ce 27 mars, Edouard Philippe a annoncé à l'issue du conseil des ministres que le confinement serait prolongé jusqu'au 15 avril.
La plupart des lieux publics sont fermés, commerces non essentiels, écoles, lieux culturels. La SNCF et la RATP ont drastiquement réduit leur plan de transports, notamment les liaisons longue distance. Air France a réduit son activité de 80 %. L'aéroport d'Orly sera totalement fermé le 31 mars au soir.
Depuis le 15 mars et pour une durée d'un mois, les Etats-Unis ont interdit l'accès à leur territoire aux voyageurs venus d'Europe.
Le 16 mars, l'Europe a annoncé la fermeture de ses frontières extérieures. Les voyages depuis les pays non européens vers l'UE sont suspendus pendant trente jours.
La course au vaccin et aux traitements
Face à cette épidémie, les équipes de chercheurs du monde entier s'activent pour tenter de mettre au point des traitements et un vaccin. La France est en pointe dans cette lutte. Notre dossier.
Le 15 mars, le géant pharmaceutique français Sanofi et son partenaire américain Regeneron ont annoncé qu'ils allaient tester leur médicament Kevzara dans le traitement du Covid-19.
Sanofi s'est également dit prêt à offrir aux autorités françaises suffisamment de doses de l'anti-paludique Plaquenil pour traiter jusqu'à 300 000 malades, après un essai clinique jugé "prometteur" mené par des chercheurs de l'institut hospitalo universitaire Méditerranée infection auprès de 24 patients atteints du Covid-19. Le 23 mars, le Haut conseil de santé publique recommande cependant de ne pas utiliser de traitement à la chroloquine, sauf dans les cas les plus graves et sur décision collégiale de l'équipe soignante. On vous explique la différence entre chloroquine et hydroxychloroquine.
Air Liquide va doubler la production de ventilateurs de réanimation sur ses sites d'Antony et Pau.
La France va augmenter sa capacité à mener de nombreux tests : l'objectif est d'arriver à 29 000 tests par jour début avril.
La mobilisation des PME et grandes entreprises
Masques, gel hydroalcoolique, respirateurs... Des usines françaises tournent à plein régime pour fournir les ressources nécessaires aux soignants. Une véritable course contre le montre. Notre dossier.
LVMH, le numéro un mondial du luxe, va produire du gel hydroalcoolique dans ses trois usines de production de parfum. Les premières livraisons de flacons aux Hôpitaux de Paris ont eu lieu le 17 mars. L'Oreal en produit également dans ses usines. L'industrie textile française s'adapte. Les entreprises de l'agroalimentaire comme Tereos et Pernod Ricard participent aussi à l'effort. Des entreprises font don de leur stock de masques.
Les entreprises de la tech, en France et dans le monde, mettent à disposition leurs outils pour lutter contre le virus et ses conséquences.
Les usines paralysées, la supply chain bloquée
Renault, PSA, FCA, Toyota, Renault Trucks Michelin... les annonces de fermetures temporaires d'usines se sont multipliées dans l'automobile. Idem pour le site de Bombardier dans le Nord. En cause : la difficulté à s'approvisionner et la volonté de protéger les salariés et limiter leurs déplacements. PSA envisage de reprendre la production à partir du 30 mars. Chez Airbus, la production a repris le 23 mars.
Découvrez notre récapitulatif des usines fermées en France.
L’adaptation des entreprises et des salariés
Le gouvernement prévoit un panel de mesures pour accompagner les entreprises en difficulté durant la crise. Notre guide pratique.
On vous explique en quoi consiste un Plan de continuité d'activité ou comment bénéficier de mesures de chômage partiel.
Salariés, nous vous expliquons comment vous adapter au mieux à cette période de confinement. Le télétravail, par exemple, ça ne s'improvise pas et ça demande de l'organisation : quelques conseils et vos droits et devoirs.
Et toutes les questions que vous vous posez encore sur le droit de retrait ou le chômage partiel, alors que les tensions montent entre syndicats et direction au sein de certaines entreprises toujours en activité. La loi instaurant un état d'urgence sanitaire prévoit de nouvelles dispositions pour les entreprises. La prime Macron a été adaptée : les salariés particulièrement sollicités pendant cette période pourront la toucher, si leur entreprise le souhaite. Mais pas les télé-travailleurs... a priori.
Les conséquences économiques
Secteur par secteur, on fait le point sur les perturbations des différents secteurs économiques. L'Union européenne anticipe une récession de l'ordre de 1 % en 2020. 45 milliards d'euros d'aides ont été débloquées pour les entreprises et les salariés par le ministère de l'Economie. Un aide d'urgence de 4 milliards d'euros a été débloquée pour les start-up françaises. L'Europe peine à mettre en place un mécanisme de solidarité post-crise.
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DIRECT. Coronavirus : la France passe le seuil des 3000 morts à l'hôpital avec 3024 victimes. Suivez la conférence de presse de Jérôme Salomon
Ces dernières 24 heures, on compte 418 morts dus au coronavirus. Il s'agit de la plus forte augmentation quotidienne depuis le début de l'épidémie en France.
Mis à jour le 30/03/2020 | 19:51
publié le 30/03/2020 | 06:51Ce qu'il faut savoirUn nouveau cap est franchi en France. Le coronavirus a désormais causé la mort de plus de 3000 personnes à l'hôpital, selon le bilan donné par le ministère de la Santé, lundi 30 mars. Ce sont exactement 3024 personnes qui ont perdu la vie depuis le début de l'épidémie, dont 418 de plus en 24 heures, le bilan quotidien le plus lourd en France depuis le début de l'épidémie. Dans son point de ce lundi, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a précisé que 20 946 malades étaient actuellement hospitalisés, et que 7 923 étaient rentrés chez eux. Suivez notre direct.
Le bilan s'alourdit aussi en Italie. Dans leur point quotidien, les autorités sanitaires italiennes ont encore annoncé 812 morts de plus lors des dernières 24 heures. Ce qui porte à plus de 11 500 le nombre total de décès depuis le début de l'épidémie de coronavirus. En revanche, la hausse des nouveaux cas positifs recensés n'a jamais été aussi faible, avec une augmentation de 4%. C'est quatre fois moins qu'il y a quinze jours.
Un quart des marchés alimentaires vont rouvrir en France. Cela se fera sous condition sanitaire stricte. Pour rappel, Edouard Philippe avait annoncé il y a quelques jours que les marchés alimentaires de plein air étaient désormais interdits, sauf dérogation accordée par le préfet sur demande du maire.
Le Mondial de l'auto annulé. En tout cas "dans sa forme actuelle", précisent les organisateurs. Le grand show devait se tenir début octobre à Paris. "Au regard de la gravité de la crise sanitaire sans précédent face à laquelle le secteur automobile, frappé de plein fouet par l'onde de choc économique, joue aujourd'hui sa survie, (...) nous ne serons pas en mesure de maintenir dans sa forme actuelle le Mondial de l'auto à la porte de Versailles pour son édition 2020", peut-on lire dans un communiqué.
Plus de 7 300 morts en Espagne. Le coronavirus a fait 812 décès supplémentaires en 24 heures en Espagne, portant le bilan total de l'épidémie dans le pays à 7340 morts, ont annoncé les autorités lundi. Le nombre de cas confirmés s'établit désormais à 85 195 (contre 78 797 dimanche) et dépasse ainsi le chiffre chinois (81 470 cas).
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AFP
L'enseigne Macy's a annoncé lundi mettre au chômage technique la majorité de ses 130 000 employés en réponse à la pandémie de coronavirus, qui l'a conduite à fermer tous ses magasins.
«Sur l'ensemble des marques Macy's, Bloomingdale's et Bluemercury, nous allons dorénavant opérer nos opérations avec un minimum d'effectifs», a indiqué le groupe dans un communiqué. «Ceci signifie que la majorité de nos collègues vont être mis au chômage technique cette semaine», ajoute-t-il sans donner de détails sur le nombre de personnes concernées.
Le groupe employait environ 130 000 personnes au 31 décembre.
Macy's, dont le magasin amiral est situé en plein centre de Manhattan à New York, va néanmoins continuer à prendre en charge la couverture santé de ses salariés au moins jusqu'au mois de mai.
Les salariés qui vont rester sont ceux affectés aux activités liées au commerce en ligne, à la distribution et aux centres d'appels téléphoniques (services clients, notamment).
Macy's a fermé tous ses magasins depuis le 18 mars, ce qui a entraîné une chute de ses revenus en dépit d'achats en ligne.
«Nous avons perdu la majorité de nos ventes», souligne Macy's, énumérant par ailleurs une série de mesures pour rester à flot.
L'enseigne a suspendu tout versement de dividendes, gelé les nouvelles embauches, annulé des commandes, arrêté les dépenses et a demandé à avoir accès à toutes les lignes de crédit que lui avaient accordées les banques.
Elle envisage de prendre des mesures plus drastiques, mais ne les détaille pas pour l'instant.
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Par MARIALIS06 dans Consultations publiques du ministère du développement durable le 30 Mars 2020 à 18:33
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