• le mardi 07 juillet 2020 |

    Du jamais vu en France : quatre lionnes saisies

    d’un cirque pour mauvais traitements à la suite

    de l’action de One Voice.

    https://one-voice.fr/public_medias/image_file/file/5126/large_71d8958e.jpg

    Depuis ce matin du 7 juillet 2020, Hannah, Patty, Céleste et Marli, les compagnes de Jon, sont sauvées du cirque et devraient le retrouver au refuge de Tonga Terre d’Accueil en fin de journée. La préfecture a ordonné leur saisie et les a confiées à One Voice, gardienne légale des quatre lionnes. Hr blog Le cirque qui les détenait a été intercepté près de la frontière belge quelques jours après une inspection demandée par la préfecture aux conclusions sans appel sur la condition des fauves. One Voice avait chargé son partenaire Natuurhulpcentrum du transfert du cirque au refuge de Tonga Terre d’Accueil, à qui elle confie leur suivi quotidien, en attendant qu’ils soient de nouveau réunis avec Jon. C’est la toute première fois que des animaux sont saisis d’un cirque à la demande d’une association, pour des seuls faits de mauvais traitements. Sauver des animaux des cirques, c’est les sauver de la mort Muriel Arnal, présidente fondatrice de One Voice, déclare : « Quand One Voice a lancé sa campagne il y a vingt ans (1), personne n’imaginait ce qu’était la réalité du cirque pour les animaux. Aujourd’hui, le sort de Jon et ses compagnes démontre que les cirques ne font pas seulement souffrir les animaux : ils les font aussi mourir. » Si un cirque veut faire des économies ou n’a plus besoin de ses animaux, il les affamera jusqu’à ce que mort s’ensuive. De toute façon le ministère de l’Écologie ne tient pas de registre de ces animaux appartenant pourtant à des espèces menacées, et le trafic de félins, omniprésent entre cirques, les remplace immédiatement. Entre omerta et incapacité à suivre la réglementation Le dresseur l’a dit aux vétérinaires et aux autorités : il ne connaît même pas le nom des animaux enfermés dans ses camions ! Dans le rapport de la DDPP du 22 juin 2020, il est fait mention du registre des entrées et sorties et de celui des soins des animaux : impossible de les consulter car ils auraient été volés à son frère, dresseur d’un autre cirque, après qu’il les a emportés malencontreusement dans le sud de la France... Pour la transparence on repassera. Les papiers des animaux, quand ils existent, sont transmis par photo numérique, et souvent les identifications ne correspondent pas, voire sont impossibles à vérifier. La puce de Jon, elle, établit son appartenance à un autre cirque, entreprise d’un autre membre de la famille... Un rapport vétérinaire sans appel : les lionnes sont en mauvaise santé ! Boiterie, plaies, fonte musculaire, perte de motricité postérieure... Les lionnes présentent une note d’état corporel de 2 sur 5, au mieux de 2,5 sur 5 ! Probablement elles aussi dégriffées aux pattes avant, ce qui est illégal, et avec des crocs (les canines) cassés. Muriel Arnal ajoute : « On a affaire à des animaux sauvages qui sont en train de disparaître dans la nature, et auxquels on inflige les pires cruautés en toute illégalité. À chaque fois que nous avons tiré la sonnette d’alarme pour eux, on nous a proposé des réunions. Mais où sont les actes ? Discuter autour de la table est fort sympathique, mais pendant ce temps les animaux restent dans les camions ! Barbara Pompili sera-t-elle la ministre courageuse qui prendra rapidement l’arrêté tant attendu, comme l’ont fait la plupart de nos voisins ? Nous l’espérons. En attendant, s’il faut secourir ces animaux des cirques un à un, nous le ferons. » L’OFB et la préfecture ont répondu présent à notre alerte ! Un grand merci à l’ensemble des agents de l’Office Français de la Biodiversité pour leur mobilisation sans faille dans ce dossier, avec le parquet d’Évreux. Nous tenons également à remercier très chaleureusement Jérôme Filippini, le nouveau préfet de l’Eure, qui a pris toute la mesure de l’importance de ce dossier et a rendu possible l’organisation de la saisie de Jon puis de Hannah, Patty, Céleste et Marli. La préfecture porte plainte contre le cirque pour mauvais traitements de Hannah, Patty, Céleste et Marli, et devrait procéder également au retrait du certificat de capacité (qui permet au dresseur d’exploiter les animaux). Nous retrouverons les dresseurs devant le tribunal où ils devront répondre des mauvais traitements infligés à ces cinq lions, en toute connaissance de cause.

    (1) https://cirques-sans-animaux.fr/

     

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  • Assistante de vie : pour simplifier le paiement

    des indemnités journalières

    Pétition : Assistante de vie : pour simplifier le paiement des indemnités journalières

    Auteur
    Auteur(s) :
    Marchetti Patricia
    Destinataire(s) :
    Olivier Véran (Ministre des Solidarités et de la Santé)
     

     

    La pétition

    Bonjour Monsieur Le Ministre,

    Je suis assistante de vie auprès des personnes âgées.

    J'ai été opérée du dos en urgence pendant le confinement.  

    Et cela fait maintenant trois mois que je n'ai pas touché mes indemnités journalières...

    Après plusieurs mails infructueux sur le site de la CPAM, je viens d'apprendre que les réponses sont automatiques .

    On vous redemande à maintes reprises des documents (toujours les mêmes). Ces derniers ont été envoyés en recommandé avec accusé de réception. Aucune réponse n'est apportée de façon à ce que vous sachiez où en est votre dossier.

    Nous sommes des milliers dans ce cas, certains vont se retrouver à la rue alors qu'ils ont cotisé pour pouvoir être couverts.
     
    J'ai repris mon travail auprès des personnes âgées, mais mon état s'est aggravé, je suis obligée de me remettre en arrêt. 

    Vais-je être obligée de repasser par ces tracas administratifs ? 

    Pour information, je travaille en CESU, j'ai plusieurs employeurs. Ne serait-il pas judicieux que la CPAM se mette directement en relation avec le site de l'URSSAF pour récupérer les attestations salariales faites par eux ? Au lieu de nous faire envoyer par courrier papier les multiples feuilles de salaire, pour ma part il y en avait 60 (et oui, on ne peut pas joindre de fichiers PDF sur leur site !)

    Incroyable en 2020.

    Je pensais que tous les organismes étaient en relation, ils le font pour les impôts, pourquoi pas pour la CPAM ? 

    Un remaniement s'impose de toute urgence, Monsieur le Ministre.

    Même si je sais qu'en ce moment la situation est extrêmement complexe à cause du Covid-19, il est de votre devoir de faire en sorte que vos administrés ne restent pas sans indemnisations trop longtemps et de sauver leur vie.

    La maladie nous affaiblit déjà il ne faut pas rajouter les problèmes financiers. 

    Je veux pouvoir être en forme et sereine financièrement pour pouvoir continuer mon beau métier, pour accompagner vos parents, grands-parents dans une fin de vie paisible et joyeuse. 

    Je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire et de prendre en considération ma requête

    Cordialement

    Marchetti Patricia
    Assistante de vie
    Bouches-du-Rhône

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    Fondation 30 Millions d'Amis

    Des ours victimes de tirs d’effarouchement en Ariège !

    Bien qu'inefficaces et dangereux, des tirs d'effarouchement ont été réalisés sur des ours, en Ariège. ©Pixabay

    10.07.2020

    La préfecture de l’Ariège vient d’autoriser des tirs non létaux contre les ours sur deux estives dans les Pyrénées. Des mesures rendues possibles par l’arrêté du 12 juin 2020 qui a prolongé l’expérimentation, initiée en 2019, visant à permettre aux préfets d’autoriser le recours à des moyens d’effarouchement des ours.

    La Fondation 30 Millions d’Amis regrette qu’une fois de plus, un procédé dangereux et inutile soit préféré à des alternatives pacifiques et efficaces.

    Un ours a été l’objet d’un tir non létal par arme à feu en Ariège dans la nuit du 6 au 7 juillet 2020 ! Cette opération d’effarouchement, réitérée le lendemain à l’encontre d’un autre plantigrade, pourra être renouvelée « au cours de l’été 2020 » selon la préfète de l’Ariège Chantal Mauchet (France Bleu Occitanie, 7/07/2020). En principe, en vertu de l’arrêté du 12 juin 2020, ce type d’effarouchement - dit renforcé - ne peut être autorisé qu’en cas d’échec des moyens d’effarouchement sonores, olfactifs et lumineux. Or, ces derniers ne peuvent eux-mêmes intervenir qu’en cas d’attaque sur l’estive (« pour laquelle la responsabilité de l’ours n’a pas été exclue ») et uniquement après « la mise en œuvre effective et proportionnée des moyens de protection du troupeau ».

    Or, « il semblerait que des effarouchements soient autorisés sur un (voire des) troupeau(x) non-protégé(s), fustige Alain Reynes, Directeur de l’association Pays de l’Ours-Adet, contacté par 30millionsdamis.fr.

    Le recours à des mesures de protection, tel le regroupement nocturne, est pourtant une condition préalable à toute demande d’effarouchement ! ». Déjà en 2019, des troupeaux avaient bénéficié d’opérations d’effarouchement alors qu’ils n’étaient pas correctement protégés… « Les effarouchements peuvent être accordés alors même qu’aucune protection n’est utilisée (ni chiens, ni parcs électrifiés) », peut-on lire dans la synthèse de la consultation publique sur le projet d’arrêté. « C’est le cas de trois groupements pastoraux sur les cinq ayant bénéficié des effarouchements renforcés en Ariège, l’été 2019 », précise cette même source.

    Des mesures contestées par 97% des contributeurs à la consultation publique

     

    Des tirs inutiles, superflus, abusifs, néfastes, illégaux.
    Extrait de la consultation publique

    Du reste, l’effarouchement de l’ours dans les Pyrénées est massivement rejeté par l’opinion publique : 97% des contributeurs à la consultation publique ont exprimé leur opposition. Et pour cause, comme l’ont rappelé les associations Ferus et Pays de l’Ours-Adet dans leur communiqué du 15 juin 2020, l’effarouchement des ours est « inutile », - l’expérimentation de 2019 n’ayant permis aucune baisse de la prédation - « superflu », - la présence humaine suffisant à éloigner l’ours - mais aussi « abusif », - car autorisé à partir de seuils de prédation excessivement bas - ou encore « néfaste »  pour la faune sauvage avoisinante, « dangereux pour l’ours et pour l’Homme » - au regard des risques de blessures - et, par conséquent, « illégal ». De quoi remettre en cause, une énième fois, l’utilité des consultations publiques qui font fi des avis exprimés…

    Les effarouchements récemment autorisés en Ariège interviennent moins d’un mois après la mort d’un ours, tué sous les balles d’un homme, dans le même département (09/06/2020). Cette macabre découverte avait suscité l’indignation de la Fondation 30 Millions d’Amis qui avait immédiatement porté plainte pour destruction d’espèce protégée.  « Nous n’avons, pour l’heure, aucune nouvelle de l’enquête, déplore Alain Reynes. Quant au remplacement de l’ours, aucune décision n’a encore été annoncée alors que l’Etat s’y est engagé : on nous dit que c’est à l’étude… ». Le 4 juillet 2020, plus de 27 000 personnes ont « télémanifesté » - sur le site touspourlours.fr - leur soutien à l’ours dans les Pyrénées.

    Téléchargez l'application 30 Millions d'Amis

     
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  • Logo MesOpinions.com

     

    Pétition

    SOUTENEZ LES PARLEMENTAIRES DESIRANT INTERDIRE

    LA VENERIE SOUS TERRE

    Pétition : SOUTENEZ LES PARLEMENTAIRES DESIRANT INTERDIRE LA VENERIE SOUS TERRE
    Auteur(s) :
    Alliance des Opposants à la Chasse
    Destinataire(s) :
    Elisabeth Borne (Ministre de la Transition écologique et solidaire)
    Emmanuel Macron (Président de la République)
    Parlementaires
    La pétition

    SOUTENEZ LES PARLEMENTAIRES DESIRANT INTERDIRE LA VENERIE SOUS TERRE


    A Elisabeth BORNE, à Monsieur le président


             Nous avons envoyé la lettre ci après à 150 parlementaires et interpellé Madame la ministre Elisabeth Borne et le Président de la République.


             Nous avons reçu bon accueil d’un certain nombre de nos parlementaires. Nous postons la présente pétition afin que vous appuyiez notre démarche et que vous les les encouragiez à élaborer une proposition de loi.


             Voici la lettre : 


    LETTRE OUVERTE adressée par les adhérents et les associations regroupées au sein de l' AOC :
    One Voice / L214 / La Voix des Loups / Sea Shepherd / Loups lynx / VIDA / Fondation MART / ADDA / Sentinelles / CRAC Europe / FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT Auvergne Rhône Alpes / AVES France / Combactive / Oiseaux Nature / Convention Vie et Nature / Collectif animalier 06 / La Griffe / Oïkos Kos Bios / Animal Cross / Forest Shepherd.


    à nos parlementaires, à nos ministres et à notre chef d’état pour une loi interdisant la vènerie sous terre.


    Action soutenue par les associations qui figurent en bas du document 


    Vous êtes les garants des principes législatifs, constitutionnels et de l’éthique des nations. Nous vous adressons solennellement la présente afin que vous légifériez en regard de ceux-ci sur un sujet qui, dans la pratique, ne les respecte pas et ne sert que les intérêts de quelques-uns au détriment de notre environnement et de notre morale.


    Grâce au dévouement, au courage et à l’engagement des militants de l’association One Voice, ces vidéos ont pu être tournées. Elles montrent des opérations de déterrage autorisées en 2020 dans notre pays :
    Cliquez ICI =>
    Site J'aime les Blaireaux        
    et là pour le renard=> En France, on massacre les renards toute l'année, y compris les renardeaux


      NOUS VOUS DEMANDONS DE LES REGARDER

    Ces spectacles nous sont insoutenables et nous pensons qu’il en est de même pour vous.

                Il ne s’agit là, non pas d’être pour ou contre la chasse, mais bien d’accepter légalement des pratiques barbares flattant les pulsions les plus sadiques d'une part minoritaire de l’humanité.De tels actes peuvent être consultés dans des médias en ligne, il en est fait l’apologie dans des revues, toutes ces communications peuvent parvenir au regard des enfants.


                En ces temps où la protection de la biodiversité et notre rapport aux animaux sauvages est d’une actualité des plus urgentes, est-ce là l’éducation à l’environnement, à la nature qui nous préserve, que nous voulons ?


                Ces méthodes, catégorisées comme loisirs, mais à vrai dire le plaisir de donner la mort de la manière la plus abominable, visent principalement deux espèces, par ailleurs chassées, que sont le renard et le blaireau.


                Le renard est protégé dans de nombreux pays et devrait l’être en France, étant, comme le montrent de nombreuses études françaises et internationales, un rempart contre la maladie de Lyme et un auxiliaire de l’agriculture.


                Le Blaireau est un animal on ne peut plus paisible, n’occasionnant que de minimes dégâts et qu’il est facile de piéger pour le transporter dans un biotope accueillant des kilomètres plus loin. Leur observation est par ailleurs un formidable outil pédagogique pour les classes vertes et animations nature. Par ailleurs, le tuer n’a même pas l’excuse de sa consommation. Il devrait être lui aussi retiré de la liste des espèces chassables.


                L’ASPAS a fait un état des lieux complet au niveau national des consultations publiques visant ces pratiques. La période complémentaire de vénerie sous terre est toujours une réalité dans une grande majorité des départements français. Et pourtant rien ne justifie cette période de déterrage supplémentaire, si ce n’est le simple « loisir » d’une minorité. La carte est édifiante !

    Cliquez ici=> Mobilisons-nous pour les blaireaux


                Ne pas se dresser contre de tels divertissements(qui bafouent le principe inscrit dans le code civil reconnaissant la nature de  l’animal comme être vivant et sensible), en ayant le pouvoir de le faire, relèverait de la complicité.


    NOUS VOUS DEMANDONS DE LÉGIFÉRER AFIN D'INTERDIRE LA VÉNERIE SOUS TERRE et sa COMMUNICATION sur tous supports.


                 Une loi qui satisfera la grande majorité des français puisque 92%d’entre eux se sont déclarés totalement opposés aux chasses traditionnelles dont fait partie la vénerie sous terre.


     ACTION SOUTENUE PAR : ACTA / Alsace Nature / ASPAS / AVA / Cerf Pirate / FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT / FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT AURA /FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT Bourgogne Franche Comté  / FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT Centre Val de Loire / FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT Midi Pyrénées / 269 Life France / LPO / RAC / Respectons / Fondation Brigitte Bardot / Le Droit des Animaux.


     Soutenez cette action, SIGNEZ LA PETITION

     

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  • Nous avons besoin de votre engagement immédiat pour sauver des centaines de chiens condamnés à l’expérimentation animale. Oui, nous parlons bien de nos compagnons les plus fidèles ! Leur sacrifice est devenu possible par le décret que le gouvernement a discrètement adopté pendant le confinement. Pour faire cesser cette barbarie, il faut agir très vite !

    Hr blog

    Les élevages d’animaux de compagnie non agréés pour procurer des cobayes aux laboratoires sont désormais autorisés à leur en livrer. En ce qui concerne les chiens, les établissements qui le souhaitent pourront donc écouler leur « surplus », en échappant à tout contrôle : une facilité qui tombe à point pour exploiter les « invendus » liés à l’arrêt des activités ces dernières semaines.

    Voilà ce que permet le décret n° 2020-27 adopté le 17 mars 2020, modifiant la réglementation sur la protection des animaux utilisés à des fins scientifiques.

    Ces critères assouplis au profit des fournisseurs non spécialisés génèrent une nouvelle filière infâme et, à terme, un massacre organisé rendu légal. La France, championne d’Europe de l’expérimentation animale avec plus de 2 millions de victimes par an et pays qui sacrifie le plus de chiens sur les paillasses, dépasse encore les limites de l’ignominie.

    Un véritable supermarché pour les expérimentateurs

    Ce sont des chiens et chiots de toutes races qui sont promis au scalpel. Les éleveurs de chiens de chasse en particulier se montrent proches des laboratoires : ils leur fournissent de nombreux souffre-douleurs, beagles, springers, braques… De taille moyenne, doux et dociles, les chiens de chasse sont en effet très appréciés comme « sujets de recherche scientifique » car plus faciles à manipuler. 

    Qui plus est, depuis 2018, la capacité des établissements d’élevage, de vente, de transit et de garde de chiens est passée de 50 à 250 pensionnaires, sans pour autant exiger la moindre autorisation préalable, certification professionnelle ou règle de protection spécifique. Le taux d’inspection dans les établissements français agréés étant déjà un des plus bas de l’Union européenne, il est certain que les nouveaux pourvoyeurs des laboratoires vont eux aussi profiter impunément de cette manne. Les centres d’expérimentation sont également bien à l’abri des sanctions puisque seuls 20 % des contrôles sur notre territoire se font de façon inopinée, alors que la moyenne des autres pays atteint 40 %.

    Ce qui attend les victimes…

    Les sévices infligés aux chiens outrepassent toute description: tests médicamenteux, injections de virus, empoisonnements pour étudier les symptômes et handicaps qui en découlent, « explorations » d’organes, animaux rendus malades ou fous au nom de la science, expériences génétiques, le tout dans des conditions carcérales. Dans l’antichambre de la mort, les laboratoires déploient un éventail diabolique pour martyriser leurs cobayes en leur infligeant des souffrances inimaginables. Les chiens qui ne succombent pas de mort violente ou de lente agonie sont tués pour être vendus sous forme de « pièces détachées ».

    Cruauté absolue, de surcroît inefficace. On sait que tous les résultats obtenus par l’expérimentation animale ne sont pas transposables à l’humain, tandis que des solutions scientifiques de substitution peuvent être développées : cultures cellulaires, mini-organes in vitro, méthodes numériques (in silico), modèles mathématiques…

    Il est urgent de mettre fin à ces tortures immondes ! 

    Comment épargner ces chiens que nous aimons tant

    Avec votre soutien, nous pouvons contester ce décret et mobiliser l’opinion qui ignore tout des manœuvres gouvernementales. One Voice a demandé un recours gracieux au Premier ministre, et dénoncé les mesures contraires à la réglementation de l’Union européenne mais également aux principes directeurs de l’article L. 110-1 du Code de l’environnement.  C’est aussi vers vous que nous lançons un SOS plein d’espoir. Il reste évidemment un engagement majeur qui peut changer le destin des chiens condamnés à subir le pire : leur offrir votre foyer, votre accueil en famille, votre protection, et leur rendre la liberté et la dignité qui leur sont dues.

    Envoyez un tweet

    Annulez le décret qui vise à augmenter le nombre de victimes de l'#ExpérimentationAnimale et financez les méthodes alternatives à la place, @gouvernementFR, @EPhilippePM, @sup_recherche, @VidalFrederique, @MinSoliSante, @olivierveran ! https://bit.ly/37ZHmBb

    Cliquez sur le bouton ci-dessous pour tweeter le texte.

    Notre recours gracieux au Premier ministre

    Fisso Reynaud
    Hr blog
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  •  
     Dolphins, Eau, Saut, Parc Aquatique, Cascades

    Le dernier né d’Amtan est mort sept jours après sa naissance. Les delphinariums ne sont pas un lieu de vie acceptable pour les dauphins ! Ils doivent fermer, et Planète Sauvage ne fait pas exception à la règle !

    Hr blog

    Nous sommes retournés à Planète Sauvage à la réouverture du parc, le 24 mai dernier, pour voir comment allaient les dauphins, et notamment Galéo. Amtan était alors enceinte et tournait en rond dans les bassins-prisons du delphinarium, avec les autres détenus: Lucille, Péos, Ocean...

    Aujourd'hui, une semaine après avoir donné naissance à son petit,  elle doit faire son deuil. Il est mort il y a quelques jours.

     

    Les delphinariums ne constituent pas un environnement sain pour les dauphins. Comment peut-on qualifier la vie de ce delphineau ? À peine avait-il aspiré sa première bouffée d’air que le parc l’avait déjà utilisé tel un objet promotionnel ! Vidéo, jeu concours pour lui trouver un nom, etc. Pour ça, ils ne manquent pas de ressources. L’industrie de la captivité ne sait faire que cela, promouvoir la misère de ces êtres fabuleux et ajouter des noms ou des numéros à la liste des décès. Que la mort du bébé d'Amtan vient allonger après celle d’Aïcko et de tant d'autres...

    Ensemble, faisons fermer les delphinariums ! Signez notre pétition !

    Julia Mothé
    Hr blog
     
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  • ASPAS : Association pour la Protection des Animaux Sauvages

    La Seine-Maritime déclare la guerre aux renards !

    04/06/2020

    En février 2020, l’ASPAS vous avait appelé à participer à la consultation publique concernant un arrêté prévoyant l’abattage de 850 renards. Le texte, finalement adopté, avait pourtant été désapprouvé par 76% des citoyens ! C’est l’une des raisons qui a poussé notre association à passer à l’offensive : un recours commun avec l’association AVES a été déposé le 23 mars dernier. 

    Par chance, le confinement généralisé avait mis les opérations de « destruction » en pause et permis de sauver de nombreuses vies.

    Hélas, sous la pression des chasseurs, la Préfecture de Seine-Maritime a profité du déconfinement pour ressortir ses plans de guerre contre la faune sauvage, et publier un tout nouveau projet d’arrêté visant à autoriser l’abattage… de 1 430 renards entre juillet et décembre 2020 !

    L’ASPAS étudie à nouveau la possibilité d’attaquer cet arrêté, s’il était pris, mais en attendant, nous pouvons participer en masse à la consultation publique jusqu’au  pour faire pression sur les autorités, afin qu’ils réalisent l’absurdité d’un tel arrêté !

    NB : Les avis doivent être transmis par voie électronique avant le 19 juin à l’adresse suivante : ddtm-srmt-bnfdr@seine-maritime.gouv.fr en précisant la mention « consultation sur la régulation du renard en tirs de nuit par les lieutenants de louveterie de la Seine-Maritime de juillet à décembre 2020 »

    Quelques éléments de réponse, pour la défense de goupil :

    – La gale sarcoptique. Il s’agit d’une maladie parasitaire propre à de nombreuses espèces de mammifères et qui ne présente aucun danger pour l’homme et les activités humaines. L’animal peut en mourir. Chaque espèce porte une souche de parasite qui lui est assez spécifique et qui passe donc difficilement à une autre espèce. Sachant que les renards peuvent en mourir, pourquoi chercher à les éliminer pour ce prétexte ?

    – L’échinococcose alvéolaire. Plusieurs études scientifiques démontrent que la destruction des renards était inutile pour lutter contre cette maladie, voire qu’elle favorisait sa progression, en ce qu’elle peut contraindre des renards infectés à se déplacer vers des zones encore saines…

    – La néosporose est liée à un parasite unicellulaire, dont le réservoir est représenté par les chiens domestiques. On ne connaît pas aujourd’hui de rôle épidémiologique démontré pour la faune sauvage, renard compris. Tuer des renards pour ce prétexte ne correspond donc en aucun cas au 3e critère de l’article L. 427-6 du code de l’environnement.

    L’autre argument avancé par la préfecture est « la hausse tendancielle » des populations de renards. Tant mieux pour la biodiversité ! Le renard étant une espèce territoriale, il n’y aura jamais « pullulation » de renards sur un même territoire ; comme de nombreuses autre espèces, les populations de renards s’auto-régulent et adaptent leurs portées suivant la quantité de nourriture disponible. Au Luxembourg, où la chasse est interdite depuis 2015, aucune augmentation spectaculaire et problématique des renards n’a été constatée.

    Par ailleurs, tuer des renards pour protéger certaines espèces gibier en vue de mieux les chasser n’est pas plus recevable : cela revient à privilégier les intérêts d’une poignée de particuliers au loisir sanguinaire, au détriment de l’intérêt général.

    Enfin, il y a l’argument du renard mangeur de poules. A problème simple solution simple : poulailler bien fermé = problème réglé !

    Attention à ne pas faire un simple copier-coller des arguments de l’ASPAS : il faut que votre réponse soit écrite avec vos propres mots. Si vous habitez le département ou un département limitrophe, précisez-le !

     

    Prenez la défense de Goupil !

     

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