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    Montreurs d'ours et de loups - mettons un terme à l'exploitation des animaux dans les spectacles.

     

     

    Auteur : Association AVES France

    Destinataire(s) : Elisabeth Borne, Ministre de la Transition écologique et Solidaire

    Mise à jour
    Monsieur le Ministre de la Transition écologique et solidaire,

    La France de 2018 peut-elle encore cautionner l'exploitation d'animaux sauvages à des fins de divertissement ? 

    Chaque semaine pendant la saison des fêtes médiévales, puis pendant celle des marchés de Noël, des ours et des loups quittent leurs enclos et passent des centaines, voire des milliers de kilomètres sur les routes de France. Ces animaux, transformés en saltimbanques par des années de dressage, doivent répéter inlassablement les figures imposées par leurs dresseurs. 

    Parfois il s'agit simplement de simuler un câlin, d'autres fois on demande aux ours de grimper sur un ballon, de monter sur un toboggan, de prendre des postures de soumission ou de sauter d'un tabouret à un autre. Les loups, eux, doivent sauter dans des cerceaux, parfois enflammés, ou grimper sur des tabourets. Le but est toujours le même : donner au public l'illusion que l'animal s'amuse alors qu'il travaille, et même parfois qu'il souffre. Une fois la prestation réalisée, l'animal retourne dans une cage, un van ou à l'arrière d'une camionnette d'où il ne sortira qu'après des heures d'attente, pour une seconde représentation. 

    Pourquoi autorise-t-on leurs dresseurs à leur faire subir cette vie ? 
    N'ont-ils aucun droit parce qu'ils sont nés en captivité ?

    Ce que nous décrivons, beaucoup d'autres associations le dénoncent pour les animaux de cirque. Pourtant, si AVES France s'est spécialisée dans la lutte contre les spectacles des montreurs d'ours, c'est parce que leurs conditions de détention et de vie sont parfois pires que celles autorisées pour les autres espèces. 

    Bon nombre de nos concitoyens pensent que les montreurs d'ours et de loups appartiennent à l'Histoire de notre pays et que, comme ailleurs, cette activité a disparu. Il n'en est rien. Les montreurs d'ours sont peu nombreux, mais très demandés et leurs animaux peuvent parcourir plus de 10.000 kilomètres par saison ! 

    En début d’année, AVES France a lancé une vaste campagne de sensibilisation auprès des députés, dans le but d'obtenir la modification de l’Arrêté du 18 mars 2011 fixant les conditions de détention et d'utilisation des animaux vivants d'espèces non domestiques dans les établissements de spectacles itinérants.

    L’annexe III de cet arrêté porte sur les « exigences minimales relatives à l’hébergement des espèces dans les installations utilisées pour la réalisation des spectacles itinérants ». On peut y lire, pour les ours bruns et les ours noirs, que les installations lors de la période itinérante doivent ménager un espace disponible d'au minimum 12 à 24 mètres carrés selon la taille de l’animal.

    Or, cette disposition règlementaire est balayée par la phrase suivante, toujours en Annexe III de l’arrêté du 18 mars 2011 : 


    « Les dispositions précitées relatives aux caractéristiques des installations intérieures et extérieures ne s’appliquent pas aux établissements dont les périodes itinérantes n'excèdent pas quatre jours à compter du départ des animaux des installations fixes jusqu'à leur retour.»


    Ce paragraphe permet aux montreurs d’ours — en France et en 2018 ! — de garder leurs animaux enfermés dans des vans, des fourgonnettes ou des remorques climatisées jusqu’à quatre jours, pour sillonner la France et proposer leurs spectacles. Ces animaux-artistes sont condamnés par une législation inadaptée et empêchant aussi bien les associations que les services de l’Etat d’agir. 


    Monsieur le Ministre de la Transition écologique et solidaire, plusieurs députés nous ont d'ores et déjà fait part de leur soutien sur le sujet, dont deux en déposant des questions écrites afin de vous demander si votre Ministère allait se saisir de ce dossier. 

    AVES France souhaite de tout coeur la fin de ces spectacles et le placement des animaux dans des refuges adaptés. Il n'est plus possible de laisser des dresseurs présenter leurs spectacles comme des "animations pédagogiques" alors que leur discours consiste principalement à justifier la captivité des animaux présentés (qui vivraient mieux en captivité que dans leur milieu naturel). 

    Une première mesure, prise en urgence, serait de modifier l'Arrêté du 18 mars 2011 fixant les conditions de détention et d'utilisation des animaux vivants d'espèces non domestiques dans les établissements de spectacles itinérants en imposant aux dresseurs et aux organisateurs de ces spectacles des installations lors de la période itinérante ménageant un espace disponible d'au minimum 24 mètres carrés et répondant au mieux aux besoins biologiques des animaux. 

    A terme, les membres de l'association AVES France ainsi que tous les signataires de cette pétition vous demandent de mettre un terme à ces spectacles d'un autre âge. 

     

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  • Victoire de la pétition : Il faut sauver Maurice le coq de l'île d'Oléron

    Il faut sauver Maurice le coq de l'île d'Oléron

    Victoire : Il faut sauver Maurice le coq de l'île d'Oléron

    Auteur : Corinne Fesseau

    139.752 Signatures

    Bonjour à toutes et à tous,

    Je suis très contente de cette victoire et pour notre association les coqs d'Oléron en colère.

    On va pouvoir avancer dans notre combat pour la ruralité en France.

    Pour soutenir d'autres associations et pour ailleurs que tous les bruits de campagne soient tolérés et acceptés.
    Que tous les nouveaux arrivants s'adaptent à la situation et que les maires de chaque commune ne soient pas les victimes de ces conflits permanents et ridicules pour certains cas!

    Nous devons protéger les campagnes et s'adapter : les bruits ont toujours existé.

    Je remercie cet énorme soutien sur MesOpinions.com et  je souhaite que tous les coqs de France chantent librement.

    Vive Maurice

    La justice autorise le coq Maurice à continuer de chanter sur l’île d’Oléron

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  • Victoire de la pétition : Demande d'ouverture d'une classe ULIS au collège des Pieux pour les enfants reconnus handicapés

    Demande d'ouverture d'une classe ULIS au collège des Pieux pour les enfants reconnus handicapés

    Victoire : Demande d'ouverture d'une classe ULIS au collège des Pieux pour les enfants reconnus handicapés

     

    Auteur : Représentants des parents d'élèves

     

    896 Signatures

    Il y aura une ULIS au collège des Pieux.

    Tout c'est finalement décanté très vite. Un combat gagné pour une belle cause.

    Merci donc aux parents et aux enseignants qui se sont mobilisés ces dernières semaines.

    Merci aux élus, et plus particulièrement au maire de Siouville, Monsieur BOTTIN, qui s'est beaucoup impliqué.

    Nous remercions aussi le député, S. TRAVERT, et le sénateur, P. BAS, dont les interventions ont probablement pesé fortement.

    Les services académiques, en ouvrant une ULIS, concrétisent le message ministériel d'accueil des élèves, quelles que soient leurs difficultés, dans les établissements classiques. C'est ce que nous voulions.

    Enfin, bien évidemment, nous remercions tous ceux qui ont soutenu, de près ou de loin, notre action, notamment les 2000 signataires de la pétition.

    Nous avons reçu de nombreux commentaires d'encouragement, de solidarité et de soutien en ligne de toute la France. Nous vous en remercions.

    Un reportage de France 3 Normandie Caen, consacré aux incertitudes concernant l'accueil des élèves ULIS au collège des Pieux, avait été tourné lundi 24/06. Il a été diffusé avec une happy end. A vos replay!

    Les représentants des parents d’élèves, les parents et enseignants  de l’école élémentaire et du collège des Pieux.

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  • Victoire de la pétition : Terreur au Brésil et dans l'Amazonie : la forêt se meurt ! Appel au boycott de tous les produits brésiliens

    Terreur au Brésil et dans l'Amazonie : la forêt se meurt ! Appel au boycott de tous les produits brésiliens
    Victoire : Terreur au Brésil et dans l'Amazonie : la forêt se meurt ! Appel au boycott de tous les produits brésiliens

    Auteur : Jérôme Garnier

    31.691 Signatures


    La Cour suprême du Brésil casse la décision de Bolsonaro sur les terres indigènes!

    Le président brésilien avait transféré les pouvoirs fonciers d’une fondation protectrice des indigènes au ministère de l’agriculture.
    La Cour suprême du Brésil a bloqué, jeudi 1er août, un décret du président Jair Bolsonaro qui transférait au ministère de l’agriculture, défenseur des intérêts de l’industrie agroalimentaire, des compétences foncières jusqu’alors dévolues à une fondation protectrice des indigènes.

    Les dix juges du Tribunal fédéral suprême (STF) ont soutenu cette décision, considérant que les parlementaires brésiliens avaient déjà rejeté ce décret. « Pour ce qui fait loi, le dernier mot revient au Congrès », a déclaré le juge Luis Roberto Barroso, qui avait déjà ordonné en juin la suspension provisoire du décret portant sur un transfert des compétences dans la délimitation des terres indigènes.

    Le président d’extrême droite Jair Bolsonaro s’est plusieurs fois exprimé en faveur d’un nouveau découpage des terres indigènes plus favorable à l’agrobusiness.
    Les indigènes dénoncent une multiplication des conflits

    Cette décision du STF survient une semaine après la mort d’un leader indigène dans le nord-est du pays. Les membres de la tribu waiapi dénoncent un assassinat, qui n’a pas encore été confirmé par l’enquête judiciaire.

    Nous avançons, nous allons y arriver! Merci à toutes celles et ceux qui ont signé et diffusé la pétition, merci à tous les amoureux de la Nature, merci à tous ceux qui au quotidien par leurs petits actes arrivent à faire avancer la cause écologique. Bolsonaro a perdu une grande bataille, nous finirons, nous les humains doués de raison et de sensibilité à le faire plier.

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  • Pétition : Réglementer l'achat des chiens, déclaration obligatoire. 100.000 chiens abandonnés par an c'est la honte de la France
    Par Liliane

    Pétition adressée à E.Macron, Président de la République

    Masquer la mise à jour

    Le 22/08/2019


    Bonjour à tous,


    Je vous fait part de la lettre en copier/coller (elle est mieux présenter qu'ici) que je viens d'envoyer à Monsieur MACRON  par courrier postal (4 pages) pour lui résumer nos attentes. Elle est un peu longue mais je n'ai pas pu faire mieux. Lisez-là tout de même jusqu'au bout cela ne prend pas plus de quelques secondes. Merci. A bientôt...


    Cordialement, liliane


     *******************************************************


    Monsieur le Président de la République,


               Je vous remercie de votre réponse apportée par Monsieur François-Xavier LAUCH.


              Le bien-être de l’animal semble attirer votre attention néanmoins Monsieur Didier Guillaume, Ministre de l’agriculture nous a enlevé tous nos espoirs. Sa présence à la corrida de Bayonne est une grave erreur pour un Ministre chargé de la protection animale. Assister à une mise à mort d’un animal choisit pour être tué en guise de divertissement de l’humain est indigne et contraire à sa fonction. Cette tradition ancestrale appartient à une génération du passé et ne correspond plus à notre temps mais elle pourrait se perpétuer sans tuer. Les avides du sang qui coule ne sont pas dans l’évolution pour un avenir meilleur.


              J’ai réalisé une pétition sur les réseaux sociaux pour évoquer les changements qui s’imposent à l’heure actuelle concernant l’abandon des chiens en France (100 000 par an, plus de 8000 chiens et chats en début d’été à la SPA sans compter les autres refuges) avec une tendance à l’augmentation de 20 % selon la SPA. Nous détenons les records d’abandons en Europe !


              Dans ma pétition j’ai publié, pour information, la lettre que je vous avais adressée récemment. À ce jour, moins de 2 mois de parution, 22 200 signataires ont approuvé ma demande et ma démarche. Des signatures et des commentaires encourageants en provenance des pays étrangers également : Belgique, Russie, Nouvelle-Zélande, Espagne, Italie, Canada, Brésil... preuve qu’ils ne sont pas indifférents à notre problème à travers le monde.


              J’ai réalisé un sondage également proposant une police animale. En quelques semaines sur 16 150 votants 98 % ont répondu favorablement à la création de cette police. Une grande majorité estime que c’est indispensable et qu’elle aurait dû être mise en place depuis fort longtemps. Je vous ferais part des prochains résultats ultérieurement.


              Il en ressort un mal être face à cette cruauté quotidienne et un désir profond que cela cesse. De nombreuses pétitions qui vous ont été adressées par diverses associations de protection animale ou par de simples particuliers engagés pour cette cause n’ont pas eu un véritable impact malgré votre volonté d’agir pour la protection animale. Un sondage en ligne depuis février 2019 vous concernant, indique que sur 54 240 votants 96 % ont le sentiment que vous n’en faites pas assez pour la maltraitance animale. En commentaire, vous donnez l’image d’une personne n’aimant pas les animaux. Sondage que je n’ai pas réalisé moi-même, je vous le précise.


              Nous, citoyens nous sommes sur le terrain, dans la vie quotidienne et nous sommes impactés par cette misère humaine qui entraîne la maltraitance animale. Le lien est existant.


              Nous sommes au cœur de toutes ces horreurs, nous voyons cette évolution et le triste reflet de cette société qui va mal. Nous aussi, citoyens français nous aimerions vivre dans un climat plus serein et nous sommes obligés de subir cette violence qui nous affecte tous. C’est nous qui sommes chargés d’agir auprès des chiens et des chats et bien d’autres animaux, de les sauver, de leur venir en aide, de les délivrer de leur milieu glauque et de les soigner ou de les euthanasier tellement leur souffrance est atroce alors qu’ils étaient jeunes et plein de vie.


             Monsieur MACRON, vous n’imaginez pas ce qu’est capable de faire un "humain" sur un animal. Vous ne pouvez pas approfondir la cruauté infligée à ces victimes innocentes sans la voir de vos propres yeux. La cruauté n’a pas de limite ! 


             Monsieur MACRON, vous ne ressentez pas notre douleur aussi face à ces atrocités lorsque nous sauvons un animal martyrisé, agonisant, brûlé à vif ou les yeux crevés, par sadisme et j’en passe... Vous ne pouvez pas vous rendre compte ce qu’est un corps décharné d’un chien ou d’un chat attaché sans nourriture, vous ne voyez pas des scènes d’horreur tel un chien trainé vivant à l’arrière d’une voiture ou d’une moto jusqu’à ce que mort s’en suive pour le plaisir de faire le buzz sur la toile. Vous ne voyez pas ces images insoutenables, nous oui !


             C’est cela notre quotidien dans notre beau pays, la France. Nous ne sommes pas obligés d’intervenir, me direz-vous mais jusqu’où irions- nous si nous n’étions pas mobilisés pour palier à ces horreurs sur des êtres vivants sans défense ?


    Peut-on vivre sereinement dans l’indifférence, dans notre confort ?... Les auteurs de tous ces actes sont des criminels et doivent être jugés en conséquence et non leur infliger des peines minimales et des amendes dérisoires. Sévir durement afin de ne pas cautionner leurs gestes et dénigrer l’animal parce que ce n’est pas un humain. Les lois ne sont pas appliquées à la hauteur des actes !


            Par ailleurs, aider les plus vulnérables que soi en difficulté est un acte citoyen, c’est un devoir avant tout. L’animal ne parle pas, mais l’humain n’a aucun droit sur lui, il n’en est pas propriétaire, il n’a que des devoirs envers lui et ce serait une erreur d’évoquer le contraire.


     Qu’est-ce que nous attendons concrètement ?... Changer le regard sur le monde animal !



      • Que l’animal soit respecté au même titre qu’une personne et que l’on prenne en considération la souffrance animale.

      • Concernant le chien compte tenu qu’il fait partie de ma préoccupation, nous demandons la reconnaissance de la personnalité juridique comme pour tous les animaux avec la création d’un ministère dédié à la condition animale, indépendant de celui de l’Agriculture.

      • Nous voulons la création d’un service de police animale avec la possibilité de sanctionner certains délits, assistée de juristes ou pas et formation des candidats aux conditions de vie du chien et des autres animaux en ville et à la campagne.

      • Nous voulons la mise en place d’un numéro d’appel gratuit, facile d’accès pour dénoncer les cas de maltraitances avérés pouvant être affecté au service de police animale (une demande à déjà été déposée auprès de vous et de votre Ministre par une personne auteur d’une pétition).

      • Nous voulons que les lois en vigueur s’appliquent à tous les animaux, sans exception telles que pour les traditions locales, religieuse et autre... Les animaux sont égaux, ressentent la même douleur, la protection doit être égale à tous.

      • Nous voulons que les pénalités financières soient appliquées lourdement, 30 000 euros, que l’interdiction de posséder un animal soit prononcée à vie après un acte de maltraitance grave afin d’éviter la récidive et qu’aucun sursis de prison ne soit accordé, prison ferme pour les criminels.

      • Nous voulons un durcissement de la règlementation de l’achat des chiots. L’enregistrement en mairie ou en Préfecture dès l’obtention du certificat d’aptitude afin d’apprendre à éduquer et gérer son animal, présentation du certificat avant achat pour l’obtention tel que je vous l’ai évoqué dans mon précédent courrier.

      • Nous voulons le vote d’une loi pour la reconnaissance de la personnalité juridique de l’animal afin que tout soit possible. Nombreux spécialistes, psychiatre, chercheurs, le moine bouddhiste Mathieu Ricard, selon mes recherches, ont signé un manifeste dans le Monde pour la création d’un secrétariat à la cause animale dans lequel ils appelaient les hommes au respect de l’animal et à lutter contre la maltraitance.


              Le chien est lui, doué de sensibilité, doté d’intelligence et  d’émotion. Il est doté d’une conscience également, c’est un être vivant semblable à un être humain tout en étant un animal. La différence entre les deux hormis l’aspect physique, se trouve dans la forme d’expression et le regard. Son absence de parole donne du pouvoir absolu à l’humain pour le manipuler, le considérer inférieur, l’avilir et de maltraiter. Or, l’intelligence de l’un pourrait être compatible avec l’intelligence de l’autre, utile, complémentaire et non comparable.


            Les animaux sont indispensables à notre survie, ils génèrent des milliers d’emplois à travers le monde hors l’agro-alimentaire, le chien aussi ! Cela peut paraître naïf, porter à sourire mais c’est la réalité. Ils ont une vie également et peuvent vivre sans nous, le contraire serait plus difficile. La planète n’appartient pas à l’humain, il n’est pas le seul à vivre et à respirer dans la nature, il occupe l’espace qui lui convient tels que le font les animaux également pour notre équilibre. L’harmonie du vivre ensemble ne peut s’effectuer que dans le respect de chacun quelle que soit la différence, humaine ou animale.


            Monsieur MACRON, je vous ai exposé mes préoccupations et celles de nombreux citoyens qui me soutiennent. D’autres pays ont compris la nécessité d’agir pour la protection des animaux de compagnie, ils ont progressés plus vite que la France. Je fais allusion aux Pays-Bas, à la Suède, à la Belgique, aux États-Unis qui ont tous créé une police animale. À noter que les Pays-Bas reconnaissent le lien entre la violence exercée sur les animaux et la violence sur les humains. Ils reconnaissent les problèmes familiaux des maîtres violents envers les animaux (source RTL). Prenons exemple !


            Le problème de l’animal est sérieux, le régler est urgent ! La violence est un reflet du mal-être de notre société. Protéger un animal dans son foyer peut sauver un enfant de la maltraitance ou éviter qu’une femme soit battue.  Nous sommes dans un cercle infernal de violence, vous en êtes protégé mais nous, citoyens français nous ne pouvons plus poursuivre dans l’inaction du gouvernement en 2020.


     


            Monsieur MACRON il vous appartient d’agir vite en acte. Ne mettez pas la cause animale de côté comme l’on fait vos prédécesseurs sans cela force sera de constater que le problème des animaux est secondaire pour vous aussi, que vous êtes indifférent envers leur souffrance et que vous vous moquez des états d’âmes de vos électeurs actuels et futurs.


    Je termine par une citation d’Emmanuel KANT


    "La cruauté envers les animaux est la violation d’un devoir de l’homme envers lui-même"


     


     Je vous remercie, par avance, d’avoir consacré du temps à lire cette lettre.


          Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de mes sentiments très respectueux.


     




    Le 19/08/2019


    Bonjour,


    Dans le cadre du suivi de mon action je tiens à vous informer que le Chef de Cabinet de Monsieur Emmanuel MACRON à répondu assez rapidement à la lettre que je publie dans ma pétition.


    Avec beaucoup de sympathie et d'attention pour les préoccupations que je lui exprime, il m'assure que le Chef d'Etat en a pris connaissance et qu'il est déterminé à faire appliquer les lois existantes et à les renforcer. On n'en attend pas moins...


    La réponse est faite, néanmoins je poursuis mon action afin de lui prouver que  ma demande, grâce à votre contribution, est urgente et qu'elle doit être mise en place avant les vacances de 2020. Il ne faut jamais désespérer...


    Merci pour votre soutien, pour vos messages que je prends soin de lire régulièrement, soyez-en sûr (e).


    Je vous souhaite une très bonne journée.


    Cordialement,


    Liliane


    Le 12/07/2019


    Bonjour à tous,


    Ma pétition n'en est qu'à ces débuts, j'ai reçu beaucoup de commentaires qui me font énormément plaisir, vous vous en doutez certainement .


    Je vous remercie infiniment pour vos appréciations, pour votre soutien par vos signatures à tous. C'est un début mais nous allons y arriver car je vais faire appel à des professionnels également, journalistes, associations mais il faut attendre un peu.


    Vous avez exprimé le souhait d'interdire la vente des chiots et des chats en animalerie, sur les réseaux sociaux et en ligne via les annonces gratuites, et la vente des chiens entre particuliers afin de limiter au maximum le trafic, l'argent facile et l'abandon par la suite.


    C'est une très bonne chose, l'animal est un être vivant et tout être vivant ne se vend pas sur internet ou dans un rayon en animalerie. La loi existe mais, comme toujours personne ne la fait appliquer avec sérieux, le dérapage continue...


    JE N'OUBLIE PAS LES CHATS au passage tel qu'on me l'a demandé mais trop en mettre dans une seule pétition risque d'aboutir à rien.


    J'ai déjà vu des pétitions pour eux, la stérilisation... il faut les protéger eux-aussi bien entendu.


    Je suis consciente que Mr. Macron sera insensible à ma demande mais je ne lâcherai rien, c'est en persévérant qu'on y arrive, il y a un début à tout. Il faut faire !!!


    Je suis consciente également qu'aucune loi bien ficelée soit-elle, éradique l'abandon des chiens, il y aura toujours des gens pervers, sans éducation et sans foi ni loi.


    Mais la règlementation à l'achat et les tests d'aptitude à détenir un animal tel que je l'ai expliqué dans la pétition permettra de limiter tout de même l'abandon et cela se répercutera dans les SPA.


    Des refuges moins surchargés à l'avenir pour mieux s'occuper des pensionnaires encore présents.


    Ceci dit, je retiens l'idée d'interdire la vente en animalerie et cela fera l'objet d'une prochaine pétition. Laissez moi un peu de temps pour la peaufiner...


    J'ai essayé de répondre un peu à la majorité des demandes et des commentaires jusqu'ici, je reviendrai vers vous pour vous informer de mes actions.


    Merci encore, à tous pour votre gentillesse et votre partage ...


    Cordialement,


    Liliane

    Cela fait des années que l'abandon des chiens ne diminue pas, 100 000 par an ! Les refuges et SPA sont débordés, ils n'ont plus de place pour les accueillir et les chiens sont doublement victimes d'abandons dans certains refuges. CE N'EST PLUS POSSIBLE DE CONTINUER AINSI !

    L'abandon est un véritable fléau.
    Derrière 100 000 chiens abandonnés, il y a 100 000 personnes capables de faire cet acte .


    Je suis particulièrement touchée par la cause animale, le chien fait partie de ma vie, c'est un être humain sans parole et j'espère que vous aussi vous pensez que c'est cruel d'abandonner cet animal qui n'a jamais rien demandé et qui est victime de son dévouement auprès de l'humain.
    Il ne s'est jamais imposé dans un foyer, il aime l'humain plus que lui-même alors pourquoi l'arracher à sa mère pour l'abandonner plus tard ?

    Cette pétition est destinée à informer E. Macron pour qu'il sache que tous les chiens en France n'ont pas la chance qu'a eu Némo, son chien adopté au refuge.
    Il faut qu'il comprenne que tous les amis de Némo doivent être respectés, que les lois sont insuffisantes à l'heure actuelle
    (chose qu'il a tout de même reconnu) et qu'il doit agir rapidement et sévèrement.

    Je lui déjà envoyé ma proposition de loi...

    Je vous laisse le soin de lire cette lettre en espérant votre soutien car, comme vous le savez, c'est ensemble que l'on peut se faire entendre, c'est ensemble que l'on peut améliorer nos conditions de vie, les nôtres et celles de nos animaux. Les chiens ont besoins de nous !

    +++La maltraitance sur les animaux se répercute sur les personnes les plus vulnérables au niveau familial+++

                                    LUTTONS POUR LA PROTECTION DU CHIEN DOMESTIQUE,
                         CONTRE SON ABANDON LEQUEL EST RECONNU ACTE DE MALTRAITANCE


    Monsieur Le Président de la République,

    Je me permets de vous écrire pour vous faire part de l'urgence d'intervenir afin de faire cesser la maltraitance infligée aux animaux sur notre territoire et notamment l'abandon excessif des chiens de compagnie.
    Ces actes sont indignes de tout être humain censé les protéger et montrer l'exemple aux enfants.
    La France détient le record d'abandons au niveau européen, la situation est inadmissible.

    Lorsque la loi de 2010 concernant la régularisation des chiens dangereux de 1ère et 2ème catégorie a été mise en vigueur nous avons pu constater rapidement une baisse considérable de l'achat de ces races-là. Elles sont de plus en plus rares dans les rues notamment la 1ère catégorie.

    Les appels aux dons que font les associations et SPA ne sont pas la solution pour éradiquer l'abandon, au contraire, cela conforte l'idée que l'on peut se décharger de ses devoirs, abandonner librement sans pénalités compte tenu que des ressources financières sont allouées pour cela.

    Le travail doit se faire en amont, avant l'achat du chiot ou du chien. L'éducation est un problème majeur des adultes irresponsables. Les enfants doivent être sensibilisés également aux conditions de vie du chien afin de sensibiliser, à leur tour les parents.

    Ma proposition est la suivante : pourquoi ne pas envisager de faire une extension de ladite loi des chiens dangereux sur les chiens de toutes races sans évoquer la clause relevant de l'étude comportementale de l'animal ?

    En imposant un stage à l'issu duquel un certificat d'aptitude serait délivré aux futurs propriétaires de chiens cela limiterai les achats compulsifs, irréfléchis amenant à abandonner son animal sans aucun scrupule.
    Un stage payant, pratiqué chez un éducateur agrée tel que cela se réalise pour les chiens dangereux mais orienté sur l'éducation, le bien-être de l'animal ainsi que sur la race convoitée.

    Ce certificat d'aptitude devra être présenté avant l'achat de l'animal chez l'éleveur ou le particulier ou lors de son adoption y compris en cas de changement de propriétaire. Chaque éleveur et chaque acheteur ayant l'obligation de retourner chacun un exemplaire du certificat dûment complété et signé à la Mairie ou à la Préfecture. Ainsi, les chiens seraient identifiés doublement avec la puce électronique.

    L'aspect financier est bien souvent dissuasif, le stage pouvant être contraignant également pour ceux qui n'ont pas de bonnes intentions. Ces critères réunis auront un impact important sur la réglementation des chiots vendus sans scrupules et cela freinera la possibilité d'abandonner à tout va. Je suis fermement convaincue que c'est une mesure drastique pour stopper les abandons abusifs.

    Par ailleurs, les amendes infligées lors des procès ne sont pas à la hauteur des atrocités commises, les juges ne prennent pas trop en considération la souffrance animale. La loi devrait se durcir à ce niveau-là afin de ne pas banaliser les actes et la loi reconnaissant le chien comme être vivant doté de sensibilité, au même titre qu'un humain.

    Monsieur Le Président de la République, vous avez un chien, un joli Némo à vos côtés qui doit vous donner beaucoup de bonheur, je n'en doute pas. Je vous demande d'agir rapidement pour la cause animale dans notre pays, pour sauver nos chiens de l'abandon. Imaginez les congénères de Némo qui souffrent tous les jours sous les coups de leurs bourreaux, qui sont jetés sur la voie publique, au fond d'un puit, enfermés dans des cages, dans le noir au fond des caves d'immeubles et j'en passe... L' urgence est là, les vacances d'été sont là avec leurs lots d'abandons supplémentaires comme chaque année.

    Il faut règlementer l'achat du chien et je rajouterai également créer une police animale.

    Dans certains refuges et SPA, les chiens et les chats abandonnés ne sont pas toujours considérés malgré les appels aux dons pour assumer leurs besoins. La souffrance est là également, le chien a du mal a s'en sortir et certains ne sortent jamais de ces structures.

    Cette ambiance sur le terrain est difficile à supporter, les chiens sont doublement pénalisés, aucun réconfort. Ils sont privés de liberté, ils sont détenus dans des endroits insalubres parfois, froids, humides ou trop chaud l'été. Certains n'ont pas de couverture ou dorment à même le sol, cela est interdit mais on ne respecte pas la loi.

    Les dons récoltés ne sont pas affectés aux animaux en premier. Je vous le signale en connaissance de cause car le refuge de Toulouse que je visite régulièrement ne reflète pas un lieu hospitalier pour les pensionnaires, le Président n'accorde que très peu de considérations pour les animaux, ils ne sont pas sa priorité. Ils ne reçoivent que le minimum afin de montrer qu'ils sont nourris, sans plus.

    Vous remerciant de l'intérêt que vous porterez à ma demande,
    Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de mes sentiments très respectueux.

    Par avance, merci à tous pour votre participation...
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    l’interdiction de la chasse aux trophées

     Deux lions d’Afrique. (Pixabay)

    Les Etats-Unis ont délivré 200.000 permis d’importation de trophées de chasse ces dix dernières années.

    Par L'Obs avec AFP

    Publié le 18 août 2019 à 20h24
     

     

    Plus de 50 députés européens et une cinquantaine d’organisations de défense de la nature ont appelé ce dimanche 18 août les parties à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) à interdire la chasse aux trophées ciblant des animaux en danger comme les rhinocéros et les éléphants.

    La CITES interdit tout commerce de plus de 1.000 espèces végétales et animales considérées comme en danger d’extinction, qui sont recensées dans son annexe 1. Dans une lettre adressée à la secrétaire générale de la CITES Ivonne Higuero, les signataires déplorent que la chasse aux trophées, ayant un caractère récréatif et considérée comme « non commerciale », ait échappé à cette interdiction.

    La lettre a été rendue publique au moment où sont réunis à Genève des milliers de délégués venus de plus de 180 pays, défenseurs de l’environnement et responsables politiques. Ils doivent discuter de 56 propositions visant à modifier le degré de protection accordé aux animaux et aux plantes sauvages par la Convention. La question des trophées de chasse ne figure toutefois pas à l’ordre du jour de la conférence.

    « Moratoire immédiat »

    « Un nombre considérable de trophées d’espèces (relevant) de l’annexe 1 (du traité) sont commercialisés chaque année, dont les trophées d’espèces figurant sur la liste rouge de l’IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature) en tant qu’espèces ne subsistant plus à l’état sauvage, gravement menacées (ou) en danger d’extinction, vulnérables ou proches des seuils de menace », souligne la lettre.

    Les signataires appellent les parties à la Convention à « traiter les trophées de chasse de la même manière que les autres formes de commerce de la vie sauvage », et à « appliquer un moratoire immédiat sur les importations de toutes les espèces (recensées) dans l’annexe 1 ». Ils demandent également l’interdiction des élevages de lions captifs destinés aux trophées de chasse.

    Un grand nombre d’espèces sont convoitées par les chasseurs, dont les éléphants, les rhinocéros noirs et blancs, les girafes, les crocodiles, les perroquets gris, les guépards mais aussi les primates comme les chimpanzés. La Campagne pour interdire la chasse aux trophées a déclaré dans un communiqué que « des permis de la CITES ont été fournis (par) des chasseurs souhaitant tirer et ramener chez eux des trophées d’animaux parmi les plus menacés dans le monde ».

    Eduardo Goncalves, fondateur de cette association, a déclaré à l’AFP que l’exemption dont bénéficie la chasse aux trophées dans le traité de la CITES était « absolument inexplicable ». La chasse aux trophées est « une industrie internationale générant des millions de dollars » de bénéfices, et elle est donc « évidemment commerciale », a-t-il ajouté.

    Toujours légal dans de nombreux pays

    Les Etats-Unis, plus gros importateur de trophées de chasse, ont délivré au cours des dix dernières années 200.000 permis d’importation, selon un rapport publié par la Campagne. La Chine occupe la deuxième position mais est de plus en plus active dans ce secteur : le nombre de permis délivrés par Pékin est passé de 18 en 2007 à 2.142 dix ans plus tard.

    La Campagne note aussi une forte hausse récente des permis détenus par des ressortissants de plusieurs autres pays comme le Canada, la Belgique, l’Autriche et la Russie. La chasse aux trophées est légale dans de nombreuses régions d’Afrique. Les touristes paient pour tirer sur un petit nombre d’animaux sélectionnées, une pratique que certains experts jugent acceptable car favorisant la préservation à long terme des espèces ciblées.

    Les pays qui délivrent des licences font valoir que les revenus générés par la chasse aux trophées financent des projets de préservation et de lutte contre le braconnage. Mais les détracteurs de ce type de chasse estiment qu’elle mène au déclin de nombreuses espèces.

    « La lacune qui autorise les chasseurs de trophées à tirer sur des espèces en danger doit être comblée immédiatement », estime Eduardo Goncalves.

    L'Obs

    L'Obs avec AFP

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    Auteur : Jérôme Garnier

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    La Cour suprême du Brésil casse la décision de Bolsonaro sur les terres indigènes!

    Le président brésilien avait transféré les pouvoirs fonciers d’une fondation protectrice des indigènes au ministère de l’agriculture.
    La Cour suprême du Brésil a bloqué, jeudi 1er août, un décret du président Jair Bolsonaro qui transférait au ministère de l’agriculture, défenseur des intérêts de l’industrie agroalimentaire, des compétences foncières jusqu’alors dévolues à une fondation protectrice des indigènes.

    Les dix juges du Tribunal fédéral suprême (STF) ont soutenu cette décision, considérant que les parlementaires brésiliens avaient déjà rejeté ce décret. « Pour ce qui fait loi, le dernier mot revient au Congrès », a déclaré le juge Luis Roberto Barroso, qui avait déjà ordonné en juin la suspension provisoire du décret portant sur un transfert des compétences dans la délimitation des terres indigènes.

    Le président d’extrême droite Jair Bolsonaro s’est plusieurs fois exprimé en faveur d’un nouveau découpage des terres indigènes plus favorable à l’agrobusiness.
    Les indigènes dénoncent une multiplication des conflits

    Cette décision du STF survient une semaine après la mort d’un leader indigène dans le nord-est du pays. Les membres de la tribu waiapi dénoncent un assassinat, qui n’a pas encore été confirmé par l’enquête judiciaire.

    Nous avançons, nous allons y arriver! Merci à toutes celles et ceux qui ont signé et diffusé la pétition, merci à tous les amoureux de la Nature, merci à tous ceux qui au quotidien par leurs petits actes arrivent à faire avancer la cause écologique. Bolsonaro a perdu une grande bataille, nous finirons, nous les humains doués de raison et de sensibilité à le faire plier.

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