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Plus ils sont riches, moins ils sont capables de - comprendre les autres
Le blog de imagiter.over-blog.comfaire connaître, dans le plus de domaines possibles, tout ce qui n'attire pas le main stream. Qui, pourtant, fait beaucoup pour les nouvelles façons de raisonner, de ressentir, de voir, d'écouter ou d'analyser - et dont le manque nous est cruel. Et, surtout, ces esprits synthétiques, quasiment en voie de disparition, qui nous rappellent que penser c'est agir, que les connaissances c'est pour faire connaissance. Ou que les plus grandes sensualités restent de goûter les saveurs des savoirs
Plus ils sont riches, moins ils sont capables de
comprendre les autres(David-Graeber)
Juxtaposons : Les hors réel font semblant de nous diriger et “Les plus riches sont, comme les autres, prisonniers d'un monde en cours de dévastation.“ C’est d’un anthropologue qui ne cherche à faire plaisir à aucun intérêt. La fin du syllogisme étant que les trop riches sont les plus aliénés de la société, les plus hors sol, les mieux perdus pour la grande réalité. Que la moindre de leur intervention ahurie, dans la société complète, ne peut tourner qu’à la catastrophe. Ce pourquoi nous devons les empêcher surtout de gouverner, de décider pour les autres. Alors qu’ils ne comprennent strictement rien à leurs vrais besoins, à leurs attentes et aux changements de société réellement nécessaires.
La domination échappe aux dominants, elle serait partout et nulle part à la fois? Et eux les moins bien équipés pour le comprendre ? Exactement. « Il n'y plus personne en face, plus de palais d'Hiver à prendre. Les hommes se trouvent confrontés à une sorte de surplomb horizontal qui s'évanouit dès qu'on cherche à le circonscrire. La domination se dissocie, pour parler comme Lao-tseu, de toute « terre mortelle » : fuyant dans les réseaux, elle sait se rendre insaisissable à tout moment, hors de prise pour ceux qui voudraient la contester [[ ou ceux qui voudraient faire semblant d’en parler comme en connaissance de…causes !]]. C'est cela le tour de faiblesse du capitalisme intégré, il réalise le programme de la tyrannie tel que l'avait élaboré, au IIIe siècle avant Jésus-Christ, le penseur chinois Han Fei, qui se demandait : Qu'est-ce qu'un maître absolument invulnérable ? C'est un maître qui disparaît. Le dominé n'a plus en face de lui que le vide et, à partir de là, il ne peut plus rien faire [[ t’as qu’à croire !]].
David-Graeber-:-plus-vous-êtes-riche-moins-vous-êtes-capable-de-comprendre-les-autres
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En France, aussi bien qu’ailleurs, les moteurs de la révolte actuelle viennent des services de soins à la personne. Ce que nous trouvons dans «The Revolt of the Caring Classes». Dont David Graeber précise : « C’est une notion difficile à traduire en français, sur laquelle je prépare un livre en ce moment. Je désigne par «caring classes» toutes ces personnes qui prennent soin des autres, que ce soient dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la pensée, de l’écriture, des arts, du social, etc. Le mouvement ouvrier du XIXème siècle nous a laissés avec cette idée, en partie patriarcale, que seul le travail qui produit a de la valeur. Pourtant, la plupart du temps, le travail ne consiste pas à créer des objets mais à les entretenir. Un verre n’est fabriqué qu’une seule fois, mais il est lavé des milliers de fois. Et ce travail d’origine est oublié, sauf par les salubres anticonformistes. Aujourd'hui, aux États-Unis, en Angleterre, les grèves ont souvent lieu chez les enseignants, les infirmiers, les urgentistes, les éducateurs, les soignants, etc. »....Ce…retour au réel tel qu’il est nous laisse devant une terre sombre quasiment jamais interrogée : les rapports des dirigeants et de la réalité. Dans le sens sont-ils plus prés du réel ou plus éloignés ? Etc. les réponses sont assez terrifiantes ! D’autant plus que la tâche reste d’ampleur : il ne faut pas peser trop sur l’image afin de, fidèlement, la restituer !
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Dans leurs réactions à chaud, ces supposés dirigeants (si peu en vrai fait…) semblent toujours des enfants perdus complètement dépassés par le monde qui les entoure. Habitués à ne vivre que dans des fictions (tous les autres humains, même ceux qui les dépassent largement, doivent se courber et se taire), ils ne vont jamais (non plus) produire le moindre effort afin de SE RAPPROCHER des autres. Ne serait-ce que mentalement ( quitter tout arbitraire et abus de pouvoir, soit apprendre à discuter en toute égalité, soit frotter leur soi-disant savoir à un réel plus rugueux) ou affectivement (faire ses propres recherches sans passer par des employés qui vont tenter de ne restituer que ce « qui fait plaisir au patron »)…bref, toujours plus, ils ne s’égarent que dans une bulle affabule : celle qui rétrécit, chaque jour, la connaissance vérifiée du vrai réel par ceux qui décideraient de notre…sort ! A l’épreuve, nous ne trouvons qu’une ignorance très épaisse de la vie concrète de 90% de la population remplacée par des monceaux de préJugés. C’est donc le plus irrationnellement, oui le plus follement, que « leurs » décisions sont déprises (alors que nous serions en démocratie – aucun des avantages de la démocratie ne sont utilisés – ne serait-ce que l’utilisation des débats en grand, l’impossibilité pour l’argent de manipuler l’information (rendue sacrée) et la mise à distance des médias qui n’ont pas à penser à la place des citoyens, seulement à réunir les éléments pour…). Aussi, la centralisation excessive autour de quelques têtes (donc hors réel, déconnectées du vrai concret) aboutit à la pire des DÉSORGANISATIONS complètes de la société. Pas de plus anarchistes que ces prétendus dirigeants (qui se vantent même, toujours ivres d’eux-mêmes, en gagatisant de « ne suivre aucune règle » - sauf que si nous suivons leur conseil drogué nous serons tabassés drus et sanctionnés très arbitrairement ! Ces êtres, coupés de toute raison raisonnante, nous mettent – systémiquement – en grand danger. Car ? S’ils désirent être anarchistes pour eux, ils devraient admettre que tout le monde puisse l’être aussi – ne serait-ce que pour les « imiter » !). Qu’avons-nous comme preuves par les faits démontrant ces grandes lignes théoriques ?
*** 1) -. Un ex-premier ministre qui s’insurge parce qu’on interroge les humains à des heures …non raisonnables (en l’occurrence un ex-président !). Or, durant tout son règne, nous n’avons perçu de lui que des actions…déraisonnables, une inattention complète aux humains et un enfermement dans sa bulle « hors réel »…(Un film « La carotte et le bâton » de Stéphane Arnoux, 2004, décrit très bien ce désastre). Quoi donc ? Pour les personnages qui vivent hors de la réalité, ‘ «la fausse politesse » est dix mille fois plus « importante » que toutes les injustices qu’ils font subir aux autres ? Le pouvoir pour ces évaporés dans les nuages c‘est juste un ballet de sourires, de courbettes, de mots sucrés, d’attitudes révérencielles, etc. – entièrement déconnecté de tout contexte…raisonnable. Bon, le fait de pénétrer dans leur vie intérieure et d’y percevoir ces schémas de fonctionnement défectueux suffit pour ce que nous désirons comprendre.
** 2) – Juste à rajouter que, sur ce modèle, de très nombreuses décisions peuvent se voir analysées comme si la « réalité idéologique » de ces arrêts peu démocratiques était (pour ces hors sol) LA réalité entière. Convaincus que tout le monde reste « immergé » dans cette MÊME réalité, ils ne vont (complètement hors réel sensible, soit hors des souffrances immédiates causées) pas entrer dans le vécu d’au moins 85 % de la population. Que faut-il dire ? Inadéquats. Insociables. Déphasés, étrangers de paroles et actes vraiment ahuris. Trop furieusement irréalistes ? Le discours à côté de la plaque se déroule dans ce trop raisonnable, d’un côté, mais déraisonnable, de l’autre. Soit, quelque soit la décision prise, « ce ne peut qu’être bon » et le contester devient une atteinte à « tout » (vrac complet jeté en vrac)…Alors que ? Nous venons de le voir, dans ces conditions, tout empire pour 85 % de la population. Tout devient très difficile (et rendu plus difficile par leurs mauvaises décisions à la louche qui ne s’occupent jamais de 85 % de la population)… mais ils vivent dans un monde ouaté, aseptisé, lyophilisé, filtré…oui mythique, où tout n’est que ballet de sourires faussés et flatteries…où plus rien de réel n’y peut pénétrer. Toujours en APESANTEUR (ils ne seront donc jamais pondérés, ni ne saurons faire face aux…impondérables – deux termes de poids !) et, de la sorte, se prouvent incapables de ressentir, charnellement, les conséquences concrètes de leurs décisions ? Et donc ? Ils demeurent toujours comme des enfants faisant mumuse, voguant dans les seules frivolités, très irresponsables. Extrêmement dangereux, terrorisant oui (et, contrairement à 1789, peu de mesures sont rationnellement comprises afin de, surtout oui surtout, limiter les nuisances des gouvernants ! ). Etc.
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Comment bien se trouver au centre de la compréhension ? Trouvé. Oui, dans Dol, ce quasi parfait descripteur de cette vie intérieure qui anime ces personnages hors sol il est décrit tout ceci … : "Non seulement il y a des marges de manœuvres, mais il y a des alternatives. Simplement, elles n'ont pas été évoquées par les grandes plumes de la presse. Et ces propositions très peu relayées par les médias, n'ont fait l'objet d'aucune négociation, d'aucune discussion (p 76 - Philippe Squarzoni "Dol")". Clairement, il n'y a eu aucun débat égalitaire : avec de tels médias nous ne sommes plus du tout en démocratie, et ils y rajoutent l'outrecuidance de donner des leçons. "Comme ces médias sont branchés directement sur la pensée capitaliste, ils ne voient que la surface des choses finalement. Pour les médias l'ordre capitaliste correspond en quelque sorte au bon sens et lorsque le gouvernement entreprend des réformes allant en ce sens, tout cela rentre dans le cadre qu'ils ont accepté depuis des années…Pour eux, la société de marché ne fait absolument plus débat depuis longtemps (p 77)". "De temps en temps il faut qu'ils feignent une certaine opposition…", à force de feindre c'est soi seul que l'on a embrouillé ! Feignants jusqu’au bout... Zoom sur la vie quotidienne…
"D'ailleurs ils en profitent personnellement, individuellement, bénéficiant de rémunérations très coquettes qui les apparentent davantage aux patrons d'entreprise qu'aux ouvriers ou employés. Et naturellement ils évoluent dans un univers où le projet social, économique et philosophique des décideurs va de soi. Ils ne se retournent pas en arrière pour regarder ce qui se passe (p 77)". "Pourtant depuis 50 ans les mêmes idéologies occupent le pouvoir. Depuis que je suis gamin, on voit quasiment les mêmes, que ce soit à droite ou à la soi-disant gauche. Les idéologies archaïques n'ont pas changé, et pourtant ces idées n'ont plus rien à voir…En 1970, ils étaient tous keynésiens, en France comme aux Usa. Aujourd'hui, ils sont tous férocement pro-capitalistes…Comment est-on passé en 50 ans d'un consensus à l'autre ? (p 86)". Soit, de l'intérêt du plus grand nombre aux seuls intérêts de l'infime minorité des seuls trop riches ? Bref, à de l’anti-politique. N'être qu'un chef de bande ce n'est plus faire de la politique, mais plus du tout – c’est nuire aux majorités !
>>>> - Cette analyse élucidante peut s’offrir sur le site gratuit http://www.freethewords.org/ dans le livre "L'anticommunication comment ça fonctionne ?». Suffit de cliquer sur l’onglet 4.
Le complet désastre P.S. n’aura pratiqué précisément que les politiques contre lesquelles il a été élu. Ils chutent dans la fange la plus collante en s'exhibant, ridiculement, "de gauche mais…moderne (sic)". La vraie gauche de 1789 serait donc "un archaïsme" et de débiter un ensemble de lieux communs comme unique pensée. Ils savent que s'il y avait débat leurs étourderies ne tiendraient pas 2 minutes, mais croient, qu'à coups de répétitions et répétitions, de matraquages et matraquages, cela squattera quelque peu les oreilles. Surtout lorsque toute autre parole reste interdite. Ne sommes nous pas dans un monde de modernité économique, où il n'y a qu'une seule politique possible ? Comment ce faux miracle a-t-il été possible sinon parce que "la gauche de gouvernement" défend les mêmes intérêts que la droite. Et donc que "la gauche de gouvernement" constitue bien un parti de droite. Et, qu'au pouvoir, il n'y a plus que la droite : sinon comment expliquez-vous une "pensée unique" avec un fonctionnement qui serait réellement bipartite ?
DSK cracha, sur sa lancée, que ce n'est pas la peine de s'occuper des plus pauvres parce que ceux-là ne votent pas. Double aveu : pourquoi ne votent-ils pas sinon par la précise prescience que les imposteurs, déguisés en politiques, n'ont plus rien à promettre et plus rien à offrir ? Et que s'ils ne votent pas c'est une silencieuse condamnation de leurs trahisons à ceux-ci ? Pas de quoi pavoiser, pourtant ils ne font que pavoiser, puisque sachant pertinemment pourquoi les pauvres ne votent plus pour eux, ils les abandonnent sans espoir de retour. On ne "s'occupe" plus que des classes moyennes : résultat 2002 où Le Pen lamine ces enfantillages. Preuve que les 60 %, qu'indécemment, l'INSEE chiffre en pourcentage de classes moyennes se dénombrent strictement faux. Pas de classe moyenne sans "la distinction". De 1500 € à 3600 € mensuels: impossible, avec de tels revenus, de pratiquer l'onéreuse "distinction". Ce serait, plutôt, sociologiquement et financièrement parlant, de 10 à 15 % de vraies classes moyennes : dans les 45 % restant, beaucoup d'esprits s'illusionnent d'idéologie consommatrice et, ne sont, économiquement, que des petits bourgeois, très petits. Clair que l'INSEE triche en définition (toute absence de frontière marquant début et fin de la "classe", mise en chiffres, porte à soupçonner votre pensée de malhonnêteté intentionnelle : le flou statistique ne peut exister!)... "C'est aussi en adoptant des luttes plutôt portées par les classes moyennes, féminisme, antiracisme, condition des homosexuels (p 96)" que leurs impostures s'étalent partout (relayées par les gogos bobos ?). "Plus on renonce au combat politique et social, tout en voulant se persuader qu'on reste de gauche, et plus on se raccroche à la lutte pour l'avortement ou pour le mariage homosexuel, pour se persuader qu'il reste quand même quelque chose de ce vieux corps de gauche". Le "conformisme économique se dissimule derrière une panoplie de fausse audace et de truqué modernisme sur les fausses questions de mœurs (p 96)". Tandis que sur l'essentiel ils reculent partout. "Les accents progressistes servent d'alibi à une réaction générale, alliant la régression économique et le vernis rétro culturel, la trahison idéologique et la transgression sexuelle (p 97)". "On transforme des enjeux politiques en questions morales", ce qui permet de semer, partout, brouillage, confusion et chaos, sur les frontières qui séparent gauche de droite. Ils se sont déconnectés du pays, enfermés dans leur petit monde, ignorants des réalités. Ce sont donc eux qui nous "informent", qui nous font tout savoir sur la réalité du monde. Où siège l'anomalie ?
Radio-entretien-dans-le-local-Attac-Rhône
Entrevue de 50 mn de Philippe Squarzoni "Dol" – ne pas omettre de cliquer sur « documents » joints Dol afin d’y accéder…
Où trône l'anomalie ? Dans ce qui va se retourner contre eux ? "Dans l'état où se trouve le débat politique comment s'étonner qu'on préfère le simulacre à l'authentique, les plumes du costume de clown, le télévisuel et l'immense bêtise à l'esprit adulte ? (p 267)". "Dans n'importe quel autre type de contrat, cette manipulation frauduleuse aurait valu révocation (p 270)."…Ce qui est fait pour nous : nulle confiance jamais dans ces déserteurs des réalités collectives, dans ces fuyards fiscaux, dans ces sordides personnages qui se sont toujours fait passer pour ce qu’ils/qu’elles ne sont surtout pas et donc ont utilisé à fond toutes les CENSURES –
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
« Nouveau visage de la chasse et égéries des marquesCoronavirus : une "centaine de classes" et 22 établissements sont actuellement fermés »
Tags : France, économie, gouvernants, Plus ils sont riches, moins ils sont capables de - comprendre les autres, réalité
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