• Coronavirus : les géants du CAC 40 sont tous dans le rouge depuis le début de l'année

    Coronavirus : les géants du CAC 40 sont tous dans le rouge depuis le début de l'année

    Jamais les Bourses mondiales n'avaient aussi mal commencé l'année. Le premier trimestre s'achève sur une baisse de 26,5 % à Paris. Les géants du CAC 40 ont effacé plus de 450 milliards d'euros de capitalisation. Du jamais-vu. C'est quasiment comme si LVMH, L'Oréal et Sanofi, les trois plus grosses sociétés du CAC 40, étaient parties en fumée...

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      Il faut remonter à l'explosion de la bulle Internet et aux 29 % de baisse du troisième trimestre 2002 pour trouver une période plus dévastatrice pour les sociétés cotées à Paris. (Photo Chine Nouvelle/Sipa)
      Publié le 1 avr. 2020 à 13h44Mis à jour le 1 avr. 2020 à 18h55

      Jamais les places financières mondiales n'avaient aussi mal commencé l'année. Le premier trimestre s'achève sur des baisses de plus de 20 % à Wall Street, de 23 % en Europe (STOXX 600) et de 26,5 % à Paris. Et ce 1er avril n'incite pas à l'optimisme. Après le rebond de ces deux dernières semaines, c'est à nouveau le rouge qui domine sur les écrans des professionnels des marchés. Le CAC 40 a terminé en baisse de 4,3 % à 4.207,24 points, le Footsie britannique a cédé 3,83 %, le Dax allemand a perdu 3,94 % et l'EuroStoxx 50 a abandonné 3,83 %.

      Le décrochage trimestriel du CAC 40 est comparable à ceux de la crise des dettes souveraines (-25 % au troisième trimestre 2011) ou de Lehman Brothers (-20 % au dernier trimestre 2008). Mais il faut remonter à l'explosion de la bulle Internet et aux 29 % de baisse du troisième trimestre 2002 pour trouver un trimestre plus dévastateur pour les sociétés cotées à Paris.

     

    Il faut remonter à l'explosion de la bulle Internet et aux 29 % de baisse du troisième trimestre 2002 pour trouver une période plus dévastatrice pour les sociétés cotées à Paris. (Photo Chine Nouvelle/Sipa)

    Publié le 1 avr. 2020 à 13h44Mis à jour le 1 avr. 2020 à 18h55

    Jamais les places financières mondiales n'avaient aussi mal commencé l'année. Le premier trimestre s'achève sur des baisses de plus de 20 % à Wall Street, de 23 % en Europe (STOXX 600) et de 26,5 % à Paris. Et ce 1er avril n'incite pas à l'optimisme. Après le rebond de ces deux dernières semaines, c'est à nouveau le rouge qui domine sur les écrans des professionnels des marchés. Le CAC 40 a terminé en baisse de 4,3 % à 4.207,24 points, le Footsie britannique a cédé 3,83 %, le Dax allemand a perdu 3,94 % et l'EuroStoxx 50 a abandonné 3,83 %.

    Le décrochage trimestriel du CAC 40 est comparable à ceux de la crise des dettes souveraines (-25 % au troisième trimestre 2011) ou de Lehman Brothers (-20 % au dernier trimestre 2008). Mais il faut remonter à l'explosion de la bulle Internet et aux 29 % de baisse du troisième trimestre 2002 pour trouver un trimestre plus dévastateur pour les sociétés cotées à Paris.

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